~La Vita Nuova~
In that book which is
My memory . . .
On the first page
That is the chapter when
I first met you
Appear the words . . .
Here begins a new life -- Dante Alighieri
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That is the chapter when
I first met you
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Here begins a new life -- Dante Alighieri
Chapitre
2
Avant
que Taylor et moi partions, mon BlackBerry bourdonne, encore une fois. C'est ma
mère. Je soupire d'exaspération, et répondre au téléphone.
-
Salut maman. Je dis
doucement.
-
Christian ... dit-elle
d'une voix tendue. Je suis immédiatement en alerte.
-
Qu'est-ce qui ne va
pas? Je demande un ton au-dessus.
Cette
journée est de mieux en mieux!
-
J'ai appelé pour
m'excuser, mon fils. Ton père m'a dit ce qu'il avait fait et depuis hier je ne
pensais pas qu'il renouvellerait. Je suis désolé mon fils! Nous aimons
Anastasia. Tant ton père que moi, je l’adore. Il est juste contrarié ... Pour;
Tu sais de quoi il est vraiment contrariée.
Je
soupire.
-
Je sais maman, je
n’apprécie pas ce qu’il à faire. Mais je comprends ses motivations. Peut-on
parler à un autre moment?
-
Non, ça ne peut pas
attendre, dit-elle fermement. Non, si tu as le temps. Tu sais que je ne
voudrais pas m'imposer, mais je ne veux pas que vous soyez remontées l’un
contre l’autre ton père et toi, si proche de votre mariage.
Je
renonce. Je lève mon doigt vers Taylor pour lui indique d’attendre une minute,
et j'entre dans mon bureau pour plus d’'intimité. Je ne veux pas que tout le
monde écoute ma conversation avec ma mère. Ça peut durer un certain temps.
-
Ok, je suis à
l'écoute.
-
Je ne l'est jamais vu
aussi bouleversé par toi, ou quelqu’un d’autre d'ailleurs, comme il était
samedi. Pas même quand tu as laissé tomber Harvard. Il était livide, je me
souviens de ne pas t’avoir vue pendant des semaines, voire des mois. Je ne veux
que ça se répète. Je ne veux pas que Ana paye les conséquences de ce qu’Elena
ta fait. C'est ce qui la principalement bouleversé, et le fait que ça est
durer six ans!
-
Maman, je ne veux pas
discuter avec toi d’Elena ou avec quelqu'un d'autre. C'est un fait accompli.
C'est du passé. Il ne peut pas être changé. Laissons tomber!
La
colère monte en moi.
On
ne peut pas changer ce qu'elle ta fait, ni le fait que j’ai échoué en tant que
parent. Sur ce point je suis d’accord avec toi. Mais Je suis toujours énervé
que tu nous es pas laissé ton père et moi entré dans ta vie afin que nous
puissions t’aider. Au lieu de te ... Elle fait une pause pour étouffer un
sanglot, puis change de vitesse…Mais, rappelle-toi pendant un instant comment
ton père a réagi quand tu as laissé tomber Harvard. Tu connais notre point de
vue concernent un bonne enseignement. Lorsque tu as laissé tomber la bombe sur
nous en disant que tu allais abandonner l’université où la plupart des gens
donneraient leur bras droit pour être acceptée. Tu étais à un an d’obtenir ton
diplôme, et à un très jeune âge tu nous dis que tu lance ta propre entreprise
dans les télécommunications sans expérience pour débuter, pas d'argent pour
démarrer. Je me souviens que tu as pris la porte et mon cœur s’est brisé en
mille morceaux, ton père a perdu son sang-froid le premier, et ta dis que tu
n'obtiendrais rien en laissent tous tomber. Il essayait d'être un père qui
protégeait son enfant, en essayant de te dire sa meilleure façon de faire. Ce
qu'il a fait aujourd'hui, mets inacceptable, il a essayé de faire la même
chose, étant protecteur de son enfant, je suis mortifié et je n'avais aucune
idée de ce qu’il comptait faire, je suis sincèrement désolé pour elle. Je
n'avais aucune idée, Christian! Tu as fait un travail merveilleux avec ton
entreprise, et tu avais la même détermination alors que tu as avec Ana
maintenant. Je sais que tu sais comment distinguer le bien du mal, et je sais
que tu te bats pour ce que tu crois fermement. Je respecte et j'honore ce fils,
Sincèrement. Alors, s'il te plaît ne soit pas fâché avec ton père. Je t’ai déjà
parlé de lui, il est en colère contre lui-même. C'est un homme bon, il t’aime
avec tout ce qu'il ait. Maintenant que tu as trouvé l'amour de ta vie, un jour,
tu auras la chance de comprendre quand tu deviendras un père. Déclare-t-elle en
me faisant sursauter. J'espère que cela ne se produise pas avant un temps très
très très long.
-
Curieusement maman, je
ne suis pas en colère contre mon père. Eh bien… Je me corrige… pas aussi
en colère que je devrais l’être. J'ai eu le sentiment que ça avait quelque
chose à voir avec Elena, et non Anastasia, mais néanmoins, je veux que chacun
comprenne clairement... Dis-je d'un ton inflexible pour faire en sorte qu'ils
comprennent que mes décisions sont fermes et à ne pas prendre à la légère… Je
ne veux pas voir Ana signer autre chose que son certificat de mariage avec moi.
Le sujet est clos. La seule chose qui m'a rendu fou n'était pas que papa
voulait me parler pour exprimer ses préoccupations, mais qu'il a emmené un
étranger pour discuter d’Anastasia; c'était une invasion de notre vie privée!
Non seulement le mien, mais celui
d’Anastasia aussi! Je dois la protéger contre cela. Une fois que nous
nous marierons elle sera exposée à toutes sortes de merde qui m'entoure, et qui
je suis. Je vais faire tout en mon possible pour qu’elle soit à l’abri de cela.
Dois-je ajouter ma famille dans cette liste? J'espère que tu comprends mon
inquiétude maman! Je méritais que père me crier dessus hier. Il devrait diriger
sa colère contre moi, et ne pas punir ma fiancée pour mes lacunes. C'est là que
je tire la sonnette d’alarme.
-
Je sais mon chéri, et
je suis d'accord avec toi en ce qui concerne Ana. Mais je suis d'accord avec
ton père au sujet d’Elena. Ton père sent qu'il a manqué à son devoir. En ne
réalisant pas ce qui l’ont ta fait. Tu n'as aucune idée des tourments que nous ressentons. Nous sentons que nous ne
t’avions pas protéger. dit-elle la voix brisée.
-
Maman, rien de tout
cela n’a été de ta faute. Rien de tout cela! Alors, s'il te plaît, oublie-le,
c'est un fait accompli. C'est du passé ...
Je
n’ai pas le temps de terminer car elle me coupe la parole.
-
Non, Christian!
Donne-moi au moins ça! Donne-moi un peu de marge pour pleurer ... Je suis en
colère contre moi-même, en colère contre ton père, en colère avec toi, tous
pour des raisons différentes, mais tout se résume à Elena. Mais, Ana, elle est
bonne pour toi. Elle te rend heureux, et elle t’aime. Tu ne sais pas comment en
extase je suis de te voir heureux et amoureux ! Tu mérites d'être heureux mon
fils! Donc, ne soit pas en colère contre ton père, et ne le puni
en tenant Ana loin de nous. dit-elle avec ferveur.
-
Oh, je ... Non, bien
sûr que non, maman. Seulement l'entretien que nous avons eu hier, ensuite
comment papa a organisé une espèce d’embuscade pour rédiger un contrat de
mariage à l’attention d’Ana, mon pris au dépourvu! Juste y penser me met en
colère! Je ne veux plus que sa se reproduire à nouveau, jamais. Anastasia va
être ma femme. Comment aurais-tu réagie si ton beau-père t’avait pris au
dépourvu de cette façon? Je sais mieux que la plupart des gens, maman, que
c'est un monde cynique dans lequel nous vivons. Mais, par miracle, j'ai
rencontré l'autre moitié de mon âme, plus de la moitié, la bonne partie d’Ana.
Je vais faire tout faire pour renforcer mon union avec Anastasia, et non
l'affaiblir.
-
Je comprends
parfaitement chéri. Ton père a été un avocat pendant très longtemps, il a vu
des intrigues inimaginables effectuées par des personnes les plus modestes. Il
regarde dehors pour ton intérêt comme un père qui est avocat le ferait, et
peut-être un peu ... surcompenser.
-
Un peu, maman?
-
D'accord, beaucoup. Il
s'occupe de toi à sa manière, non pas que je suis d'accord avec lui sur ce
point. Je ne suis pas d'accord avec son raisonnement ayant appris à connaître
Ana, tu comprends, mais ton père pense que tu apportes beaucoup dans votre
mariage financièrement, et elle est un peu moins avantager financièrement ...
Je
renifler à sa réponse.
-
Pense le de cette
façon maman: Quand tu m'as trouvé la première fois, j'été un affamé,
sous-développé, sale fils de pute à crac qui a été maltraité par son proxénète
putain! Ça n’aurait pas pu être plus bas que cela. Mais, tu m'as adopté, maman!
Tu l'as fait, et je ne dis pas que sa suffira pour toi, mais tu m'as sauvé la
vie! Tu l'as fait, maman! Sans regarder en arrière, sans penser au genre de
problèmes que je pourrais vous infligez. J'ai travaillé dur. Très très dur pour
amasser ma fortune et réussir dans les affaires. N'est-ce pas ma décision pour
qui et comment je veux la partager ? Financièrement elle n’apporte rien dans
notre Union, à part ces soins. Je suis très bon à faire de l'argent. Ce qu'elle
me donne est tout d'elle-même, son amour, sa capacité de voir à travers moi, sa
capacité à pardonner. Depuis que nous sommes ensemble, je me sens en vie ....
Comme si ont été en confession. Peux-tu mettre un prix à cela?
-
Je peux voir la
différence. Je sais que tu ais épanouie depuis qu'elle est avec toi. Je suis en
admiration complète devant elle.
Sa réponse adoucit mon cœur.
-
Elle est ma vie,
maman. Je l'aime plus que moi-même. Je ne sais pas ce que je ferai sans
elle. j’exprime en déglutissent.
-
J'espère que tu
n'auras jamais à le savoir, mon chéri. C’est une bonne fille. Je l'aime
tendrement pour être aimante envers toi. Tu mérites d'être aimé, sans
condition. Je vais en parler à ton père. Essaye d'être un peu indulgent, s'il
te plaît, Christian. Pourrais-tu le faire pour moi, mon chéri? Il la fait,
parce qu'il t'aime, et qu'il a échoué envers toi. C'est sa détresse qu’il la
fait agir ainsi. Parfois, tu fais quelque chose, quelque chose de négligent, ou
tu ne faire rien, et quand tu te rends compte, tu veux revenir en arrière dans
le temps, et réparer cette chose, mais tu ne peux pas parce que l’eau à couler
sous les ponts, mais le déluge de celui-ci a endommagé ce que tu aimes plus que
ta propre vie. Peux-tu essayer de le comprendre et être gentil avec lui ?
-
Je comprends mieux que
tu peux l'imaginer mère. Je vais faire de mon mieux, mais s'il te plaît,
dites-lui de laisser Anastasia en dehors de ça. Je ne négocie rien quand il
s'agit d’elle. Il peut être en colère contre moi, mais elle doit être dirigé
juste vers moi, pas sur elle. Je veux que cette limite soit respectée.
-
Je vais m'assurer
qu'il n'insiste pas à nouveau chéri. Je m'excuse pour hier et aujourd'hui.
Veux-tu que j'appelle Ana pour présenter des excuses?
-
Non, maman. Je ne veux
pas qu'elle apprenne pour aujourd'hui. Elle va en être énormément blessée. Je
ne souhaite pas que cet incident est un impact négatif sur ma relation avec
elle. En fait, s'il te plaît assure-toi que personne dans la famille ne le
découvre. Ni Mia, et certainement pas Elliot; il le dira à sa petite amie, elle
va le dire à Ana. Je ne veux pas qu'elle me quitte, car elle va penser que vous
pensez du mal d'elle. J’explique d'une voix à peine contrôlée.
-
Je suis vraiment
désolé de nouveau fils ... pour hier et d'aujourd'hui. Nous t’aimons vraiment
mon fils! Même les parents font des erreurs. Seulement donne-lui un peu de
temps pour digérer Elena. Il a eu un choc. Il n'a pas été lui-même depuis
samedi soir, il se consume. Dit-elle en me faisant sursauter.
Moi
aussi, mais je ne lui dis pas. Ce n'est pas la chose la plus facile à assimiler
quand vos parents savent que vous avez commencé à baiser l'ami de votre mère à
l'âge de 15 ans, indépendamment du fait qu'elle vous a séduit.
-
Oui maman.
-
Oh, Christian, je suis
si heureuse que toi et Ana ai décidé de faire le mariage ici. Mia et moi aurons
de super moment pour l’organisation. En attendant, nous allons voler Ana
souvent ce mois-ci parce que nous aurons besoin de ses idées.
-
Bien Maman, tu dois
organiser ça avec elle. Essayer de ne pas me l'enlever trop longtemps. Répond
en taquineries.
-
Je ferai ce que je
peux chéri. Je vais te laisser tranquille maintenant. Je t'aime, mon fils.
-
Je t'aime aussi,
maman.
-
S'il te plaît, soit
indulgent et ne met pas de tension dans ta relation avec ton père à un tel
moment. Il est très en colère, et confus. Connaissant ton père, cela se produit
rarement. Je ne l'ai jamais vu comme ça.
-
Je vais garder cela à
l'esprit maman. Merci, dis-je en raccrochent.
Je
passe mes deux mains dans mes cheveux. Je jette le BlackBerry sur mon bureau et
m'enfonce ce qui fait protestation le cuir de ma chaise sous mon poids.
Mes
pensées dériver vers hier. C'était censé être juste un petit déjeuner dans la
maison de mes parents, mais ma mère ne pouvait pas garder sa bouche fermée elle
la dit à papa à propos d’Elena et moi. Quand nous sommes arrivés à la maison de
mes parents, le regard de papa était fumant comme l’Old Faithful, mais il a
réussi à esquisser un sourire pour le bénéfice d'Anastasia qui bien sûr n'a pas
atteint ses yeux.
Mia
et ma mère ont effectivement enlevé Anastasia pour parler de notre mariage à
venir, donc je suis restais là, avec mon père.
-
J'ai besoin de parler
avec toi Christian. Suis-moi dans mon bureau s'il te plaît.
Sans
même me donner une chance de dire non. Nous avons eu un entretien sur Elena
hier soir après que ma mère lui est divulguée. Je me demandais quelle serait le
sujet de celui-ci. Il marcha dans la direction de son bureau, me laissant le
suivre et laisse la porte ouverte en
attendent derrière comme le directeur d'école qui était sur le point de
faire la leçon à l’élève le plus perturbateur. Il ferma la porte derrière lui
après que je sois entré.
Nous
nous regardâmes l'un l'autre pendant une longue minute. Son regard en colère,
furieux même une inquiétude à peine contenue, le mien impassible, mon masque
d'indifférence mise en place fermement, inflexible.
-
Ta mère était
bouleversée hier, je ne peux pas dire que je la blâme. Je n'ai pas pu dormir de
la nuit. m’at-il lancé. Je me suis toujours flatté d'être un homme, sain
d'esprit, responsable, bien éduqué. Je pensais que mes pieds étaient fermement
plantés sur le sol. Tu m'as fait me sentir incroyablement stupide plus que je
l'ai jamais ressenti avant. Un fou, un imbécile! Déplore-t-il.
Ce n'était pas ce que je m'attendais à ce
qu'il dise.
-
Stupide? Comment?
Pourquoi? Je demande incapable de contenir ma curiosité.
-
Parce que, pour la
première fois de ma vie, mes pieds n'étaient pas sur le sol, tu m'as berné à 15
ans! Et tu nous as rien dit. Tu as été abusé juste sous notre nez, et nous ...
je. Il se corrigea. J'aurais dû le voir. Tu étais seulement un garçon! Je me
sens comme un putain d’idiot, mon fils! J'aurais dû remarquer et t'apporter mon
aide. Je suis en colère contre toi plus encore que quand tu nous as annoncé que
tu quittais Harvard, parce que tu étais assez intelligent pour savoir mieux, au
moins après un certain temps. Je pensais que je tu avais plus de bon sens. Au
moins pour venir vers moi ... me haïssais tu tellement que tu ne pensais pas
avoir suffisamment confiance en moi pour venir te confier ou demander de
l'aide?
-
Quoi? Non! Papa, non!
-
Si ta mère n’avait pas
insisté que ce serait nuire à ta réputation, je porterais des accusations
contre cette garce à l'instant! Rien de ce que tu aurais peu dire ou faire ne
m’aurais arrêté! Mais je ne serais nuire à ta mère. Elena Lincoln ta faire du
mal, ma faire du mal, et elle fait mal à
ma femme. Et personne ne fait mal à ma femme! Personne ne blesse mon enfant et
s'en tire!
-
Papa! C'est du passé.
Je ne l'ai pas arrêté. J'aurais pu. Je suis aussi coupable qu’Elena.
-
Tu étais un garçon!
-
J'étais un garçon,
mais que pour 3 ans! Cela a duré pendant six! J'avais 21 ans quand sa sais
terminer.
-
21 ans? Il demande
avec scepticisme. Tu es sûr? De ce que
ta mère a surpris de ta grosse dispute avec Elena, ça sonnait plutôt comme si
elle avait encore des sentiments pour toi!
Sentiments? Elle n’y a pas de sentiment papa. C'était
seulement du sexe! Et c'est fini maintenant. Depuis des années. C'était une
erreur, une que je ne répéterais pas.
-
Qu'en est-il
d’Anastasia?
-
Quoi Anastasia? Je
demande avec appréhension.
-
Est-elle une autre de
tes erreurs?
-
C'est quoi ce bordel,
que veux-tu dire ? Je grogne
avançant d'un pas vers mon père automatiquement. Il ne vacille pas. Reste ferme
dans sa position.
-
Tu l'as connait peu?
Cinq minutes, et tu veux te marié avec elle. Elle semble être une excellente
fille, ne te méprend pas. Mais y as-tu suffisamment réfléchi ? Le mariage n'est
pas comme une erreur de six ans, tu peux consentir d'une part, après rejeter.
-
Tu ne sais rien
d’elle!
-
Non, mais je connais
bien ton genre de femmes maintenant. Dit-il en me faisant perdre mon
sang-froid.
-
Mon genre de femmes?
Qu'est-ce que tu en sais à ce sujet? Tu parles d'une femme qui m'a séduit à 15
ans! Ne t’avise pas de mettre Anastasia dans la même catégorie qu’Elena! J'aime
Anastasia, et elle m'aime!
Mon
père tourne en rond et s'arrête juste en face de moi.
-
Très bien. Je vais te
donner cela. Voici ma réfutation pour toi, fils. Si elle t’aime vraiment, elle
ne serait pas opposer à signer un contrat de mariage. Cela permettra de
protéger ...
-
Ce serait la
rabaisser!
Je
sens la colère monté en moi.
-
Cette conversation est
terminée !
Je
me tourne pour sortir par la porte.
-
Tu ne vas pas sortir
par cette putain de porte! C'est ce que tu fais toujours! Tu ne fais pas face à
tes problèmes, tu fuis! Il hurle
Juste
quand ma main atteint la porte, ma mère arrive avec un regarde sur son visage
tiré qui dit "ne-te-fout-pas-de-moi".
Elle
ferme la porte derrière elle, et verrouille en mettant la clé dans sa poche.
Vous deux; assis! Elle ordonne d'un ton à ne pas prendre à la
légère.
-
Chérie, je suis désolé
...
-
J'ai dit, assis,
Carrick!
Elle
le regarde, à contrecœur nous le faisons tous les deux, boudant comme un couple
d'adolescents.
-
Que ce passe t'il ici?
Nous
restons tous deux obstinément silencieux.
-
Christian?
Elle
se tourne vers moi. Je hausse les épaules, sans rien dire.
-
Carrick?
Elle se tourne vers papa, il croise les bras
devant lui dans un geste de défense, assis dans son fauteuil, regardant
personne en particulier.
-
C'est ce que je
pensais. Bon, les hommes Grey. Vous pouvez bouder, mais vous ne quitterais pas
cette salle jusqu'à ce que vous me disiez ce qui se passe entre vous deux.
Est-ce la phase deux de la conversation avec lui à propos d’Elena, Carrick?
Est-ce que la bataille continue?
-
En effet, mais le
combat n'est pas à propos d’Elena. Mon père répond d'un ton plus doux, mais
ferme.
De quoi s'agit-il alors ? Demande-t-elle. Il ne dit rien.
Christian? Elle demande en se tournent
vers moi. Je ne dis rien.
Ma
mère met ses mains sur ses hanches.
-
Carrick! Le canapé du
salon en bas sera à ton nom si tu ne me
dis pas ce qui se passe entre toi et notre fils !! Elle menace mon père pour
qu’il s’explique.
C'est à ce sujet. Dit
mon père en lui montrant un document imprimé de la première édition d’Orgueil
et préjugé.
J'ignore
pourquoi j'ai pensé à ça. Bouche bée de son insolence. Serait-ce l'arrogance de
mon père, ou son ego blessé en tant que père?
-
Tu as déjà rédigé un
document? Je ne peux pas le croire! Quand as-tu eu le temps de le faire? Je
braille.
-
La nuit dernière ...
Après t'avoir parlé. dit-il la tête basse.
Ma
mère regarde le document, sa tête se redresse pour regarder mon père.
-
Pourquoi veux-tu faire
cela Carrick? C'est notre fils!
-
Oui, notre fils qui a
été abusé par une femme avant!
-
Une femme! Bon sang!
Ne catalogue pas Anastasia avec Elena! Putain, je pars! La Clé, mère!
-
Assis-toi, Christian.
Ma mère dit doucement, si doucement, blessé même. Je m'assieds.
-
Carrick, chérie ...
Anastasia n'a pas fait cela à Christian. Elena la fait. Anastasia est tout
aussi une victime d'elle. Il n’a pas dû être facile pour elle de découvrir que
son fiancé avait été ... Elle s'arrête et creuse son cerveau pour trouver le
mot le moins offensant, pour finalement trouver et continue : Déflorée par
une pédophile, le fait que je l'ai invitée à la fête d'anniversaire de
Christian, le soir, ou ils ont annoncé leurs fiançailles! Cette pauvre fille!
Que doit-elle penser de moi! Elle a dû subir Elena et maintenir les apparences
pour le reste d'entre nous! Et qui plus est, Elena s’en est prise à elle !
Le
visage de mon père changements, il a d'abord un regard peiné puis coupable et
chagriné.
Je
sais. Je me sens ... Je me sens incapable ... Confus. Je me sens vieux ...
Dit-il en levant les yeux vers elle, les yeux fatigués, ressemblant à Atlas
s’affaissent sous le poids du monde : Le tapis a été retiré de sous mes
pieds, et maintenant j'ai cette, cette envie horrible de réparer ce que je ne
peux pas faire... Ce que je ne savais pas ... j'aurais été capable de protéger
mon fils, Grace! J'aurais dû le savoir. Maintenant, je suis en train de faire
... Je suis en train de faire les choses bien pour mon fils. Je suis en train
de regarder dehors pour son intérêt même s'il ne se rend pas compte que c'est
ce que je fais. Ana est une grande fille. Une fille merveilleuse! Dit-il avec
ferveur. Elle est la meilleure chose
qu’il te soit jamais arrivé, Christian! Elle l’est vraiment ... Il ajoute en me
regardant avec des yeux déterminés : Mais c'est un monde cynique, fils. Tu
devrais le savoir. Les bonnes choses peuvent se gâter très vite en un clin
d'œil. Tu tais toi-même isolé du monde, mais je le vois jour après jour au
palais de justice. Si elle t’aime vraiment, elle voudra s'occuper de tes
intérêts, également, dit-il avec ferveur.
Carrick, c'est assez! Rétorque
ma mère avant que je ne puisse avoir le temps de dire un mot.
-
Le sujet est clos.
C'est quelque chose qu'ils doivent décider ensemble. Ce n'est pas de notre
ressort.
-
Mais, Grace ...
-
Il gèlera en enfer le
jour où j’en discuterai avec elle! Je dis debout.
-
Très bien! Mon père
répond tenant ses mains dans un geste vaincu. Je sais quand je suis en
infériorité numérique, et je n'aurais jamais parié contre ta mère. Mais, s'il
te plaît fils, juste, juste examine le. Je suis seulement inquiet pour
toi.
-
Papa ... S'il le
plaît, laisse tomber !
Il
soupire, et ne dit rien.
-
Bon les hommes, Grey.
Serrer vous la main et souriais. Nous avons un merveilleux petit déjeuner à
manger et avant que le reste de la famille viennent nous chercher, abandonner.
On y va! Dit ma mère.
Mon père lui prend la main et nous quittons
son bureau. Je pensais qu'il avait laissé tomber le sujet jusqu'à ce qu’il ces
passé après le petit déjeuner.
Tout
allait bien jusqu'à ce qu’après le petit déjeuner Mia surfe sur le web cri,
sans savoir ce qui s'est passé plus tôt.
Regardez-moi ça! Elle hurle en installent son iPad sur
la table de la cuisine devant toute la famille. Le site Seattle Nooz a fait une
brève sur vos fiançailles. Elle informé tout le monde.
Ma
mère était surprise car c'était le matin de notre annonce pour uniquement la
famille et les amis.
-
Déjà? Dit-elle.
Mais
se rappelant ce qui s'est passé entre mon père et moi il y a moins d'une heure,
elle pinça ses lèvres, je fronçai les sourcils vers elle pour être aussi
transparente. Mais ma sœur qui est complètement inconscient du monde, bon sang,
dans quelle famille elle vie, a continué à lire le blog à haute voix.
-
Le Nooz vient
d’apprendre que le plus beau parti de Seattle, le Christian Grey, a fini par
craquer et s’apprête à se faire passer la corde au cou. Mais qui est l’heureuse
élue ? Le Nooz mène l’enquête. Parions qu’elle est déjà en train de
négocier les clauses de son contrat de mariage.
Mia
rigolé et j'ai dû l'arrêter par un regard noir à cause d’Anastasia qui avait
l'air de s'être fait giflé, un air glacial se rependu dans la salle à cause de
ma réaction. Anastasia me regarda avec appréhension, je secouais la tête vers
elle, et articule silencieusement.
-
Non
Mais, mon père devait ouvrir sa gueule dans
notre conversation comme si nous ni avons pas mis un terme à ce matin.
-
Christian, me dit-il
doucement, câlinent.
-
Je n’ai aucune
intention dans rediscuter. j'aboie sur lui.
Me
sermonner! Devant Anastasia! Je n’ai plus 15 ans pour être grondé, et mis en
garde comme ça! Puis il se tourne vers Anastasia nerveusement, ouvrant la
bouche pour lui dire quelque chose! Je devais étouffer ça dans l'œuf!
-
Pas de contrat de
mariage! Je lui crie.
De
toutes les personnes, ce doit être mon père qui allait me donner un infarctus!
J'arrivais à peine à me contenir et me forcer à tournais mon regard vers le
Wall Street Journal, je le tenais dans les mains en me concentrant sur les
nouvelles financières. Je sens tout le monde me regardait, et regardait
Anastasia. Je pense qu'ils la mettaient très mal à l'aise Anastasia, elle se
sentie obligée de dire quelque chose.
-
Christian, dit-elle
d'une voix douce. Je signerai tout ce que vous me demanderez de signer M. Grey
et toi.
Bien
sûr, elle le ferait. Elle m'aime, et je l'aime pour cela, mais c'est hors de
question. Je ne veux pas de barrières entre nous. Aucun contrat autre qu'un
mariage, mettre des clauses entre nous n’est pas le genre d’intimité structuré
que je veux avec elle.
-
Non! lui
dis-je sévèrement, dirigeant ma colère sur elle.
-
C'est pour te
protéger, poursuit-elle.
-
Christian, Ana - Je
pense que vous devriez en discuter en privé.
Ma
mère dit nous admonestant tous les deux, probablement ne voulant pas que mon
père obstine à nouveau, en regardant fixement à la fois mon père et Mia.
Ana, il ne s’agit pas de toi. Mon père murmure un peu
chagriné, en essayant de la rassurer.
-
Et s'il te plaît
appelle-moi Carrick.
Bordel,
pourquoi continue-t-il toujours? Je viens de le fixai d'un air glacial, ma rage
se concentre sur lui uniquement. Est-il en train de ruiner ma relation avec
Ana? Putain de merde déjà!
Ma
mère, Mia et Katherine commencé à desservir la table du petit déjeuner, parlent
consciemment sur le monde fascinant de la saucisse contre le bacon. La bonne
humeur d'Anastasia est envolée, elle regarde fixement ses doigts noués. Je sais
ce qu'elle pense; c'est ce que je craignais, et pourquoi je ne voulais pas
qu'elle apprenne cette conversation. Elle pense que mes parents pensent qu’elle
est une croqueuse de diamant ce qui n'est pas vrai, et même s'il le pensait, je
m'en ficherais. Je la connais! C'est ce qui compte. Nous étions assis à côté
l’un de l'autre, mais elle dérive à des kilomètres d’ici. Je m'approche et
saisis ses deux mains dans les miennes.
-
Arrête,
dis-je avec ferveur.
Elle
lève les yeux cherchant mon regard.
N’écoute pas mon père. Tout ça, c’est pour moi qu’il le dit.
S’il est de mauvaise humeur, c’est à cause d’Elena. Je regrette que ma mère lui
ait tout raconté. Je dis dans un murmure qu'elle seule peut entendre.
-
Il n’a pas tort,
Christian. Tu es très riche, et moi je ne t’apporte rien, à part mes emprunts
étudiants.
Rien?
Elle est tout ce que je veux, tout ce qu'il me faut. Je ne voudrais pas de son
argent si elle en avait. J'ai beaucoup de merde de celui-ci; qui plus est, je
sais comment en faire. Elle est la propriétaire de mon cœur. Elle est ce qui me
rend vivant. Elle n’a pas de rival, n’y égal. Cela fait d'elle une valeur
inestimable. Plus que tout mon argent. Sans elle, je n'ai rien.
-
Anastasia, si jamais
tu me quitte, j'aime autant que tu prennes tout. Tu m'as déjà quittée une fois.
Si jamais je revivais ça...
-
C'était différent.
murmure-t-elle. Mais ... tu voudras peut-être me quitter un jour, toi.
D’un
regard écœuré. Je renifle, et secoue la tête dans un dégoût simulé.
-
Christian, tu sais que
je pourrais faire quelque chose d'exceptionnellement stupide, et tu ...
Elle
regarde à nouveau fixement ses mains noués, se tortillant comme si je la poignardé,
son visage tombe. Je ne peux pas la prendre sur mes genoux pour la réconforté.
Mon père sait comment gâcher les choses, Putain.
-
Arrêtez. Tout de
suite. Cette conversation est terminée, Ana. On n'en reparlera plus jamais. Pas
de contrat de mariage. Ni maintenant ni jamais!
Je
la regarde avec la finalité dans ma décision, et me tourne vers ma mère.
-
Maman, on pourrait se
marier ici?
Et
bien sûr j’entendre le cri ravi de ma mère. Et, le regard d’Ana qui enfin
réalise qu'ils l’aiment, et je pousse un soupir de soulagement.
Et
maintenant, tout ce que je veux faire, c'est partie pour câliner ma femme. Mais
d'abord, je consulte mes e-mails:
De: Anastasia Steele
Sujet: Rêvasse ...
Date: 20 Juin, 2011
15:07
Pour: Christian Grey
... des fleurs des
champs de toi de tes mains, de ta langue, du hangar à bateau avec les lumières
tamisées et les murs rustiques. Tu me manque.
Folle et Insatiable de
Sexe
Ta fiancée
A x
Putain
la réponse! Je vais la ramener à la maison, maintenant. Je sors de mon bureau
où Taylor attend impassible.
-
Prêt, monsieur? Qu'il
demande.
-
Oui.
Il
n'a même pas besoin de demander où. Il sait. Je compose le téléphone
d’Anastasia sur le chemin.
-
Salut Christian. elle
répond au téléphone.
-
Tu as demandé mon
attention, désormais tu l'as le bébé. Emballe tes affaires, je viens te
chercher.
-
Quoi? J'ai encore une
autre heure de travailler. répond-elle.
-
Eh bien, selon ma
montre, ton temps de travail est fini.
-
Je n'ai pas demandé à
mon patron, si ...
-
Le patron du patron de
ton patron dit que tu peux décoller. En faits, il insiste sur ce point.
Je
dis avec ma voix la plus salace, et je-ne-peut-persuadé-ma-voix du contraire.
Le fait est, j'ai besoin d'elle. J'ai eu une journée de merde. Un grand nombre
de chose se sont produite hors de mon contrôle, c'est quelque chose que je
déteste. Je dois avoir le contrôle. Anastasia est mon endroit sûr, elle me
donne la paix, l'excitation. Elle réveille des sentiments en moi dont
j'ignorais l’existence. Le fait qu'un certains enculé veux me tuer est
confirmée et c'est ce que je soupçonnais tout au long de l'enquête est ça me
rend fou. Mais douter et savoir sont deux choses différentes. Maintenant, je
sais. Et la merde que mon père à sortit aujourd'hui! Je peux gérer les
déraillements provenant de ma propre merde, mais venant de ma propre famille
c'est? Allons! Donner à l'homme une pause!
-
Christian, je travail
....
Je
la coupe.
-
Anastasia, nous
n'avons qu'un mois avant notre mariage, et il y a beaucoup à faire. Je suis
surpris d'être celui qui te le rappel. Je pensais que les filles planifié leur
mariage depuis le berceau, ou quelque chose comme ça! Je dis changent de
tactique.
-
Oh! C'est vrai ...
dit-elle ai réfléchi.
-
Je ne pense pas que tu
devrais travailler à temps plein au moins jusqu'à ce que nous partions pour
notre lune de miel. Cela va être un mois chargé déjà. Qu'est-ce qu’une heure de
toute façon aujourd'hui. Je croyais que tu aimés passer du temps avec moi. je
dis ma voix va basse.
-
C'est le cas!
Christian, c'est vrai. Mais ...
-
Pas de mais Anastasia.
Nous sommes au coin. Emballe tes affaires. Que Dieu m'aide, je te porterai sur
mon épaule devant tes collègues comme un homme de Neandertal avec une grande
tape sur ton cul délicieux.
-
Tu n'oserais pas!
-
Oh, bébé, ne me tente
pas. Tu sais que je le ferais. Je dis d’une voix profonde.
Je
ne veux pas qu'elle me désobéisse, pas aujourd'hui. Mon regard croise celui de
Taylor dans le rétroviseur. Il est légèrement amusé.
-
Très bien! Je serai
devant le bâtiment dans quelques minutes. Attend-moi. Pas besoin de me traîner
... Dit-elle Exaspérée.
Un
mois de plus ... Un mois de plus ... Un mois de plus ... je chante à moi-même.
C'est mon mantra maintenant. Une fois que nous serons mariés, elle devra
m'obéir alors. Nous n'aurons pas à avoir des discussions pour savoir si elle
est d'accord avec moi sur quelque chose d'aussi simple que son retour à la
maison avec moi. Elle me promet d'obéir. Si elle ne parvient pas à écouter, je
vais lui rappeler la promesse qu'elle avait faite devant Dieu et tous ceux qui
nous sont proches et chers. Ou bien, je vais avoir le plaisir de la fesser pour
rectifier la situation. De toute façon, c'est gagnant-gagnant. Détendu, je suis
assis en arrière. Taylor sort du coin de la rue et se gare en face de SIP.
-
Monsieur, il y a des
photographes qui attendent à l'extérieur. Voulez-vous que je me gare à
l'arrière, et faire sortir Mlle Steele par l'entrée arrière ?
-
Non, Taylor. Parce que
s'ils ne nous voient pas ensemble maintenant, ils vont continuer à la harceler.
Donnons-leur ce qu'ils veulent, et étouffer ça dans l'œuf. Dite à Sawyer de
nous suivre dans la voiture de Mlle Steele.
Je
me prépare à quitter la voiture. Taylor fronce les sourcils mais ne dit rien.
Dès que je vois Anastasia sortir du bâtiment, je sors de la voiture, marche
vers elle d'un pas rapides. Taylor éteint la voiture rapidement et court après
moi. Il devient plus anxieux avec des foules inconnues qu’il n'a pas fouillées.
Lorsque les journalistes me voient, les caméras se mettent à clignoter dans
tous les sens. Anastasia ressemble à un cerf pris dans les phares, mais je la
rejoins très rapidement avec un sourire rassurant, la tien dans mes bras.
Lorsque son regard se verrouille sur le mien, elle a l'air détendu, je prends
sa main en lui donnant un sourire qui est réserve seulement à elle, la rassurant,
la suppliant de me faire confiance, et me laissé me charge de ça. Elle
comprend, et me fait un sourire éblouissant.
Mon
bras protecteur serpente autour d’elle, d'une part en bas de son dos et l'autre
en-là tenant doucement à la nuque. Quand nos lèvres se touchent. La connexion
entre nous déclenche tous nos synapses et l'électricité cours à travers mon corps, l'énergie qui vrombi
nous lie. Ma langue se glisse dans sa bouche, la sienne me caresse elle se
détend instantanément et m'enflamme. Mais je ne veux pas que les autres la
voient dans la passion. Alors je
rétracte ma langue à contrecœur. Je peux entendre les sifflets derrière nous,
finalement sort ma langue et termine avec un chaste baiser.
-
M. Grey! M. Grey!
Félicitations monsieur! Je suis du Times Seattle. Pourriez-vous nous présenter
votre fiancée s'il vous plaît?
-
Et votre nom? Je demande, il est trop désireux de répondre.
-
Je suis Andy Ritter.
-
Andy, c'est ma fiancée, Anastasia Steele.
Anastasia lui donne un sourire timide mes bras
s’enroule autour d'elle, je la tien de manière possessive ce qui n'échappe pas
à l'attention des photographes, ils prennent des photos en rafale. Anastasia
devient rigide avec toute cette attention, mais je la tiens de manière à ce que
personne ne puisse accéder à elle sans passer à travers moi.
-
M. Grey! Mlle
Steele! Seattle Nooz. Pouvons-nous vous poser une
question?
-
Vous venez de faire. je réponds.
-
Nos lecteurs veulent
savoir à propos du contrat de mariage. dit-il
Anastasia
est rigide.
-
Qu'en est-il? Je
demande impassible.
-
Qu'est-ce qu'il y a
dedans, monsieur?
-
Pourquoi Devriez-vous
vous en préoccuper? Je demande nettement, en notant sa bague de mariage.
-
Parce que nos lecteurs
veulent savoir.
-
Très bien, mais
dites-moi le nom de votre épouse.
Je
me tourne pour regarder Anastasia.
-
Humm. Marilyn.
-
Qu'est-ce que Marilyn
à signe avant votre mariage ?
-
Hum, rien. Mais alors,
je n'ai pas vos actifs considérables, monsieur. dit-il presque moqueur.
-
Pourquoi pas?
N'avez-vous pas travaillé assez dur? Comment dépenser-vous votre revenu moins
considérable?
-
Monsieur?
-
Vous ne voulez pas me
dire comment vous dépensez votre revenu?
-
Non, parce que ce
n'est pas intéressant. Le vôtre l’est. Dit-il en ricanant.
Donc,
c'est votre jeu. Je plisse les yeux vers lui et me concentre.
-
Mais, je suis très
intéressé de savoir comment vous dépensez le vôtre. Ainsi que ma fiancée.
N'est-ce pas, bébé? Je demande à Anastasia.
Elle
hoche la tête comprenant. Elle connaît mon jeu. Bonne fille!
-
Dites-moi, le mari de
Marilyn, comment vous dépensez votre argent, ce que vous faites avec lui,
combien en avait-vous alloué pour votre femme si vous devait tous les deux
divorces?
Il
gigote mal à l'aise sous mon regard direct.
-
C'est privé, monsieur.
-
Votre vie est privée,
mais la mienne pas? Ne Suis-je pas en droit d’avoir les mêmes égards que vous?
Je lui demande tranchant, mais garde un sourire éclatant sur mon visage, me
tourne vers le reste des journalistes.
-
Je suis heureux de
répondre à des questions aussi longtemps que ma fiancée et moi ne sommes pas
harcelé, ou notre vie privée envahie. Je pense que comme tous citoyens, j'ai le
droit aux mêmes droits à la vie privée comme l'un de vous. Je vous remercie
d’être venu et prendre le temps de rencontrer ma magnifique fiancée. Je suis
plus qu'heureux de vous la présenter. je dis en la regardant pour la rassurer.
mais, je ne veux pas que quiconque essaie d'envahir sa vie privée, ou lui faire
peur. Cela ne fera que vous entrainez un procès par opposition à une
conversation agréable. Mon bureau des Relation Publique fera une déclaration
plus tard dans la soirée. Cependant, comme vous pouvez le voir, j'ai travaillé
toute la journée, ainsi que Mlle Steele; nous aimerions juste partir, chercher
quelque chose à manger, rentrer à la maison et se détendre maintenant. Merci à
vous tous d'être venus.
-
M. Grey! Crie un
journaliste.
-
Qu'est-ce que Mlle
Steele fait?
-
Elle est debout ici.
Pourquoi ne lui demandez-vous pas? Je réponds rassurant Anastasia avec ma prise
serrée.
-
Toutes mes excuses
madame. Mlle Steele, Randy Harford de la Tribune. Que faites-vous chez SIP?
-
Je suis ici en qualité
éditrice. répond-elle.
-
Merci madame. dit-il
en lui souriant en réponse à son sourire timide.
Merde,
elle a un autre admirateur. Je hoche la tête et marche tout en maintenant
Anastasia sous mon bras vers le SUV. Nous entendons les éclairs derrière nous.
-
Embrasse-la! Quelqu'un
crie derrière.
-
Quel enfer ! Dis-je,
Je
plongeant vers Anastasia, et l'embrasse, souriant sur ces lèvres. Quand nous
sommes tous les deux à bout de souffle, je me relève, introduit Anastasia dans
le SUV, je monte juste après elle, puis Taylor ferme la porte derrière nous.
-
C'était quoi ça? Tu
n'as jamais montré ton affection en public comme ça. demande Anastasia
perplexe.
-
En leur donnant
quelque chose à imprimer, j'ai voulu assuré ta sécurité, pour les empêcher de
te déranger dans l'avenir. Leur jetant un os ...
-
Oh.
-
Comment était ta
journée?
-
Occupé. A lire un
grand nombre de manuscrits et j’ai eu une réunion avec le rédacteur en chef,
maintenant je vais à la maison avec toi. dit-elle en souriant.
-
Ravi que vous le
faisiez Melle Steele. Qu'est-ce que tu as mangé au déjeuner?
Je
demande impassible. Elle s'empourpre immédiatement. Merde! Elle n'a pas mangé.
Elle ne répond pas.
-
Anastasia? Je
l’amadouer.
-
Le scone et une tasse
de thé.
-
Ana! Tu ne peux pas
passer une journée entière avec juste un scone. je dis criant avec des yeux
noirs.
-
Je ne me sentais pas
l'envie de manger après ce matin, Christian. répond-elle avec vivacité.
-
Anastasia, je ne
comprends pas pourquoi tu me défie à chaque fois! Je veux que tu manges. Tu
n’as pas encore récupéré le poids que tu as perdu!
-
J'aime être mince
comme çà. réplique-elle.
-
Ça me fait me sentir
coupable que tu ne manges pas, je me
sens comme si Je n'arrive pas à prendre soin de toi. Que tu ne me laisses pas
prendre soin de toi !
-
Oh, Christian, c'est
un seul repas! Tu vas t'en remettre je t’assure!
Je
plisse les yeux vers elle.
-
Tu sais que je peux te
prendre sur mes genoux. je dis sombrement.
Elle jette un regard nerveux à l'arrière de la
tête de Taylor.
-
Tu n'oserais pas ici!
Murmure-t-elle.
J'arrive
vers elle et déboucler sa ceinture rapidement en un éclair et la tire sur mes
genoux et lui met une claque fort sur
son cul.
-
Wow
Elle hurle plus de la surprise que de mal.
Taylor regarde soigneusement devant sans même rencontrer mon regard dans le
rétroviseur.
-
Tu disais Anastasia?
Elle
frotte son cul avec une main, je la tire sur mes genoux, la serre dans mes
bras. Embrassant le haut de sa tête, je murmure:
-
Ne pas me défier. Mais
je suppose que tu ne le feras plus après que nous soyons mariés.
-
Comment peux-tu être
sûr de cela? Je suis ce que je suis, Christian. Tu dois me prendre comme je
suis.
-
Je te prends comme tu
es. Mais tu dois m'obéir, parce que je dois te protéger. Bon Dieu, J’ai
l’impression de devoir te protéger malgré toi. Je suis en train de m'occuper de
ton bien-être, Ana!
-
Christian, qu'est-ce
qui te fait croire que je vais changer du jour au lendemain une fois que nous
serons mariés? C'est ce que je suis.
dit-elle cherchent mes yeux.
-
Parce que tu me
promettras de m'obéir. C'est écrit dans les vœux de mariage. J’affirme.
-
Mais, Christian, je ne
veux pas dire des vœux qui ne s'appliquent pas à nous. Je pensais que nous
allions écrire nos propres vœux.
-
Quel est le problème
avec ceux qui ont été écrit? Les gens les ont dits depuis des centaines
d'années, ils sont bien fonctionnés jusqu'à présent. Je réponds en la mettant
sur le siège en essayant évaluer sa
réaction.
-
C'est ça le problème,
Christian. Ils sont vieux! Toi et moi somme unique. Je veux que nos vœux
parlent de Christian et Ana. Nous ne vivons pas au Moyen Age; J'ai cherché
aujourd'hui. Ils ont été écrits à l'origine en 1549, Eux même fondée sur des
anciens textes latins. Qui sait quand cela a été écrit! Dit-elle.
-
Qu'est-ce que dans les
vœux originale ne te plait pas, alors? Il doit y avoir quelque chose qui te
déplaît dedans.
-
Il ne reflète pas
notre amour et notre dévotion pour l'autre. dit-elle se qui échappe à ma
compréhension.
-
Examinons-les, alors,
on y va?
-
Ici? Dans la voiture?
Pouvons-nous attendre jusqu'à ce que nous soyons à la maison, s'il te plaît?
Regardant
Taylor. Je hoche la tête à contrecœur, pas trop heureux. Merde! Elle ne veut
pas obéir. Il y a une boule bloqué dans ma gorge. Je me sens écrasé. Je regarde
par la fenêtre jusqu'à ce que nous arrivions à Escala, boudant. Comment puis-je
lui faire accepter? Comment? Comment? Où puis-je lui faire accepter mes
arguments? Salle de jeux ou chambre à coucher? Baise pervers ou vanille?
Lorsque Taylor se positionne devant l’ascenseur et s’arrêt complètement, je
sors de la voiture, tend ma main à Anastasia, et je dis:
-
Viens. Avec un regard sombre
Son
souffle est haletante, mais elle ne dit rien et me prend la main. Taylor
s'éloigne pour garer le SUV dans un de mes places de parkings.
J'appuie
sur le bouton d'appel de l'ascenseur. On entre dans la cabine d'ascenseur je
tiens toujours la main d'Anastasia. Un autre résident de l’immeuble marche pour
entrer dans la cabine, je lui fais un regard acère qui l'arrête dans son élan.
Les portes de l'ascenseur se ferment le laissant dehors. J'entre mon code pour
le penthouse. Dans ce petit espace la preuve de notre attraction est évidente.
C'est tangible, électrique, fort, nous tirant l'un vers l'autre et crépitant
d'énergie. Ma main se tend vers son visage et lui caresse la joue avec mes
doigts. Elle ferme les yeux, se penche vers mon contact. Elle respire mon odeur
profondément, les yeux fermés connecté uniquement en la touchant à sa tête, sur
le front et le nez. Je sens un frémissement traversé son corps. Elle comble
l'écart infime entre nous sa main tendue vers mes cheveux, je me rapproche
d'elle, se soulevant sur ses orteils pour poser ses lèvres sur les miennes.
Cette simple connexion est ma bouée de sauvetage je m’y accroche. Impuissants
je me penche vers elle, et réponds. Lent au début, la sentir, sentir sa
proximité, inhalant son odeur enivrante, les lignes douces de son corps mouler
dans le mien ... Le désir se déploie à travers moi, j’enroule sa queue de
cheval autour de ma main, la tire et penche sa tête en arrière pour verrouiller
fermement mes lèvres sur les siennes. Ma langue darde dans sa bouche trouve la
sienne la capture et la suce. Elle gémit dans ma bouche faisant grandir mon
érection, elle devient encore plus dure. Ma main remonte j'essaie à
l’aveuglette de repérer le bouton d'arrêt d'urgence. Une fois que je le trouve
j'appuie dessus l'ascenseur s'arrête entre les septième et huitième étages.
Anastasia
est complètement éveillé et prête à être baiser à me céder. Bien! Je la pousse
contre le mur de l'ascenseur sans rompre le contact et continuer mes assauts
sur son corps. Mon érection est en train de creuser en elle, ma langue et mes
lèvres travaillent sur sa bouche, son menton, son cou. Une de mes mains tien
son cul, je pousse ses hanches sur mon érection, tandis que l'autre tire
sensuellement sur ses mamelons. Je peux la faire jouir comme ça, mais je ne le
ferai pas.
-
Tu le sens bébé, je
suis dur pour toi, tu le veux, tu le désir. Bordel, Je vais te baise jusqu’à la
semaine prochaine! Je chuchote à son oreille lascivement.
Pendant
que je lèche le lobe de son oreille. Elle passe une de ses jambes autour de
moi, essayant de me tirer en elle.
-
Tu me veux Ana? Je
murmure.
-
Oui! Souffle-t-elle.
-
Dis-le!
-
Je te veux, Christian!
-
Que veux-tu que je
fasse Ana?
-
Prends-moi! Dit-elle
en haletant, penchant la tête en arrière.
-
Te prendre?
-
Oui! Prends-moi,
baise-moi, ici, maintenant! Halète-t-elle.
Elle
est pantelante, elle essaie de tirer ma tête encore plus près, voulant me
dévorer.
-
Pourquoi, Mlle Steele,
n'êtes-vous pas une créature pudique? Je vais prendre soin de toi bébé, mais
pas ici. A l'étage. Dans ma salle de jeux ...
-
Quoi? Pourquoi? Je te
veux maintenant! J'ai besoin de toi, maintenant!
-
Je sais bébé, je vais
prendre soin de toi.
-
S'il te plaît,
Christian. dit-elle.
Frottant les hanches sur mon érection. Je peux
à peine me contrôler.
-
Crois-moi bébé, je
veux te baise, et je vais te baiser, mais en temps voulu. Dans la salle de
jeux. Je veux te montrer à quel point cela peut-être si tu ...
Obéis,
Mais je ne lui dit pas.
-
Patiente?
Demande-t-elle.
-
Oui, patiente. J'ai
quelque chose à l'esprit. dis-je.
Elle
est tout rouge, les cheveux en désordre, son chemisier défait. Je la rajuste,
en rentrant sa chemise, toujours mon corps collé au sien, je lisse sa jupe,
arrange sa queue de cheval tandis que mon sexe creuser son corps, pour qu'elle
comprenne combien je suis désireux de la baiser. Je peux sentir son cœur battre
comme les ailes d'un colibri, sa respiration saccadée. Je touche le contour de
sa bouche avec mon index, sentant un frisson la traverser. J’entre mon code
pour le penthouse de nouveau, l'ascenseur commence à se déplacer. Taylor est
déjà dans le hall d'attente discret.
-
Monsieur, Welch vient
d'appeler, il attend que vous le rappeliez. dit-il.
-
Est-ce urgent? Je
demande le regardant ostensiblement.
Il
comprend le sens mon regard.
-
Rien qui ne peut pas
attendre monsieur. répond-il impassible.
-
Très bien, donc plus
tard.
Tire Anastasia avec moi vers la salle de jeux.
Je déverrouiller la porte de la salle de jeux, je regarde Anastasia avec
passion. Je lui pose la question, mais je sais qu'elle ne peut pas refuser.
-
Tu veux jouer, Ana?
-
Oui ! Dit-elle
avec un souffle erratique.
-
Es-tu sûr?
-
Oui! Répond-elle.
-
Tu seras bientôt ma
femme Anastasia, nous sommes amoureux d’abord et avant tout. Tu dis stop si
c'est trop? Aucun mot de sécurité. Il suffit de dire stop, et j’arrête ...
immédiatement. je dis penchant ma tête pour évaluer sa réaction. Elle hoche la
tête.
-
Est-ce un oui?
-
Oui. Souffle-t-elle.
Mais une fois que nous entrons par cette porte, ce sont mes
règles, et tu obéie. tu es partante? Me penchant et murmure à son oreille comme
la caresse d'un amant.
Un
frisson passe à travers elle.
-
Oui. murmure-t-elle en
retour.
-
Bonne fille. Quand
nous entrons dans la salle de jeux, pourquoi n’enlèverais tu pas tes vêtements,
mais garde tes chaussures et attend devant le lit?
-
D’accord. répond-elle
expectante.
Je
pousse intérieurement un soupir de soulagement. Première étape est effectuée.
Le deuxième est là-dedans. Je dois lui montrer à quel point ça peut être bon si
elle m’obéit. Je dois avoir le contrôle, je dois avoir des règles. Avec
Anastasia ils sont tous à la porte. Le fait qu’une personne veut s’en prendre à
moi, il pourrait s’en prendre à elle, m’effraie plus que tous. Je ne peux pas
vivre dans un monde sans elle. Je dois la protéger, et c'est la seule façon que
je connaisse. La seule façon d'assurer sa sécurité, la seule façon de
l'empêcher de s'inquiéter de ce qui pourrait arriver. N'est-ce pas ce qu’un
mari est censé faire? Et si elle n'est
pas d'accord? Une attaque de panique soudaine me traverse. Je m'arrête dans mon
élan dans la salle de jeux, tourne le dos à Anastasia, cachant la peur qui me
traverse. Dix ... neuf ... huit ... Sept ... Six ... Cinq ... Quatre ... Trois
... Deux ... Un ... Respirez, expirez. Inspirez, expirez. Bien.
Je
me rends au buffet de jouet. Je prends ce dont j'ai besoin, et déambule vers
Anastasia comme un prédateur. Elle est maintenant glorieusement nue à
l'exception de ses bas, porte-jarretelles et ses talons hauts. Putain! Quelle
femme j'ai! Mon regard s'assombrit avec des intentions lascives. J'allume la
musique en mode répétition. Les Kings of Leon résonne à travers les murs de la
salle de jeux.
Closer- Kings of Leon
-
Tu es si belle, je
veux baiser ma femme magnifique pendant des jours! Je murmure et elle ferme les
yeux, murmurant.
-
Christian!
J'aime
mon nom sur ses lèvres.
Je
prends ma chemise, détache le bouton du haut. Je prends les vêtements
d'Anastasia sur le sol soigneusement, pour les mettre en pile sur une chaise.
Je déambule vers Anastasia qui regarde chacun de mes pas, ses yeux dilaté.
-
Vous voyez quelque
chose que vous plais Melle Steele?
Me
rapprochant. Quand j'arrive devant elle, je peux sentir la chaleur rayonnante
de son corps. Je me penche en douceur et plante un baiser sur son front.
-
Oui, tout. dit-elle
d'une voix haletante.
-
Tien toi devant moi,
dos à moi. Je commande, et elle obéit immédiatement, dans l'expectative. Je
défais sa queue de cheval, et tresse ses cheveux, nouant le bout
Tourne-toi. je murmure.
Elle le fait. Quand elle voit les boules
argenter que je tiens dans ma main ses yeux s'écarquillent, exister.
-
Ouvre.
Elle ouvre sa bouche avec impatience. Je mets
les boules d'argenter dans sa bouche, et murmure.
-
Suce, bébé. Elle
obéit.
-
Bonne fille.
Maintenant, tourne-toi. J'ordonne
Elle
se retourne. Son dos contre mon torse.
Bad Things - Jace Everett
-
Met tes bras autour de
mon cou. je commande, et elle le fait.
Je
plonge ma tête dans son cou plantant de doux baisers. Elle incline la tête sur le côté, pour me donner
un meilleur accès.
-
Cambre le dos. je
murmure.
Ses
seins sont poussés dans mes mains. Je l’ai tien en coupe délicatement d'abord,
pétrir doucement ses mamelons, mes doigts les encerclant, tirant et les
roulants. Elle pousse un gémissement confus de plaisir. Je souris. Mes mains
descendent sur son ventre et son nombril. Elle respire fort quand ma queue fait
pression sur elle dans son dos. Je baisse mes mains sur ses cuisses et met en
coupes son sexe dans ma main droite, il est complétement trempé pour moi. Je
frotte son clitoris avec ma paume et mes doigts explorer les replis de son
sexe. Elle gémit mon nom.
-
Je sais bébé, je sais.
Je vais prendre soin de toi. je murmure.
-
Met toi face à moi. je
commande. Elle obéit immédiatement.
-
Ouvre.
Tend
ma main vers sa bouche. Elle le fait, je prends les boules lubrifiées par elle.
-
Maintenant penche toi,
et tien tes chevilles.
Elle
obéit instantanément. J'insère les boules dans son sexe, une par une.
-
Lève-toi.
Je
l'aider à se tenir debout.
-
As-tu confiance en moi
Ana?
Elle
cligne des yeux, mais les réponses immédiatement.
-
Oui.
-
Je vais t'attacher
maintenant sur le lit, te bander les yeux, et te travailler avec cela.
Je
lui montre la cravache marron en cuir tressé.
-
Ensuite, lorsque tu
seras au bord de l'orgasme, je vais te baiser ... brutalement. Mes yeux se
dilatent d’excitations.
Son
souffle est haletant, puis elle fait un «o» avec ses lèvres et exhale un
souffle.
-
Oui, s'il te plaît. dit-elle avec espoir.
J'attache
ses mains avec des menottes en cuir noir, l’entravent au lit. Puis je passe à
ses pieds attacher à chaque extrémité opposée du lit.
-
Maintenant, tu en as
assez vue.
Je
lui mets un bandeau sur les yeux. Je me penche sur elle et place un long baiser
sur ses lèvres, la laissant à bout souffle et en redemande.
-
J'adore ton corps
Anastasia, je murmure. Tu seras ma femme bientôt, et je vais te vénérer avec
mon corps.
Sa
respiration augmente. Je traîne la cravache sur son cou la faisant basculer en
arrière, et gémir.
-
Chut maintenant.
Je
la traîne jusqu’à ses lèvres la faisant ouvrir la bouche.
-
Suce. je murmure.
Elle obéit immédiatement, ce qui me fait ferme
les yeux. Pourquoi ne peut-elle pas faire ça tout le temps.
-
Assez. je dis d'une voix rauque,
Sors
la cravache de sa bouche. Je la traîne sur ses seins, les taquinant.
-
Je vais te protéger
avec tout ce que j'ai.
-
Oui. souffle-t-elle.
Je
traîne Cravache jusqu'à son sexe, taquine son clitoris, frotte dans son
humidité. Elle soulève ses hanches. Je lève Cravache et frappe sur son mamelon
en succession rapide. Elle gémit soulevant son corps du lit. Je sais que le
mouvement déplace les boules argentées à l'intérieur d’elle et l'amène proche
de l'orgasme. J’encercle son nombril avec la cravache, lentement, et
tranquillement. Elle frémit, en redemande. Je lève soudain la cravache et donne
de petit coup sur son sexe la faisant crier. Elle tire sur les menottes,
soulevant ses hanches.
-
Absorbe bébé. Sens. je
murmure.
Je donne
trois coup sur son sexe, ses hanches se lèves, c’est gémissements me
font dire qu'elle est proche de l'orgasme les boules se déplacent à l'intérieur
d’elle la stimulant. Je là travail avec la cravache sur son nombril et la
poitrine, encore et encore, elle gémit.
-
Christian, s'il te
plaît! Je suis prête! Supplie-elle.
-
Non, bébé. Pas encore.
Attend. Attend que je te dise que tu peux jouir.
Je
cravache à nouveau ses mamelons les faisant se dresser, à chaque fois que ses
hanches montent ça secoue les boules argenté.
-
Oh, mon Dieu! S'il te
plaît Christian! Elle plaide.
Je
cravache sur son sexe deux fois de plus, maintenant un coup de plus pourrait lui provoquer son
l'orgasme.
-
Je vais te détacher
maintenant.
Je
déboucle les menottes en cuir rapidement. Je tire le cul d'Anastasia sur le
bord du lit, Dans un mouvement rapide, je retire les boules d'argenter d’elle,
elle se convulse presque avec plaisir.
-
J'ai rêvé de ces
talons hauts autour de mon cou. je murmure.
En soulevant ses jambes sur mes épaules, je
plonge ma queue en elle, m'enfonce en elle jusqu'à la garde. Je m'arrête pour
embrasse la sensation, tien ses hanches avec mes mains, je commence à bouger
d'abord lentement, tranquillement puis j'accélère, là martèle.
-
Putain! Crie
Anastasia.
Elle répond à ma cadence coup pour coup, au
moment où elle est à son apogée, je sors et la retourne en soulevant son cul en
l'air.
-
Place ton visage sur le côté bébé. dis-je, et replonger en
elle plus profondément.
-
Doucement, Christian,
s'il te plaît, laissez-moi m'y habituer.
Je
ralenti. Après trois pénétrations lentes.
-
Sais bon, baise-moi
avec tout ce que tu as!
Je
commence à la martelé, Je sens les contractions des muscles interne de son
sexe, bientôt son sexe ce resserre autour de moi pour avoir tous ce que je peux
lui donnais, alors je lui donne ce qu'elle veut, et laisse son sexe me drainer
jusqu'à la dernière goutte. Je recule et m’enfonce une dernière fois avant de
m'effondrer sur elle. Nous avons tous les deux roulé en boule sans casser notre
connexion.
-
C'était ... Les mots
me manquent, Christian ... C'était tout simplement incroyable.
Je souris satisfait.
-
Tu vois comme c'est
bon, lorsque tu suis les directives?
Elle
tourne la tête en se tournant légèrement ce qui brise notre douce connexion, me
faisant me sentir dépouillé. Elle a un regard incrédule sur son visage.
-
Christian, tu ne peux
pas me baiser pour obéir. Tu sais que c'est différent. Je ne peux pas dire ce
mot. Je veux écrire mes propres vœux. dit-elle doucement mais avec ferveur.
-
Pourquoi ne veux pas
tu le dire?
J’ai l’impression qu’elle prend la seule chose
qui me fait me sentir en sécurité. Contrôler.
-
Parce que se serais
moi-même me parjurer. Je souhaite que nous soyons ensemble d'accord. Pas
uniquement que tu prennes des décisions, et moi juste les suivre.
-
C'est la seule façon
que je connaisse. J'ai besoin de te protéger Ana! Tu fais disparaitre tous mon
contrôle et me laisse sans défense.
S'il te plaît, Christian. Je n'essaie pas de prendre tes ...
Elle fait une pause, cherchant le mot juste : Tes mécanisme, mais aussi
pour préserver ce que je suis, la fille de laquelle tu es tombé amoureux. Celle
qui est incapable d'obéir. ne peux-tu pas m'accepter comme je suis?
-
Je le fais déjà. Mais,
je voudrais que tu me comprennes aussi. Tu n'écoutes pas, regardez ce qui s'est
passé ce matin. Ce serait éliminer tous les soucis et tout le danger si tu
obéissais.
-
Et si je ne peux pas?
-
Anastasia, peux-tu
seulement comprendre combien je t'aime, et à quelle extrémités j'irais, qu’elle
loi je serais prêt à violer, qui je combattrais à mort pour te protéger ?
Peux-tu me donner juste une chose et faire avec ?
-
Je ferais la même
chose pour toi, Christian. Parce que c'est ce que je ressens pour toi. Mais, ne
me demande pas d'obéir, et me faire mentir. Tu sais à quel point je suis nul
pour obéir. Tu veux une femme, n'est-ce pas ? Pas une soumise ?
-
Anastasia, les femmes
ont dit ces vœux depuis des centaines d'années; sont-ils tous devenus soumise ?
-
Non. répond-elle avec
vivacité.
-
Pourquoi ne veux pas
tu le dire ?
-
Je ne peux pas le dire
parce que je t'aime. Je ne peux pas le dire, car il peut arriver un moment où
je veux te protéger, et tu pourrais me faire décider autrement. Je ne peux pas
le dire, parce qu’eh bien c'est la fille don tu es tombé amoureux. Alors,
peux-tu juste y faire face pour moi?
-
Putain!
Je
me lève exaspéré, dirige mes deux mains dans mes cheveux. Je la laisse bouder
et complètement nu dans salle de jeux.
1 comment:
"Je commence à la martelé, Je sens les contractions des muscles interne de son sexe, bientôt son sexe ce resserre autour de moi pour avoir tous ce que je peux lui donnais, alors je lui donne ce qu'elle veut, et laisse son sexe me drainer jusqu'à la dernière goutte. Je recule et m’enfonce une dernière fois avant de m'effondrer sur elle. Nous avons tous les deux roulé en boule sans casser notre connexion."
Tout y est: le respect de la langue française, l'orthographe, la syntaxe, la grammaire, la clarté du propos, la limpidité de la description etc... Merci de ce travail exceptionnel.
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