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Tuesday, February 3, 2015

Tome III en Français - Chapitre IV - Christian Grey et Anastasia Steele

Chapitre 4

Mon BlackBerry bourdonne pendant que je suis assis à la table du petit déjeuner. Je souris à Anastasia et décroche mon téléphone.
-                M. Grey, ici Welch.
-                Est-ce que tous est en place?
-                Oui, monsieur. Tout indique Andrew Warren, monsieur. Pella d'un seul coup d’œil a pointé les failles de sécurité que l’on connaissait déjà, j'ai parlé à Warren plusieurs fois pour corriger ces problèmes. Ainsi que Taylor. Chaque fois il m'a assuré que les formations appropriées été donner au employer, que les failles de sécurité avait été colmaté, mais il est clair qu’il nous à jeter de la poudre aux yeux.
-                Est-ce que Pella est sûr qu’il y a une faille dans la sécurité?
-                Eh bien, pour commencer monsieur, il me l'a prouvé en entrant dans le bâtiment sans montrer une pièce d’identité ou quoi que ce soit à quelqu'un ... trois fois de suite en trente minutes. énonce-t-il.
-                Merde! Dites-moi exactement comment il a fait! Je siffle entre mes dents.
Anastasia me regard fixement. Mes muscles se contractent. Elle me regarde inquiète, interrogative. Je lui fais un sourire crispé, mentionne avec mon doigt "Je reviens dans une minute", je me dirige vers mon bureau.
-                M. Grey, Pella entre n'importe où, il donne l’impression de faire partie de l’entreprise.
-                Etait-il vêtu de l'uniforme dès l’employé?
-                Non, monsieur, il est entré avec une confiance arrogante, et juste regardait l’hôtesse d’accueil qui est censé vérifier les identifications comme si personne d’autre n’existait dans le monde, et fait à Miss Gros Nichons un de ses rare sourire, elle avait  la mâchoire sur le plancher, elle pouvait même pas cligner des yeux! monsieur, je pourrais ajouter que quand il allait disparaître une seul chose l’intéresser lui donner un papier plier dans sa main avec son numéro de téléphone.
-                Cela pourrait être un coup de chance.
-                Oui, monsieur, mais il est aussi passé par deux autres gars de la sécurité: sans raconter de mensonge en plus, un type plus âgé avec la cataracte aux yeux et un jeune homme avec une formation militaire ... Il aurait dû être difficile de passer à travers ces deux-là sans pièce d'identité, monsieur. Et il n'a montré aucune identification à quiconque. Et voilà le problème monsieur! il avait deux de ses gardes de sécurité qui sont passé avec lui!
-                Putain! Comment?
-                Il va leur parler. Il savait exactement quoi dire, comment le dire à la bonne personne. Comme si chaque personne parlé une langue et qu’il était le seul à le parler. Il sut que le plus jeune gars sortait de l'armée juste par son comportement et jugé de quel endroit il a été renvoyé. il s'est adressé à lui en tant que tel et pour le vieil homme, il a agi comme s'il était quelqu'un de son époque complètement à l'aise. j'ai été déconcerté. Je lui ai demandé de faire un autre essai juste pour être sûr et il a dit…. Welch fait une pauses, se raclant la gorge. Welch, je peux tracer mon chemin à travers ces portes s’il le faut, je peux le faire toute la journée, dedans et dehors, mais je suis sûr que votre patron ne me paie pas une fortune  pour que je teste le manque de sécurité dont j'ai déjà prouvé. j'ai peu de temps, et j'ai besoin de recueillir des preuves, de déterminer comment il a saboté l'EC 135 et créer un profil de votre agresseur. Si je ne le fais pas cette enfoiré recommencera, et croyez-moi quand je dis cela, il va trouver une autre façon parce qu'il s'est échappé la première fois. Si j'étais votre patron, je virerais ces branleurs incompétents! Mais ce n'est pas tout à fait de leur faute. Leur formation est insuffisante. Toutes leurs réponses doivent être uniformes, mais chaque employé ici se comporte comme s’ils ont été formés par trois instructeurs différents dont aucun n'était sur la même longueur d’onde. Cela aurait dû être corrigé depuis longtemps.
-                 Quoi d'autre? Je demande à travers mes dents serrées.
-                La raison pour laquelle nous sommes en possession de ces photos que je vous ai envoyés, quand il est entré tranquillement en passant devant la sécurité ou bien de ces effort pour passer devant les prétendue niveau de sécurité, monsieur. Il y avait ses hommes qui prenaient des photos de lui, marchant nonchalamment vers l'hélicoptère, et j’ajouter, que c'est censé être hors limite en raison de l'enquête. Puis il s'arrête de nouveau. Et il a également réussi à accéder au jet de GEH!
-                 Merde! Merde! Le jet aussi?
-                Je le crains, monsieur. dit Welch chagriné.
-                Comment est-il entré?
-                Il a dit qu'il a utilisé son charme monsieur. dit-il gêner.
-                Ses charmes? C'est quoi ce bordel! Vous ne portez pas votre charme comme une carte d'identité! Il est censé y avoir des protocoles pour ça. Merde!
-                Il suffit d'avoir du charisme, monsieur. Et il n'a même pas à faire semblant d'être un employé, ou quelqu'un qui avait des affaires là-bas. Il vient se promène dedans.
-                Quand est-il de vos constatations antérieures d’il y a un mois?
-                Elles ont été présentées à M. Warren, monsieur. Il a promis qu’a tous les niveaux  les failles de sécurité était négligeable, et qu'ils allaient être corrigé immédiatement. Mais quelque semaine plus tard, il a été prouvé par M. Pella que rien n'avait été corrigé, en fait c'était pire!
La colère suinte par tous mes pores; Je dirige ma main libre dans mes cheveux en signe d'exaspération.
-                Est-ce que cet enculé est prévu ce matin? Je demande, me trouvant à taper du poing sur mon bureau.
-                Oui, monsieur. Il doit être à GEH à exactement 08h00
-                Bon. Nous allons le laisser mijoter un peu. Laisse-le s’inquiéter. Je veux lui botter le cul, vous comprenez? Je ne veux pas de bourde! Que diriez-vous du reste?
-                Non, monsieur. Aucune bourde! Tout comme nous avons discuté hier soir, monsieur. Avez-vous eu l'occasion de lire les rapports que je vous ai envoyés?
-                De haut en bas! convoquer les tous. Je ne suis pas d'humeur indulgente aujourd'hui!
-                Oui, monsieur. Je serai à GEH sous peu, tous seront réunis avant votre arrivée.
-                Bien! Coordonner avec Taylor. Je viendrai à 09h00 aujourd'hui.
-                Je vais l'appeler immédiatement, monsieur.
-                Très bien! Je dis de raccrocher. Le Christian impitoyable est de retour!
Quand je retourne de nouveau près du barre du petit déjeuner dans la cuisine, Anastasia sirote son Twinning's English breakfast tea peu infuser. Sa belle présence fait fuir la colère que je ressens juste en dessous de la surface. La douce image d'elle avec une tasse de thé, me remémore des souvenirs quand elle et moi avons bu du champagne dans les tasses de thé dans son appartement. Je la savoure du regard, complètement admiratif. Quelque chose d'angélique ça me donne une idée. Une douce idée. Humm ... Je vais faire en sorte de la mettre œuvre rapidement. Elle remarque mon regard sur elle.
-                Quelque chose qui vous plais M. Grey? Elle demande et sourie.
-                Tout, Mlle Steele. je dis déambulant vers elle avec des yeux sombres lascifs.
Ses yeux suivent mes mouvements sans sourciller; sa tasse de thé est à mi-chemin de ses lèvres, et sa lèvre inférieure est Capturer dans ses dents. J’arrive devant elle, je prends lentement la tasse de thé de sa main sans rompe notre regard; la pose sur le comptoir. Je penche ma tête sur le côté pour mieux l'admirer. Ses pupilles se dilatent, sa respiration devient difficile avec ma proximité. Je me penche et d'une main je tire son menton libèrent sa lèvre, avec mes propres dents je capture sa lèvre, la suce légèrement, elle gémit dans ma bouche agitant tous mes synapses. Je pousse sa jupe vers arrière puis séparer ses jambes, la tire à moi vers l'avant où je me tiens entre ses jambes. Tout en tirant sur sa queue de cheval d'une main, je pousse son cul sur le bord du tabouret pour faire que son sexe rencontrer mon érection croissante, elle halète dans ma bouche. Ses mains plongent dans mes cheveux, me tirer vers elle, tandis que ses bas de soie enfilé sur ces délicieuses jambes s'enroulent autour de mon corps; le coin de ses talons hauts creuse délicieusement dans mon cul. Notre baiser s'attarde et ma langue envahit sa bouche familière, mais ces redécouverte à chaque fois que je l'embrasse, nos langues danser.
-                Avons-nous le temps? Elle demande dans ma bouche.
Je souris. Je brise notre étreinte à contrecœur, quand nous nous séparons nous somme tous les deux à bout de souffle, je demande avec un sourire diabolique.
-                Du temps pour quoi, Mlle Steele?
-                Pour baiser! Elle exige passionné et intense.
-                Mlle Steele, pour une éditrice, je trouve que tu utilises un langage bien cru?
-                Christian, tu veux dire que tu m’as allumé pour rien et que tu vas me laisser exister et gêner toute la journée! Réprimande-t-elle.
-                Il se trouve que Mlle Steele, on ne peut pas ce matin. je réponds son visage tombe. Je ne peux pas être détendu pour allais au bureau aujourd’hui.
-                Mais je vais prendre bien soin de toi ce soir ... Je dis avec une promesse charnelle.
-                Quoi? Non! Pourquoi?
Je me penche à son oreille et murmure.
-                 N'essaie pas de te soulager. Je le serais. Je veux tout ton plaisir ce soir. la laissant haletante.
-                Christian, Ce n'est pas juste! Je te veux maintenant!
-                Je sais bébé, je sais. Je te désire aussi, mais en temps voulu ... Je promets de prendre bien soin de toi plus tard. je dis sensuellement en lui montrant mon désir.
La frustration sexuelle sert à plusieurs fins. Quand je suis frustré sexuellement, je suis comme une arme chargée - beaucoup plus méchant; l'effet est doubler  parce que je dois attendre un long moment pour baiser Anastasia. Encore plus, quand Anastasia me désir aussi fortement comme elle le fait maintenant, j'ai besoin pour allais au travail aujourd'hui d’avoir mes lame beaucoup acérer pour régler le sort de cette escroc. Mais la meilleure partie est que notre passion sera plus agréable, nos désirs seront à leur apogée absolue et notre baise sera beaucoup plus torride. Gagnant-gagnant-gagnant.
Elle rétrécit ses yeux sur moi,
-                Vous êtes beaucoup de chose, monsieur Grey. dit-elle.
-                Que voulez-vous dire, mademoiselle Steele? Je demande feignant l'innocence.
-                M. Grey, vous êtes un tas de choses. Mais innocent, vous n'êtes pas! Elle m’accuse, ça me fait sourire.
-                Vous me connaissez bien Mlle Steele. dis-je en l'embrassant passionnément une fois de plus.
-                Ce soir. je dis et enrobe tant de promesses dans ce seul mot, son rythme cardiaque s'accélère la faisant rougir.
-                Je te prendrais au mot. répond-elle dans un murmure rauque tenant mes biceps serré. bien. dit-elle comme si elle se souvenait de quelque chose. Je ne peux être tenue responsable des conséquences d'être laissé exister et incommoder, M. Grey.
-                Attention ! dis d’une voix basse menaçante. personne, ne ce touche ce qui est à moi!
Je dis attrapant en coupe son sexe la faisant haleter.
-                 Oui. dit-elle d'une voix tremblante de désir. Seulement à toi, Christian!
-                Bonne fille. Finir ton thé, nous partons. dis-je, elle le fait.
Anastasia prend sa serviette, Taylor marche en toute discrétion, je lève les yeux vers lui, il acquiesce connaissant mon sens. Tout est coordonné. Je prends la main d’Anastasia; marche dans l'ascenseur avec Sawyer et Taylor. Taylor et Sawyer ouvrent les portes passagères du SUV, tous les deux Anastasia et moi entrons. Une fois que nous sommes dans le SUV, je reprends la main d'Anastasia. Faisant des cercles sur le dos de celle-ci, je m'apercevoir qu'elle croise ses pieds pour serrer ses cuisses. Je la regarde d’un regard assombri. Elle est existée et gêner. Humm ... Peut-être que je peux la persuadé de rentrer plus tôt aujourd'hui. Je lui tiens la main lui ouvrant la paume de l'autre main; J'embrasse lentement et légèrement puis mordre le coussin de son petit doigt elle réagit par  un gémissement étouffé.
-                Chut maintenant. je dis me penchant à son oreille. Ce soir ... je murmure dévergondée.
Elle mord sa lèvre mes yeux s’assombri de désir. J’attrape son menton, libérant sa lèvre.
Le SUV est à l'arrêt en face de SIP et Sawyer saute pour ouvrir ma porte. Je sors et tends la main à Anastasia qui la prend. Je l’emmène à la porte de SIP.
-                 Ne quitter pas le bâtiment. Demande à Sawyer si tu as besoin de quelque chose à l'extérieur. je lui rappelle.
-                Oui, monsieur. répond-elle en soupirant, et me donne un doux baiser rapide me laissant debout comme un adolescent idiot. Petit démon! Elle sait ce qu'elle fait. Je peux peut-être lui faire payer en nature ce soir.



-                M. Grey, M. Warren a attendu près d'une heure, il était presque décider à partir à quelques reprises, mais j'ai réussi à le retenir, finalement j'ai dû le faire asseoir dans votre bureau il y a pas cinq minutes. Il semble ... pendant une minute, je crois qu’Andrea va dire " énervé ". Il semble mécontent d'avoir dû attendre, monsieur. dit-elle.
-                Bien!
Je marche vers mon bureau avec la confiance innée, Taylor me suit discrètement et va se mettre à sa place habituelle. Warren dont le visage est déformé comme un roi qui attendait la naissance de son plus premier héritier, un fils, et qu’il en est sorti la réplique de son grand-grand-oncle laid ou sa fille nouveau-née.
-                M. Grey. Dit-il d'une voix désagréable en se levant.
-                Warren.
J’ignore sa main tendue, fais quelques pas, défait le bouton de ma veste lui tourner le dos, avant d'aller à ma place, je me retourne pour lui dire.
-                 Assis!
Mettant l'accent sur le "s" fermement comme on le ferait à son chien "au pied". Il obéit immédiatement. Mon regard ne perd rien. Impassible.

(Ecstasy of Gold - from "The Good The Bad The Ugly)

-                Puis-je vous demander pourquoi vous m'avez appelé ce matin M. Grey? Il demande serein.
Je le regarde sans un mot, le fixant pendant trente secondes. Il se déplace dans son siège mal à l'aise.
-                Je suis sûr que vous avez une opinion bien formée M. Warren. Dis-je dans un ton mesurée, la voix lente et contrôlée qui ne cache pas l’animosité implicite dans mon sens.
Il déglutit. Comme si tous d’un coup il avait froid, il frotte ses doigts dans sa paume dans un effort pour les réchauffer. Mes yeux légèrement se déplacent et jeté un petit coup d'œil à Taylor sans même tourner la tête, si imperceptible que si Taylor et moi nous n’étions pas en phase avec cette instincts respectives, il ne saurait pas. Il sort lentement et discrètement de la pièce sans même qu’Andrew Warren se rendre compte. Son visage rose est en train de virer au rouge à chaque seconde. Son front dégarni montre des perles de sueur. Son arrogance sarcastique glisse hors de lui comme un ballon dégonflé à la minute.
Taylor tranquillement revient avec Welch qui ferme la porte derrière. Je lève les yeux vers lui, il hoche imperceptiblement. Toutes les pièces du puzzle sont en place. Les vestiges des anciens jours militaires de Welch se font encore sentir par ça coupe réglementaire, ce qu’indique qu'il était autrefois un membre des Seals, mais maintenant un professionnel, sa cicatrice oblique entre ses sourcils lui donne l’air d'être en permanence croiser. Ses yeux verts sont profonds et perçants, et immédiatement il clou Warren à son siège, lui donnant un regard accusateur. Sa présence imposante dans le bureau lui donne l’air plus grand que son 1m82. Il est dans son costume sombre habituel avec une cravate foncé en soie assortie. Mais même dans un costume d'affaires, son comportement parle d'un soldat professionnel. Il marche avec le dos en position verticale comme s’il va faire un pas de danse rapide avec un partenaire invisible.
-                Monsieur. il me reconnaît respectueusement. Il fait le spectacle, apporte les documents que j'ai demandé hier soir, qu'il m’a envoyé par courriel que j'ai déjà examiné.
Warren le regarde avec défi, et arrogance comme s'il était intouchable.
-                Eh bien, j'attends Grey. dit-il regagnant avec l’impatience son sang-froid. Vous m'avez convoqué ici, pourtant, je n'ai toujours aucune idée de ce qu'il en est, bien que… dit-il faisant un spectacle de vérifier sa montre. J'ai attendu pendant une heure trente-huit minutes. Je suis un homme très occupé.
            Je saute sur mes pieds comme un prédateur mes yeux couverts d'éclats de glace malveillante. Je me promène dans mon bureau mon regard fixé sur lui, inébranlable.
-                Il y a un mois à ce jour, Welch vous a prévenu des failles de la sécurité en général et en particulier autour des avions de GEH. Nous avons des preuves documentées que les déficiences pointent les fautes à tous les niveaux jusqu'à vous; Particulièrement vous en réalité ignorant de façon répété les avertissements clairement exposé de Welch.
 J’affirme sans élever la voix mais d'un ton clair, ma voix résonne dans mon bureau.
-                Cependant, sûrement M. Grey, vos avions sont très bien assurés. Je suis certain que l'entreprise a que vous avez emprunté, ou loué seront couvrir les coûts de réparation et plus encore! D'ailleurs, comment pourrais-je savoir à partir de mon bureau dans le centre-ville de Seattle que vos avions sont sous surveillance constante quand ils sont à Boeing ou sur le tarmac de l'aéroport? Dit-il comme l'idiot qui ne comprend pas mon point de vue.
Cet enculé a le culot de laisser entendre que mes avions sont loués à une autre société. GEH est propriétaire de tous ses avions, j’emploi mon propre équipage jusqu'à nos mécaniciens. Je ne confis pas mes affaires privées à des tiers. Par conséquent, aucun de mes avions sont emprunter ou loué. Mais ce ne sont pas ses affaires,  je ne vais perdre mon temps à lui expliquer.
-                Pensez-vous que j’en ai quelque chose à foutre que l'assurance couvre les dommages et intérêts? Voudriez-vous de votre assurance pour couvrir votre vie sans valeur et la vie d'un collègue parce que des gens comme vous n'ont pas fait leur travail?
-                Je n'ai pas à écouter cette merde!
-                Pourtant, il semble que vous le faites, alors installez-votre putain de cul, ou je vais le faire reposer pour vous.
 Je proclame d'une voix autoritaire calme. Je hoche la tête à Welch qui va ouvrir la porte de mon bureau. Environ huit personnes entrent dedans, les yeux de Warren s’agrandissent.
-                Je ne tolère pas de manquement à la sécurité à tous les niveaux dans mon entreprise. Pourtant, les preuves recueillies montrent que cinq parmi vous on grossièrement abusé de leurs positions, de la basse … Je regarde le gardien de sécurité. au plus haut niveau dans une entreprise de sécurité. Je dis en regardant Warren.
-                Je ne travaille pas pour la compagnie de sécurité, monsieur. dit un type stéroïde à l’anabolisant qui a pris quinze doses de trop.
-                Tais-toi Ronnie! Vous travaillez pour le chef de Boeing, vous avez travaillé le jour ou l'hélicoptère de M. Grey a été saboté. vous n'auriez pas du baiser Miss Kingsley au lieu de faire votre travail!  Explique le directeur de sol de Boeing. Ronnie a la décence d’avoir un regard dépité.
Je regarde la liste dans ma main avec les images capturées par les caméras de sécurité, les noms attachés à ceux-ci. Mon visage est impassible, je suis tout sauf cela. Je ne tolère pas l'incompétence qui est dans un niveau tel qu'il aurait pu me coûter la vie  Ross et moi.
-                Joe Coleman ! Je crie et un gars de la sécurité vient vers l'avant.
-                Vous avez laissé entrer un homme qui n'a pas sa place dans l'aéroport; qui d'ailleurs a saboté mon hélicoptère. J'espère que les centaines de dollars que vous avez reçus étaient à la hauteur de votre travail! Je dis avec un regard glacial.
-                Vous êtes viré putain! Foutez le camp de mon immeuble! La tête basse, il sort.
-                Sergio Ferrigno. je crie et un homme aux cheveux noirs âgé d'environ 35 ans s'avance.
-                Vous étiez le mécanicien qui a signé l’autorisation de décoller, que tout était en bon état, même si ça ne l'était pas.
-                Je suis désolé M. Grey; Je n'ai pas eu le temps de vérifier les câbles quand ils ont appelé pour préparer l'aéronef. J'ai juste signé le bon. dit-il, comme si ces explications été suffisante.
-                Lorsque vous travaillerez pour quelqu'un d'autre la prochaine fois, vous aurez la décence de faire votre travail correctement, ne signez pas de votre nom sur un travail que vous n'avez pas effectué! L'incompétence est inacceptable! Vous êtes viré! La sécurité va vous escorter pour récupérer vos putains d’outils. Vous n'êtes pas autorisé à remettre le pied à proximité d'un de mes avions! Je laisse la sécurité l’escorté.
-                M. Sullivan!
-                Oui, monsieur. répond le patron de Ronnie.
-                Est-ce que ce sont vos témoins, ici?
-                Oui, monsieur, ici.
Il montre deux employés de l'aéroport impeccablement habillés. Leur attitude debout, positionnement moitié attente et vigilante, les mains dans le dos, la poitrine en avant, coupes réglementaire me dis qu'ils étaient des récentes recrues militaires.
-                Vous. je dis debout devant un des gars qui regardent droit devant lui évitant mon regard de mépris glacial.
-                Votre nom? Je commande même si je sais déjà.
-                Lee Tyson, monsieur! Dit-il, comme le militaire qu'il était.
-                Qu'est-ce que vous avez à déclarer? Je demande fermement.
-                M. Yates, ici. dit-il en se reprenant,
-                Ronald Yates était de garde au sol monsieur. Mais en dépit de l'avertissement répété de moi-même et Paul Kovak.
Un signe de tête à l'autre ex-soldat sans tourner la tête.
-                A laissé entendre avoir une rencontre avec Miss Kingsley, monsieur! Il a donné son explication.
-                Qu’avez-vous à dire M. Kovak?
Je demande debout en face de l'autre ex-soldat qui a aussi les yeux fixés devant, sans regarder personne ou rien en particulier.
-                Ce que M. Tyson a déclaré ; le compte rendu est correct monsieur. M. Ronald Yates et Miss Kingsley ont disparu dans le placard pendant plus d'une demi-heure, monsieur. On lui a dit que s'il partait s’été nous désavantage numériquement sur le sol, monsieur!
-                Et qu'étais sa réponse à cela? Je demande en sachant ce qu’il a dit.
Paul Kovak me regarde pour la première fois dans les yeux. Il a dit la vérité, mais gêné d'avoir à passer le prochain élément d'information dans une telle foule. Mon regard reste impassible, recouvrent avec soin le Vésuve en colère dans mon regard glacial. Il dégluti.
-                M. Ronald Yates a dit qu'il ne pouvait pas attendre une minute de plus sans percer le cul doux qui a été agite devant lui toute la matinée, monsieur! At-il ajouté.
Et Miss Kingsley qui est resté silencieux et impassible jusque-là à une bouffées de chaleur est devient  rouge tomate. Je marche pour faire face à Mlle Kingsley debout à quatre mètres d'elle.
-                Est-ce vrai Mlle Kingsley? Je demande d'une voix neutre.
D'une manière foutrement inutile, elle redresse le dos et pousse vers l'avant ses très gros seins qui est peut-être la raison pour laquelle elle a obtenu le poste en premier lieu, mettre en avant ses plus grands atouts, lève les yeux vers moi timidement avec son visage trop maquiller. Elle penche sa tête en balançant sa queue de cheval brune.
-                Oh, je suis désolé mon chérie, mais je n'étais que ...
 Je la coupé immédiatement. De toute évidence, elle n'a pas l'habitude de parler à l'autorité.
-                Vous pouvez soit appeler M. Grey ou monsieur! Mais putain vous ne m'appelez jamais  mon chérie! Comprenez-vous?
Elle est bouche bée. Je ne pense pas qu’elle n’ait jamais obtenu un refus à la démonstration de ses seins.
-                Quoi? Elle demande comme si s’été incompréhensible.
-                Comprenez-vous ce que je vous demande? J’énonce.
-                Oui, monsieur. dit-elle bégayent.
Elle encaisse au préalable se penche ensuite indigné.
-                Miss Kingsley, vous et M. Yates est viré!
-                Pourquoi? Miss Kingsley demande avec humeur.
-                En bref Mlle Kingsley, vous êtes congédié pour avoir baisé un collègue sur les heures de bureau lorsque vous étiez censé travailler. Vous n'êtes pas payé pour baiser! Vous êtes payé pour travailler!
-                Mais je ne suis pas employé par votre entreprise! Je suis salarié ...
-                Permettez-moi M. Grey. dit Andy Sullivan
Il marche en avant avec un visage triste en regardant ses employés.
-                Vous avez tous deux été une honte pour le nom de notre entreprise, pour l'un de nos plus gros clients! Non seulement pour négliger votre travail, que vous avez été engagé à faire, mais refusant d'écouter vos collègues qui vous ont mis en garde. Vos actions intimes ont été capturées par les caméras de sécurité. En bref Mlle Kingsley, et Ronnie, vous êtes tous les deux virés! Ne vous embêtez pas à revenir au travail demain. La sécurité vous accompagnera pour récupère vos effets maintenant. Je ne veux pas voir l'un de vous sur les lieux!
Comme la sécurité escorte un Ronnie embarrassé, et une Miss Kingsley circonspect, Andy Sullivan et toute la foule sort de mon bureau.
Warren est la seule personne restant dans le bureau autre que Taylor et Welch. Il fait un mouvement pour partir.
-                Grey, vous pouvez avoir convaincu l'aéroport de viré le petit personnel qui manque d’enthousiasme au travail, mais je suis le chef de la direction de mon entreprise de sécurité. Vous ne pouvez pas me virer! Même si vous tentez de le faire, je serai heureux de vous poursuivre en justice! Il déclare avec malveillant.
-                Vous n'avez aucune idée putain de ce que je suis capable de faire; Je peux et je vais mettre le feu à ton cul! Aucune entreprise pour laquelle j'ai investi, doit employer un directeur général très incompétent, celui qui est averti un mois à l'avance pour régler des problèmes mêmes si sa lui coûte leurs emplois à quatre membre du personnels! Vous étiez responsable de la mise en œuvre des mesures pour se débarrasser des failles des sécurités et vous n’avez encore rien fait!
-                Vous ne pouvez pas le prouver !
-                Welch, lisez à ce putain de bâtard ses droits!
-                C'est avec plaisir monsieur.
Il prend les documents disposés devant lui.
-                M. Warren, il y  a un mois à ce jour, je vous ai fait une liste détaillé indiquant les trous dans la sécurité en générale et en particulier auprès des avions de GEH. Nous payons un montant élevé pour vous permettre de vous acquitter de cette tâche chaque mois. Taylor ou moi avons toujours été en contact permanent avec vous pour relayer nos exigences de sécurité. le manque de sécurité ou l'incompétence de vos employés qui sorte juste dehors avec leurs Casquettes, main dans la main cela auraient dû être arrêtés par votre entreprise avec les mesures de sécurité pour laquelle nous avons amplement payé. Nous ne traitons pas avec  les intermédiaires. Vous avez été averti, M. Warren, il y a un mois entier!
-                Nous détesterions perdre votre clientèle. Dit-il avec un grognement. mais ... commence Warren.
-                Vous perdez plus que notre clientèle, Warren. Vous perdez votre emploi! Vous êtes viré putain! Je bouillonne de colère.
-                Vous ne pouvez pas me virer; Je suis le chef de la direction de ...
-                De l'entreprise où je possède les intérêts majoritaires! Je siffle. Il devient blanc comme fantôme.
-                Toutefois M. Grey ... sa tonalité  devient lèche-cul.
-                Personne sous mon commandement ne fait le con avec moi et arrive à garder leur travail! bouge ton cul d'ici. Welch! mettez cette putain d'ordures dehors!
-                Avec plaisir, monsieur! Dit-il, et ouvre la voie à un Warren choqué, qui sort de mon bureau.
Je m’assois dans mon siège plutôt avec force et j'entends le cuir du fauteuil protester. En appuyant sur l'interphone j'appelle Andrea.
-                Oui, monsieur Grey?
-                Y at-il des réunions urgentes ou quoi que ce soit sur mon emploi du temps qui ne peuvent pas être évités?
-                Rien qui ne puisse pas être reporter, monsieur. répond-elle.
-                Bon, alors reprogrammer. J'ai quelques affaires personnelles à faire.
Ce changement dans mes plans provoque un haussement de sourcils de Taylor.
-                Allons-nous quelque part, monsieur? Qu'il demande.
Je retiens mon doigt pour indiquer une minute. Je ne veux pas mettre mal à l'aise Taylor, parce qu'il aime faire un ratissage de sécurité avant d'aller quelque part, mais dans les circonstances je le dois. Je n'ai pas beaucoup de temps.
Je prends mon BlackBerry pour appeler.
-                Je suis heureuse que tu ais eu mon message, et que tu m’appelle. répond la voix féminine douce.
-                Salut, maman! Je dis souriant.
-                J'ai eu une affaire pressante; Je ne pouvais pas t’appeler tout de suite. J'ai quelques suggestions pour le mariage, je veux qu'ils soient exactement comme je te le dis! Pas plus, pas moins!
-                Je suis intrigué et très heureux que tu participe. Lorsqu’Anastasia est venue seul hier, je ne sais pas si ... mais je dois interrompre.
-                Bien sûr que je veux participer mère. Je vais épouser la fille de mes rêves après tout! Mais je fais confiance à son goût, elle peut décider seul un grand nombre de chose sur la planification. Je veux que ce mariage soit parfait pour elle, reflète ses rêves; mais je veux améliorer ces rêves avec ma contribution, non  pas s'en éloigner ou les pervertir. C'est après tout ce que les filles rêvent, depuis qu’elles sont petites. Étant donné que sa mère n'est pas là, je suis si content que toi et Mia l'aident à combler le vide. Anastasia n'a rien dit, mais je suis sûr qu'elle souffre de l'absence de sa mère pour l'aider.
-                Oh, mon chérie! Nous aimons Ana, donc Mia et moi sommes extrêmement heureux de planifier le mariage. Tu sais Mia a étudié la cuisine française, elle a quelques idées pas mal, je pense qu'elles aident Ana à prendre des décisions. Elles sont du même âge de toute façon, leurs goûts sont si semblables! Ils sont comme des sœurs, mon chérie! Cela me rend heureux de faire partie de ce mariage! Merci de m'avoir permis de le faire, bébé. dit-elle d'une voix douce.
-                Ça nous fait plaisir maman. je lui réponds.
-                J'ai une liste d'éléments à réaliser. Dont je ne veux pas que tu partages avec Ana en aucune circonstance. Je veux qu'elle soit surprise. Si tu dois le dire à Mia, indique lui de se taire. Mais je préférerais que tu ne le dises à personne, sauf au planificateur du mariage avec lequel tu travailles. A-t-elle signé le NDA?
-                Oui chérie. ma mère soupire.
-                Le planificateur du mariage et son personnel l'ont tous fait. Bien que Mia et moi faisons tout le travail, elle nous aider à coordonner. J'ai besoin de quelqu'un qui peut prendre tous en charge le jour du mariage quand je profite du plus beau jour de la vie de mon fils. dit-elle en presque en s'étouffent d’émotion.
-                Je te remercie pour tout le travail que tu fais pour nous, maman! Je dis et ajouter : A propos de la musique, Je veux seulement ce que j'ai demandé à être jouer, et tu peux demander une liste de musique à Anastasia, mais ils ne peuvent pas jouer ce qu'ils considèrent bon. Je juste ma liste, ainsi que la liste donner par Ana. Il y a deux chanteurs que je veux entendre chanter à mon mariage en dehors du groupe. il faudrait contacter immédiatement leurs agents. Fait-moi savoir si tu préfères que mon personnel s’en occupe.
-                Christian! Elle me reproche. Je connais un certain nombre de musiciens moi-même dans mon œuvre de charité. Si tu veux que les gens soit surpris, moins il y a de gens informer mieux s’est. Alors laissez-moi faire. Je meurs d'envie de savoir! Qui sont-ils?
Je souris largement en lui disant les deux noms que j'ai en tête, même Taylor entend son cri de joie qui le fait sourire largement! Une autre surprise.
-                Cependant ce n'est pas tout. Je veux faire quelque chose d'autre. ça a à voir avec ... Je dis et expliquer mon plan.
-                Christian, tu le fait que pour elle?
 La voix de ma mère est complètement sous le choc, respectueux, et surprise en même temps, comme si elle vient de me rencontrer. Tu n'as aucune idée de ce que je ferais pour elle, je pense en moi-même. Aucune idée, du tout! Même Taylor à l'air surpris il me regarde le plus souvent, comme s’il souhaite me botter le cul à cause de ce que je dis ou ne dis pas à Anastasia. Si je ne savais pas qu'il était amoureux de Gail, je lui botterais le cul et le mettrais dehors, mais je sais qu’il est avunculaire en ce qui concerne Anastasia.
-                Que se passe-t-il. Je ne suis pas à un sou près; ou un dollars prés, maman. Oh, soit dit en passant, j'ai une autre demande en ce qui concerne la musique ... Je dis et expliquer ce que je veux.
-                Sensationnel! C'est hors des conventions Christian. Toutefois, curieusement c'est extrêmement romantique! J'aime l'idée. Je n'ai jamais entendu quelqu'un le faire!
-                Rien entre Anastasia et moi ne rentre dans les conventions, maman. Mais je le veux exactement comme ça. je dis à la mention de son nom ma femme me manque.
-                Oui, je pense que oui. dit-elle je sens son sourire de l'autre côté du téléphone.
-                En passant, je la veux dans une robe rouge. j'ajoute.
-                Ana?
-                Non, maman. je soupire d'exaspération.
-                Oh, je peux lui demander? Demande-t-elle.
-                Long, rouge, robe de satin. je répète.
-                D'accord ... Est-ce que je peux savoir ce que cela signifie? Ça ne fait rien ... Je vais m'assurer que ce sera fait.
-                Merci, maman. Dis-je sans répondre à sa question.
Bien sûr, cela signifie quelque chose. Cela signifie beaucoup de choses.
-                Je vais t'envoyer un courriel avec la liste sous peu. Fait-moi savoir si tu as besoin d’aide. J'ai déjà un compte de mariage mis en place, et Andrea te contactera avec les détails de celui-ci.
-                Christian! Proteste-elle.
-                Mère, ne commence pas! Je vais payer pour tout, parce que tu fais déjà tant pour la planification ce que j'apprécie complètement. Et tu nous laisses faire le mariage à la maison. Utilise l'argent que j'ai alloué. S'il te plaît.
-                Très bien, toi et ton père, vous êtes-vous réconcilié maintenant?
-                Pas tout à fait, mais je suis prêt à remédier à la situation aujourd'hui.
-                Vraiment, comment?
-                Laissez-moi faire. je dis en souriant.
-                Christian, il peut être difficile pour toi de comprendre en ce moment, ça peut prendre un certain temps à comprendre, en fait, mais rappelle-toi peu importe comment il le fait, ton père t'aime, et il fait ce qu'il fait par amour. Il est encore sous le choc de l'incident avec Elena. Tu défends Anastasia, mais accorde lui le bénéfice du doute.
Je soupire.
-                Je ferai ce que je peux, maman. Anastasia est hors limites.
-                Il le sait que maintenant Il ne doit plus en reparler.
-                Bien. Je t'aime maman. Je dis les surprenant tous deux, ma mère et Taylor.
-                Je t'aime aussi, mon chérie. nous raccrochons.
-                Taylor, nous devons aller faire du shopping.
-                Shopping monsieur?
-                Oui, pour une bague de mariage.
-                Avec plaisir monsieur.
-                Nous allons utiliser le même bijoutier. J'aime leur travail sur la bague de fiançailles.
-                Si vous me donnez quelques minutes, monsieur, je vais les appeler et leur faire quitter le magasin. Nous ne voulons pas de regard indiscret autour.
Je hoche la tête. Alors que Taylor part pour faire son appel téléphonique, j'envoie rapidement à ma mère un e-mail avec mes demandes pour le mariage. Mais il y a est déjà un message de sa part.


De: Grâce T. Grey
Sujet: Invitations
Date: 21 Juin, 2011 11:04
Pour: Christian Grey, Anastasia Steele

Salut Christian et Ana,

J'ai complètement oublié de demander à l'un de vous. Nous devons savoir pour les invitations du mariage, j'ai besoin de vos listes d'invités, et compte tenu de la palette de couleurs que vous avez demandés, j'ai pris quelques échantillons pour vos invitations. S'il vous plaît faite-moi savoir lesquelles vous préférez, et me les retourne dès que possible, afin qu'elles puissent être commandé et envoyé.

Je vous aime tous les deux!

Maman

Pièce jointe: Invitation1.jpg, Invitation2.jpg, Invitation3.jpg



De: Christian Grey
Sujet: Invitations
Date: 21 Juin, 2011 11:08
Pour: grâce T. Grey

Salut maman,

Anastasia et moi regarderons les invitations ce soir, je t’envoie une réponse dès que possible. Merci pour tout ce que tu fais pour nous, maman. Ci-joint la liste des personnes à inviter pour moi, je suis sûr qu’Anastasia te donnera sa liste. L'autre liste est ce que j'ai déjà mentionné au téléphone. Assure-toi de supprimez toutes les pièces jointes du message si tu réponds à la fois pour moi et Anastasia.

Je t'aimer maman.

Christian Grey

PDG, Grey Entreprises Inc.

Invite.doc, mariage demande.doc

Taylor est de Retour dans mon bureau et attend que je finisse mon message.
-                Tous est prés monsieur. Nous pouvons y aller. Ils vont nous attendre. dit-il, je hoche la tête en réponse.
Quand nous arrivons dans l'ascenseur, je me tourne vers Taylor et demande:
-                Taylor, je vais vous donner un calendrier pour le jet à planifiée pour ma lune de miel, avec les destinations. Coordonner avec l'équipage les itinéraires prévus et faire les passeports pour ceux qui viennent avec nous, y compris Anastasia. Voyez avec Sawyer pour faire son passeport faite le demain et aussi faire accélérer la chose. Ces gens prennent beaucoup de temps pour les envoyés par la poste. En outre, coordonner avec Welch pour organiser la sécurité à tous les points de destination.
-                Oui, monsieur. Avez-vous déterminé les destinations?
-                C’est fait, je vous l’enverrais par courriel ce soir, et au Centre de Contrôle de Welch. Vous aurais tous les deux besoin des coordonnés, j'ai aussi des préférences particulières quant aux endroits que je veux que nous séjournions.
-                Je vais m'assurer que vos spécifications soient réalisées, monsieur.
-                Vous voyagez avec nous. Sawyer va rester derrière pour surveiller Escala et Gail, à moins qu'elle souhaite rester chez sa sœur. j'ajoute après avoir vu le visage de Taylor tourner à l'aigre, et sa réponse est rapide.
-                Je préférerais qu’elle reste chez sa sœur en mon absence, monsieur. Je suis certain que Sawyer peut tenir le fort tous seul. dit-il
 J’ai envie de rire de sa réponse, mais je ne le fait pas, sachant le genre d'hommes que nous sommes: possessif. Ça me donne aussi une autre raison de faire confiance à Taylor avec Anastasia, parce que sa réponse m'a juste confirmé qu'il est complètement amoureux de Gail, et cela signifie que son affection pour ma femme n'est qu'avunculaire, j'aimerais que ça reste comme ça.
-                Nous ne serons pas en ville, donc, vous pouvez vous arranger avec Gail. Quoi que vous décidiez tous les deux se sera bien. Elle ne perdra pas son temps de vacances. Ça lui donnera une pause et elle va voir sa famille.
Taylor hoche la tête, mais son regard dit qu’il n'aime pas beaucoup plus que Gail aille chez sa sœur. Taylor est un bon gars, mais sa ligne de travail en matière de sécurité de haut niveau, le fait qu'il soit divorcé avec un enfant ne le faire pas très attrayant pour la famille de Gail. Tout ce qu'ils ont à faire est d'apprendre à connaître l'homme derrière la façade. Pendant que je suis perdu dans mes pensées les portes de l'ascenseur s'ouvrent, nous sommes dans le garage. Mon BlackBerry bourdonne avec un e-mail entrant. Je jeté un coup d'œil et le nom de l'expéditeur apporte une lueur dans mes yeux. La voix de Taylor me ramène à mes sens.
-                Monsieur? Il ouvrit la porte et me laisser entrer dans le SUV. Après que je m'assois dans le siège, j'ouvre l'e-mail.


De: Anastasia Steele
Objet: la hausse des températures
Date: 21 Juin, 2011 11:44
Pour: Christian Grey

Monsieur Grey,

J'espère que tu es au courant de la situation dans laquelle tu m'as mise ce matin. Je n’ai pas pu pas me concentrer tout au long de la réunion des rédacteurs de ce matin. Tout ce que je pouvais faire, c'était des signes de tête. Ils ont du se répéter assez souvent pour obtenir mon point de vue. Je ne veux pas avoir l'air stupide toute la journée, M. Grey. Es-tu sûr que l'auto-soulagement n'est pas une option, monsieur?

F&IdS
Ana
xx

De: Christian Grey
Sujet: Absolument pas!
Date: 21 Juin, 2011 11:49
Pour: Anastasia Steele

Mlle Steele,

Je suis dehors et dans les environs déjà. Si tu le désire, je peux faire un arrêt à ton travail et t'offrir le soulagement bien nécessaire. Sinon, tu devras attendre. Peut-être que je peux te prendre plus tôt. NE PAS tenter de te soulager. Je le saurai.

Christian Grey PDG, fournisseur de Soulagement, Grey Entreprises Inc.

Sa réponse est rapide.

De: Anastasia Steele
Sujet: aucune ...
Date: 21 Juin, 2011 11:44
Pour: Christian Grey

... visites extra conjugales nécessaires M. Grey. Pas chez SIP! Cependant, je vais vivre des moments vraiment difficile d’attendre jusqu'à ce soir.

Ana
xx

-                Taylor, petit détour!
-                Monsieur?
-                Il semble que je suis affamé, et j'ai besoin de prendre un déjeuner tôt. Nous allons chercher Mlle Steele au travail. Informer le bijoutier.
-                Oui, monsieur. dit-il, appelle le bijoutier.
Je prends mon BlackBerry et appelle Andrea.
-                J'ai besoin que vous m’effectuez une réservation rapide pour le déjeuner ... Salon privé. je commande.
Au moment où Taylor arrive en face de SIP, le bijoutier est reporté, la réservation du déjeuner est faite.
-                Attendez-moi, je vais chercher Mlle Steele.
Je rencontre Sawyer à la porte.
-                Tout va bien, monsieur?
-                Oui, très bien. Je vais emmener Mlle Steele pour le déjeuner.
Il m'accompagne, quand on arrive à la porte d'Anastasia, il se tourne discrètement de dos et attend. Anastasia est complètement surprise de me voir.
-                Quoi? Comment? Que fais-tu ici, Christian? Elle demande perplexe.
-                Pourquoi Mlle Steele, je suis venu pour vous fournir le soulagement très nécessaire. je murmure sa respiration s'accélérer.
-                Christian, je t’ai dit pas ici ... dit-elle les yeux écarquillés.
-                Eh bien, mademoiselle Steele, tu peux choisir. Je peux te baiser dans l'une des deux options. Ici, dans ton bureau, ou, j'ai fait une réservation à déjeuner avec un salon privé, on peut y aller. dis-je d'une voix basse lascive.
Oh. Dit-elle sa main droite serré contre sa poitrine tandis que l'autre bras ce tient sur ​​sa taille comme pour pousser ses désirs vers le bas. Peut-être que j'ai besoin de les tirer vers le haut. Je fais un pas en avant.
-                Tu n'as pas l'air tellement bien, Mlle Steele. Est-ce que ça va? Je demande en diminuent la distance entre nous. Vous avez l'air enflammé. je murmure en me penchant pendant que je caresse sa joue avec le côté de mon index.
Son souffle est saccader, elle se penche sur ma caresses. Le seul lien que nous avons est à travers mon doigt et sa joue. Elle tend la main vers moi, mais je lui fais un mouvement d'arrêt.
-                Non, non, mademoiselle Steele. Ici, ou à déjeuner? Ton choix.
-                Je n'ai pas demandé à mon patron si je pouvais aller déjeuner.
-                Le patron du patron de ton patron, moi. Tu peux aller déjeuner avec moi. dis-je avec conviction. Elle me regarde ses yeux se rétrécie.
-                Tu n'es pas juste, Christian!
-                Qu'est-ce qui n'est pas juste bébé? Tu avais besoin de secours. Dieu sait que j'ai besoin de soulagement. De plus j'ai besoin de toi. Maintenant!
Je peux voir le désir monter en elle. Sans rompre son regard, elle prend son téléphone et compose le numéro de son patron. Lorsqu’Anastasia confirme sa longue pause déjeunée, je lui prends sa main fermement dans la mienne et l’emmène au SUV. Sawyer reste derrière à la SIP.
-                M. Grey, le Maître D nous attendra à l'entrée arrière de sorte que vous pouvez éviter la foule. dit Taylor.
-                Bien.


Le maître D nous emmène à notre salle à manger privée. Elle est petite et confortable. J'ai déjà commandé nos plats et l'ordre des vins avant notre arrivée ce qui devrait nous faire gagner du temps.
-                Voulez-vous votre nourriture maintenant ou voulez-vous profiter de votre vin monsieur?
-                Servez-nous dans environ 30 minutes la nourriture. Je veux l'apéritif en premier lieu.
Comme il sort, je vais à la porte, et tire Taylor côté.
-                Après qu'ils apportent les apéritifs, personne ne rentre par cette porte pendant au moins 30 minutes. Donnez-moi un buzz avant.
-                Oui, monsieur. Répond-il fermement.
J’entre de nouveau dans la salle à manger.
-                Qu'est-ce que c'était que ça? Demande Anastasia.
-                Rien d’important, bébé.
Je prends ma place près d’Anastasia, mon regard fixé sur elle, s’assombrit de désir. Mon pouce effleure ma lèvre inférieure.
-                Christian.
Elle prononce mon nom avec autant de sensualité et de désir, ma bite passe en mode plein salut.
-                Anastasia, enlevé ta culotte ... Je commande d'une voix rauque.
-                Ici? Elle demande interrogative, regardant la porte.
-                Ne t'inquiète pas pour la porte, elle est gardé.
-                Taylor? Elle demande rougissante.
-                Ne t’occupe pas de Taylor, bébé.
 Je dis mon regard fixé sur elle, sans la toucher. Je veux toute son attention et sa concentration sur moi. Elle a l'air gênée.
-                Christian, ton garde du corps est là, et les gens vont apporter de la nourriture.
-                Je m'en fous, Ana. je murmure. Elle boit son vin.
-                En ce moment, tout ce que je veux faire c'est de t’enlever ton chemisier, jupe, ta culotte, ton soutien-gorge. Je dis lentement en lui donnant l'inventaire. Son souffle tremblote, elle déglutie. Mon BlackBerry bourdonne.
Il s'agit d'un message texte de Taylor.


Sans un mot, je marche vers la porte, laisse le garçon apporter le lit d'huîtres avec les olives et les noix. Quand il sort, Taylor hoche la tête, je ferme la porte derrière. J'ai trente minutes.


Je regarde Anastasia avec mon regard assombris, elle se lève, tire lentement sa jupe jusqu'à la ligne en haut montrent ses bas de soie clipper sur un porte-jarretelles; J'avale durement. Ses doigts atteignent le sommet de sa culotte en dentelle noire. Elle fait un spectacle en accrochent ses pouces sous sa culotte, les dirige autour de sa taille. Puis, lentement et tranquillement elle les glisse vers le bas. Elle tombe en tas à ses pieds. Comme elle fait un mouvement pour sortir ses pieds, je dis:
-                Arrêtez.
Je m'avance en lui prenant la main pour la sortir de sa culotte. Je descends mon regard verrouillé sur elle mes mains sont sur ses hanches lentement frôle le long de ses jambes la faisant frissonner. Je parviens enfin au sol et ramasse sa culotte, la met dans ma poche.
Quand je me relève, mes mains l’effleurent à travers la soie de ces jambes gainées, atteignant enfin le sommet de ses cuisses où je saisis son sexe dans ma paume lui faisant les écartés.
-                Défait les boutons de ta chemise tous sauf les deux dernier, bébé. je murmure.
-                Oui.
Elle respire d’une voix rauque. Comme ma paume s'active en faisant des cercles autour de son clitoris, je trempe un doigt dans son sexe déjà humide et gourmand. Elle se penche en arrière sur la table se tenant avec ces deux mains. Mon autre main remonte à son soutien-gorge de dentelle et caresse ses seins. Je tire sur  le bonnet du soutien-gorge un à la fois lui faisant remonter ces seins en avant, en les libérant dans ma main. Entre le pouce et l'index je roule son mamelon, capture l'autre mamelon entre mes dents, tirant légèrement tandis que ma langue roule autour de lui, léchant et taquinent.
Elle se cambre les poussant dans mes mains et la bouche. Mes lèvres se déplacent jusqu'au son cou le mordillant et suçant doucement, mes mains continuent leur caresse. Mes dents passent sur ​​sa mâchoire et le coin de sa bouche mais jamais l'embrasse. Je m'éloigne d'elle, la fais s'asseoir fermement sur ​​la table, elle se tient sur les côtés avec ses mains et les pieds solidement placé sur le sol.
-                Bébé, quand je m'agenouille sur le sol devant ton magnifique sexe, je veux ces belles jambes enroulées autour de mon cou. je murmure à son oreille.
 Je m'agenouille au sol je suis à la hauteur des yeux de son sexe puis mes lèvres se confondent avec les lèvres de son sexe, ses jambes habillées de bas de soie s'enrouler autour de mon cou. Ma langue taquine et suce son clitoris faisant trembler ses jambes autour de mes épaules. Je plonge à l'intérieur de son sexe et tourne ma langue sans relâche à l’intérieur d’elle. Je trouve son point sensible sur la paroi avant du vagin, et lui fournir le soulagement dont elle avait soif toute la matinée, ce faisant elle crie une version déformée de mon prénom complètement perdu dans le plaisir. Comme ses jambes tremblent avec les répliques de son orgasme, elle peut à peine tenir debout. Je la tiens et la relève lentement.



-                 Bébé, je vais t'attacher les mains devant aujourd'hui, Je veux que tu les mettes autour de mon cou. Ok? Je demande.
Elle ne peut que hocher la tête. Je prends sa culotte dans ma poche puis l’attache rapidement à ses mains devant elle, elle a l'air amusé de mon choix improvisé d’entrave. Je décompresser mon pantalon et mon érection impatient jaillit.
-                Maintenant, je veux m’enfouir en toi et me perdre. je murmure.


Tirant sa jupe jusqu'à sa taille, je sépare ses jambes, la pénétrer doucement cm par cm.

(A Touch Too Much - AC/DC)

-                Attends, une seconde. je dis à bout de souffle. Laissez-moi te savourer.
Le sentiment de plénitude est grisant. Nous sommes aussi proches que deux personnes peuvent l'être. Ses bras ligoté enroulé autour de mon cou, ma bite est enterré profondément en elle, ses seins se frottent sur ​​ma poitrine. Elle saisit à nouveau sa lèvre inférieure de entre ses dents, je me penche automatiquement et suce sa lèvre, l'embrasse sans relâche. La tension de la nuit dernière, de ce matin ses accumulé, je recherche maintenant une libération. Ma langue envahit sa bouche, sa langue essai d’aller dans ma bouche, s'affrontent, en cherchant une autre variante. Mes mains se déplacent lentement sur son derrière nu, je lui cajoler en me déplaçant. Ma bouche à le goût de son sexe, d'épices douces de sa bouche, c'est un mélange enivrant. Mes dents commencent à mordillé ses lèvres, elle halète. Ma bouche descend pour lécher son cou, suivi par des baisers entre ses seins, elle les pousses dans ma bouche que je prends volontiers avec un sourire, et suce avec force, avec gourmandise, l'amènent à la limite entre la douleur et le plaisir. Elle gémit en réponse et ses mouvements accélèrent. Quand elle pousse ses hanches vers le bas je pousse jusqu'à trouver l'endroit le plus profond en elle. Je trouve mon endroit préféré en elle et arrête ses mouvements avec mes mains, puis je fais simplement tournoyer mes hanches pour créer une friction extrême ai lui donner un double orgasme. Elle bouge ses hanches en sens inverse de la mienne offrant le maximum de plaisir pour nous deux. Mes lèvres se déplacent sur l'autre mamelon, je sens le resserrement de son sexe, la contraction présage de son orgasme. Je m'arrête de tournoyer la fais monter et descendre, je monte à ses lèvres en m’assurant qu'elle est baisée aux deux extrémités. Je guide son cul avec une main, je commence à frotter son clitoris avec l'autre, elle gémit dans ma bouche, elle bâti des rouleaux de l'orgasme en ondes longues, serrant son sexe autour de ma queue en essayant de me drainer tout ce que j'ai,  j’atteins mon pic, la poussée plus loin et plus fort, en sucent et baisent, faire l'amour, l'union de nos âmes avec notre baiser et nous jouissons tous les deux très fort.


La tête d'Anastasia tombe sur mon épaule avec une fine pellicule de sueur couvrant son joli visage, empourpré. Je l'embrasse à nouveau doucement, et défais sa culotte. Je l’allonge sur la table, nettoie son sexe puis lui remettre sa culotte, enfin la redresse sur ces pieds. Après m'être nettoyé, je me retourne et demande à ma femme fatiguée.
faim? À laquelle elle répond,
-                affamé. A moitié hébété.
Douce Musique à mes oreilles. Mon BlackBerry bourdonne juste à temps.


-                M. Grey! Quel plaisir de vous avoir dans notre bijouterie monsieur. Comment pouvons-nous vous aider? Demande l'ancien bijoutier.
Il n'est pas seulement le meilleur bijoutier de Seattle, mais aussi l'une des plus anciennes entreprises de bijoux dans le monde. Que puis-je dire? J'ai fait mes devoirs.
-                Ma fiancée est très heureuse avec l'anneau que vous avez créé. Je cherche à faire son jumeau. Je ne veux pas dire identiques. Je veux que vous me créer un autre anneau qui ne fera pas perdre sa simplicité ou sa grandeur à la première bague, juste pour correspondre d'une manière différente.
-                Je suppose que vous voulez une bague assorti en platine.
-                Oui, en effet.
-                Je voudrais voir vos pierres. Ce qui m'intéresse n'est pas le plus gros, ou le plus voyant. Je la veux unique en son genre. Je dis fermement mon regard fixé sur son visage ridé.
-                Vous êtes monsieur non conventionnelle. Je vais vous montrer nos pierres brutes et peut-être quelques autres ... dit-il d'une voix à peine audible.
Il va à l’arrière du magasin. Trois gardes de sécurité attendent patiemment autour.
Quand le vieux bijoutier sort, il dispose un plateau de pierres placées dans certains casiers étiquetés. Ce sont de grosses pierres, lumineux, avec des reflets qui attire l'attention, mais aucun d'entre eux me parle.
-                Curieusement, M. Caria, je ne sens pas de connexion pour l'une de ces pierres. En avez-vous d’autre? Ses yeux brillent comme si c'était la réponse qu'il cherchait.
-                Oui, monsieur. Quatre autres.
Il ouvre une boîte de bois sans ornement très vieilles. Deux des pierres attire immédiatement mon attention. L’une à la forme d'un bateau pointu, dont le bijoutier appelle marquise, une autre en forme de poire. Les deux luminescent, même sans qu’aucune lumière ne brille sur eux, ils sont incolores. J'ai du mal à me décider. Quelque chose à leur sujet me saisit. La marquise en forme de bateau, pourrait rendre beau, lui ferait des doigts encore plus mince et long, et cela me rappelle Le Grace. Cependant il y a quelque chose à propos de l'autre. Ça m'appelle à un niveau plus profond; Je sens une connexion instantanée avec cet objet inanimé. Le joaillier remarque mon indécision.
-                Peut-être. Des informations sur ces diamants seraient bénéfiques. pour monsieur. Il tient le diamant entre le pouce et l'index ganté. Celui-ci est le plus grand des deux. C'est comme l'autre que vous avez acheté, sauf bien sûr la marquise est de 15 carats. Il a la même luminosité, ils sont tous les deux incolore. Eh bien, incolore pour l'œil non averti. Vous pouvez voir un léger assombrissement dans celui-ci, mais vous devez être comme moi à les regarder depuis plus de 45 ans, monsieur. En comparant la marquise avec le diamant en forme poire au niveau du prix, la marquise coûte un peu plus, mais pas de beaucoup.
-                Pourquoi donc? Vous avez dit que la marquise est plus grande.
-                La différence de prix est d'environ $ 60,000 monsieur ce qui est négligeable.
 Taylor fait presque un bruit d'étouffement, mais il le cache discrètement dans une toux.
-                Bien qu'ils soient à la fois unique, le diamant en forme de poire est l'un des rares dans le monde. En fait, c'est le jumeau du diamant Spoonmaker. Ou devrais-je dire des histoires jumelles.
Je me dis que le vieil homme a besoin d'une chirurgie de la cataracte; il y a d'énormes différences entre les deux diamants du côté de leurs formes.
-                Je sais que le diamant Spoonmaker est jaune. Celui-ci est incolore. Je pense que l'autre est d'environ 87 carats, celui-ci fait, quoi, 10 ou 12?
-                C'est 12 carats monsieur. Cependant je l'ai dit, des histoires jumelles, monsieur. La couleur ou la taille ne veut pas dire jumeaux. Ils peuvent être égales en beauté, et ne pas être de la même couleur ou taille. N'êtes-vous pas d’accord M. Grey? Mais ce qui est jumeau sur les deux est leur histoire. Elles sont presque identiques.
-                Je vous écoute. je dis et m’asseyent en croisant les bras.
-                La joaillerie est une entreprise familiale pour nous pour plus de générations que je peux compter, monsieur, c'est dans notre sang. Lorsque la ville de Constantinople a été conquise par les Turcs en 1453, un de mes ancêtres possédaient la plus grande bijouterie à l'époque ayant servi l'empereur Constantin XI. Après tout, la poussière est retombée après l'échange de puissance, les gens s’en aller faire leur vie ailleurs, tous sauf certaines personnes qui ont pris l'avis du nouveaux jeune sultan qui était âgés seulement de 21 ans. Des scientifiques, des poètes, des écrivains, des historiens, des architectes, des artistes et des bijoutiers qui pourraient créer des chefs-d'œuvre rares, comme mes ancêtres ont écouter ce jeune Sultan brillant; mon grand-père de plusieurs générations, a était l’un de ceux qui a pris son avis.
Ce petit morceau qui a été marquée par ce grand-père à l'époque du Sultan, perdu de vue mais son histoire est restée et cette petite fille a voyagé dans le monde entier, jusqu'à ce qu'il se montré en 1822 à un autre de mes ancêtres, et fait son chemin vers le nouveau monde. Eh bien, son histoire initiale est qu’un pauvre pêcheur dans Constantinople à proximité d'un quartier appelé Yenikapı. L'homme n'avait rien, complètement bredouille, pas d'argent ou des biens pour acheter quoi que ce soit, même pas la moitié d'un morceau de pain. Il fait le tour des décombres, des ordures dans l'espoir de trouver quelque chose d'intéressant à manger. Puis il remarque une pierre brillante parmi les tas d'ordures, déchets, poubelle il avait fouillé dedans pour trouver quelque chose de mangeable. Ne sachant pas ce que c'est, il empoche la pierre brillante.
Donc, après cette promené avec cette jolie pierre dans sa poche, il se souvient de ce qu'il a et s'arrête dans le premier bijoutier qu'il rencontre. Bien sûr, le bijoutier reconnaît la valeur de celle-ci d’un seul coup d'œil léger. Cependant ne voulant pas avoir un autre enchérisseur dans l'achat de ce bijou rare, il fait semble de ne pas être intéressée, et dit au pauvre pêcheur : « C'est un morceau de verre coloré mon brave homme. Vous pouvez l'emporter si vous le souhaitez, ou je peux vous donner trois cuillères en bois pour tout le mal que vous avez pris pour l'amener ici. »
Alors, qu'est-ce qu'un pauvre pêcheur connaît de la valeur d'une perle rare? Ce n'est pas différent d'un bout de verre pour lui. Il prend les cuillères et laisse le diamant le vendant à la bijouterie. Vous voyez monsieur, c'est comme ça qu’il a obtenu son nom comme le diamant Spoonmaker. Quelqu'un qui ne connaît pas sa valeur la vendu pour un prix bien ... loin ... loin ... en dessous de sa valeur. Celui-ci...
Il tient pour me le montrer sous un angle différent.  A parcouru un chemin semblable au moment où elle nous est parvenue il y a plusieurs générations, il cherche à trouver une seule personne celle qui sait sa valeur. C'est comme si cette pierre a un cœur elle-même. Je ne me suis pas séparé d’elle. je suis en train de vous la montrer à vous maintenant parce que, vous, monsieur, avec tout le soin et l'attention que vous avez montré dans votre achat précédent mérite de la voir, et vous êtes le premier, jamais je ne l’ai présenté pour la vendre. Nous, en tant qu'entreprise avons eu des moments difficiles dans le passé. Mais aucun de mes ancêtres ne ces  séparé d’elle car il connaisse sa valeur, et seulement un propriétaire digne devait l’avoir. Aucunes personne dignes n’est venus avant vous. Ce diamant. dit-il en le tenant.  Donne l'apparence d'une pleine lune éclairant un ciel lumineux et brillant au milieu des étoiles. Ce diamant; pensé que je ne voudrais pas m’en séparer, c'est un morceau de pierre de chance. Tout au long de l'histoire, il a toujours trouvé son digne propriétaire. Personne ne l'a volé, ou nui à son propriétaire de son vivant. C'est comme si ce morceau de bijou choisit son propriétaire. Je me retire bientôt, et je n'ai pas de fils pour faire fonctionner mon entreprise, mais j’ai des neveux qui ne sont pas de la vieille école comme moi; si aucun d'entre sont pauvres en argent, ils ont, comme les pauvres pêcheurs incapable de comprendre sa vraie valeur. Je pense qu'il est temps de lui trouver un propriétaire digne. dit-il en me regardant avec une lueur d'espoir dans ses yeux.
Pour la première fois depuis longtemps, je suis sans voix. J'ai vu la passion dans les yeux de cet homme pour l'amour de son métier, qui est ancrée en lui.
-                Vous pourrez la faire évaluer monsieur, mais je ne sais pas si vous pouvez trouver un autre bijoutier plus qualifié que moi pour l'évaluer. Vous voyez monsieur; ma famille a été dans cette affaire depuis près de six cents années et sur les trois continents. Je suis l’un des derniers ancienne école dans ma lignée familiale.
Même Taylor écoute attentivement.
-                Si vous avez une femme unique en son genre, c'est l'un des joyaux idéal. C'est ce qu'on appelle "un bouquet de lumière" monsieur.
Je m’entends dire:

-                Je le veux. parce que l'histoire de celui-ci vaut autant que l'anneau lui-même. Unique en son genre, comme ma femme.


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