ARSON
CHAPITRE XIII
J'ouvre les yeux avec les premières lueurs du jour, je suis enroulé autour d’Anastasia comme un
drapeau de la victoire. J'aime regarder ma femme dormir, la façon dont son
corps réclame le mien jusque dans le sommeil, se blottie contre moi, même si elle
a chaud. Je ne suis pas différent. Mon corps cherche le sien jour et nuit,
endormi ou éveillé. Je la tien comme ça pendant je ne sais pas combien de
temps, puis je me lève pour prendre une douche et me raser pour la journée.
Après avoir pris ma douche, mettre sécher, j’enroule une
serviette autour de ma taille et pulvérise la crème à raser dans ma paume, la
fais mousser sur mon visage. Quand je commence à me raser, Anastasia entre dans
la salle de bains. Là voir ici avec moi me ravis immédiatement.
— Bonjour, Mme Grey. dis-je réjouis.
— Bonjours. Elle me sourit et me regarde me rase.
Je lève mon menton et recommence le rasage faisant glisser
mon rasoir dans de longues courses, j’observe ma femme dans le reflet du miroir
et remarque qu'elle imite mes mouvements. Quand j’étire ma lèvre supérieure
vers le bas et rase le sillon naso-labial, je la vois me mimer. Je me retourne
sourie à ma femme avec uniquement la moitié de mon visage rasé.
— Tu profites du spectacle ?
— C'est l'un de mes préférés. murmure-t-elle avec des yeux brillants comme
si je suis le spectacle le plus excitant qu’elle n’ait jamais vu. Je me penche
l'embrasse rapidement ce qui dépose de la mousse à raser sur son visage.
— Je recommence? Je murmure lascivement en tenant le rasoir lui rappelant
l'expérience de rasage de son sexe, un moment très excitant menant à un
résultat très agréable.
Elle pince les lèvres vers moi:
— Non. elle murmure, en essayant de bouder, mais échoue lamentablement. Je
m'épilerais à la cire la prochaine fois.
— Mais c'était bien, non ? Je demande moqueur.
Ça l'était vraiment. Je suis excité juste à y penser.
— Pour toi. Elle répond boudeuse, mais elle ne me trompe pas. Elle a aimé
chaque seconde de la suite.
— Si mes souvenirs sont exacts, tu n’as pas été mécontente de la suite des
événements.
Je terminer mon rasage. Elle regarde ses mains en rougissant.
C'est notre lune de miel. Je ne veux pas qu'elle se sente timide; Du moins pas
avec moi.
— Hé, je plaisante. Ça n'est pas ça que les maris fous amoureux de leurs femmes
sont censés faire avec elles?
Je me tourne vers elle, lui lève le menton et regarde dans
les yeux de ma femme. A quoi elle pense ? Est-elle bouleversée à ce sujet?
J'essaie de déchiffrer son expression, la peur toujours présente à l'arrière de
ma tête montre sa tête hideuse, me disant qu'elle est peut-être mécontente de
quelque chose. Mais, son expression change et devient espiègle.
— Assieds-toi.
Quoi? Qu'est-ce qu'elle veut faire? Elle me pousse doucement
vers le tabouret dans la salle de bains. Confus, je m'assois, essayant de
comprendre ce qu'elle veut faire, ni pourquoi elle veut que je m'asseoir à
moitié rasé. Elle attrape le rasoir dans ma main levée. Oh merde! Elle veut me
raser! Est-ce une façon de se vengé?
— Ana. dis-je d'un ton d'avertissement.
Elle se penche et m'embrasse en réponse.
— Tête en arrière, M. Grey.
Puis-je lui faire confiance avec un rasoir dans sa main? Elle
n’a même pas sut se raser correctement.
Est-ce que je peux éventuellement la laisser raser mon visage si près de ma
jugulaire?
— Donnant donnant, M. Grey. dit-elle confirmant mes pensées. Oh vraiment
Mme Grey? Je regarde ma femme incrédule mais toujours amusé.
— Tu sais ce que tu fais? Je demande à voix basse.
Elle secoue la tête lentement, délibérément, mais en essayant
de me regarder sérieusement. Eh bien, Mme Grey, si je dois mourir, ce pourrait
aussi bien être entre tes mains. Fait de ton pire! Je ferme les yeux, secoue la
tête et incliner la tête en arrière m'abandonnant complètement à elle.
Sa main gauche se glisse dans mes cheveux humides sur mon
front, me tenant fermement pour me maintient en place. Je garde fortement les
yeux fermés et entrouvre les lèvres pour respirer profondément. Je sens la
douceur du rasoir, puis elle le fait glisse de mon cou à mon menton en douceur.
Je ressens l'absence de mousser derrière son tracer lisse. J'expire un souffle
que je n’avais pas conscience de retenir.
— Tu croyais que j'allais te faire mal? Elle demande doucement.
— Je ne sais jamais ce que tu vas faire, Ana, mais non, pas volontairement.
je réponds honnêtement.
Je sens le rasoir courir dans mon cou de nouveau et un autre
sentier lisse sur mon cou.
— Je ne te ferais jamais mal volontairement, Christian. murmure-t-elle.
Sentant la vérité dans ses paroles, j'ouvre les yeux et l'étreint alors qu'elle
glisse le rasoir doucement sur ma joue jusqu’à la base de mes patte.
— Je sais. je réponds et tourne mon visage pour lui permettre de continuer
à raser. Deux autres coups de rasoir et elle a fini.
— Et voilà ! Sang versé une goutte de sang. Elle sourit fièrement.
Je regarde ma femme, je sens ses jambes entourer une des
miennes. Nos corps se touchent. Quand elle me regardant je suis excité, je
dirige ma main vers le haut sur ses jambes en remontant sa chemise de nuit. Je
l’attire sur moi la faisant s’asseoir à califourchon sur mes jambes. Ses mains
tiennent mes bras pour se stabiliser.
Elle est si près de moi, nos visages ne sont qu’à deux
centimètre de distance.
— Ça te dirait de te balader dans l’arrière-pays?
— Pas de bronzette? Elle demande plissant son front.
Je me lèche les lèvres nerveusement, parce qu'elle ne sera
pas en mesure de prendre un bain de soleil pour le reste de notre lune de miel.
— Non, pas de bronzette. J’ai pensé que tu préférerais faire autre chose.
— De toute façon, vu l’état dans lequel tu m’as mise, pour la plage, c’est
raté. Alors pourquoi pas? Dit-elle d'un ton acerbe que j'ignore.
— Il y a un petit peu de route à faire, mais il paraît que ça en vaut la
peine. En plus, il y a plein de galeries à Saint-Paul-de-Vence, j’ai pensé
qu’on trouverait peut-être des tableaux ou des sculptures pour la nouvelle
maison.
Elle se penche immédiatement pour me regarde interrogative.
Inquiète même.
— Quoi? Je demande confus.
— Je ne connais rien à l'art, Christian.
répond-elle doucement.
Je hausse les épaules et lui souris tendrement.
— On n'achètera que ce qui nous plaît. Pas pour 'investir.
Ses yeux s'élargissent.
— Quoi? Je demande encore incapables de déchiffrer son expression faciale.
Elle secoue la tête refusent de répondre.
— Écoute, je sais qu’il est un peu tôt pour songer à la décoration
puisqu’on vient tout juste de recevoir les plans de l’architecte, mais il n’y a
pas de mal à regarder.
Dans le pire des cas, on fera un peu de tourisme. Elle fronce
les sourcils et semble en colère même. Ah, il est si difficile de la comprendre
parfois. Je souhaite qu'elle soit plus communicative.
— Quoi, maintenant? Je m'exclame.
Elle secoue la tête ne voulant pas dire ce qui se passe dans
sa belle tête. Je n'ai jamais connu ça avant. J'ai toujours eu ce que je
voulais dans le passé, y compris les réponses. Oh, merde! Peut-être qu'elle est
encore en colère de la baise punitive.
— Tu m'en veux encore pour hier? Je soupire, enfouissant ma tête dans l'un
de mon endroit préférées dans le monde; entre ses seins.
— Non. J'ai faim. marmonne-t-elle.
Oh, elle est
grincheuse quand elle ne mange pas. Bien sûr!
— Pourquoi tu ne l’as pas dit plus tôt?
Je me relevé immédiatement en l’a tenant, puis lui tenant la
main je la conduis dans notre chambre pour nous habillais, et allés manger.
****❦ ♡ ❧*****
Quand nous arrivons à Saint Paul de Vence, je suis soulagée
de voir ma femme complètement ébahie par le village. Le village est l’une des
plus anciennes villes médiévales sur la Côte d'Azur situé sur une colline. Il
est plein d'histoire et possède un paysage magnifique, il y a un nombre
abondant de galeries d'art moderne. Anastasia est complètement en extase. Nous
marchons bras dessus bras dessous, sa main est dans la poche arrière de mon
short. Taylor et Philippe marchent derrière nous à une distance modérer. Le
regard d’Anastasia s’attarde sur trois hommes âgés jouant aux boules dans un
carré couvert par les d'arbres. Elle regarde le jeu intéresse. C'est ce qu'on
appelle les boules ou la pétanque joué entre deux joueurs ou par équipe. Un des
joueurs, ici est coiffé d'un béret, même si le temps est chaud et étouffant.
La place est pleine de spectateurs, tant des habitants que
des touristes. Je n'aime pas les foules, et Taylor n’ont plus. Donc, je la mène
doucement hors de la place dans des jolies ruelles bordées de propriétés de
pierre dressé depuis l'époque médiévale. Nous arrivons dans une cour avec une
magnifique fontaine en pierre, des sculptures antiques et modernes, il y a des
petites boutiques et des magasins. Une galerie de photos attire mon attention
au premier regard.
C'est l’exposition et la vente de photo érotiques. Je suis
distrait pendant une minute. Je retire mes lunettes de soleil et commence à
mâchonner distraitement une branche, en examinant les photos. Les œuvres
appartiennent à une artiste du nom de Florence D'elle. Les images sont des
sujets féminins dans diverses poses érotiques. Certaines sont proches de ce que
j'ai pris autrefois de mes soumises.
— Ce n'est pas tous à fait ce que j'avais en tête, pour la maison. marmonne
Anastasia après qu'elle mes vue examinant les photos.
— Moi non plus. je réponds, souriant à ma femme après avoir remarqué sa
jalousie.
Je prends sa main et déambule dans la galerie vers l'artiste
suivant. Cet artiste a peint des arts figuratifs, comme des fruits et des
légumes dans de super gros plan avec des couleurs très vives.
— J'aime bien ça. déclare Anastasia, je peux entendre le soulagement dans
sa voix. Ça me rappelle la fois où tu as fait la cuisine dans mon appartement.
dit-elle dans une voix de jeune fille gloussante.
Je me souviens très bien de ce moment-là. En fait, je m'en
souviendrai jusqu'à ma mort. C'est le jour où j'ai récupéré ma petite amie dans
ma vie. J'essaie et échouent lamentablement de cacher mon amusement.
— Je trouve que Je ne m’en suis pas trop mal tiré. je marmonne. J'étais
juste un peu lent, Et puis. Je la serre dans mes bras la câlinant : Tu me
déconcentrais. On les mettrait où? Je demande décider à acheter les peintures.
— Quoi? Elle demande stupéfait.
Je me blotti dans son cou et frotte mon nez sur son oreille
et murmure.
— Les peintures, où veux-tu les mettre? Je demande mordant le lobe de son
oreille pour essayer de l'exciter, je peux le faire. Je la vois serrer ses
jambes pour réprimer son désir.
— Dans la cuisine. murmure-t-elle d'une voix haletante.
— Hum ... Bien vu, Mme Grey. je réponds. Lorsque Anastasia remarque le
prix, elle halète.
— Cinq mille euros chacun. murmure-t-elle. C'est un peu cher, non ?
— Et alors?
Je hume de nouveau ma femme. Je veux mettre le monde à ses
pieds.
— On en a les moyens, il faudra que tu t'y fasses, Ana.
Je ne veux pas qu'elle manque de quoi que ce soit; Ça me fait
plaisir de lui faire plaisir et de répondre à chacun des désirs de son cœur. Je
vais au bureau de vente où une jeune femme tout de blanc vêtue est debout
bouche bée. Je sais qu’Anastasia regarde la réaction de la greffière, je peux
presque la sentir rouler des yeux en réponse à cette femme qui
me reluque. D'une certaine manière voir qu'elle est jalouse pour moi, me rend
heureux. Je paie pour les peintures et nous abandonnons le magasin pour une
visite touristique.
Saint Paul de Vence est sur la Côte d'Azur. Le village a été
créé autour de la vieille église de Saint Michel du Puy et du château au sommet
de la colline. C'est ainsi que le lieu fortifié de Saint-Paul, est devenue une
position militaire défensive.
J'emmène Anastasia à l'Hôtel Le Saint-Paul pour
le déjeuner. Le patio de l'hôtel Restaurant se trouve au sommet de la colline,
avec une vue sur la campagne environnante qui est tout à fait magnifique. Les
tables sont à des endroits stratégiques autour du patio en pierre, couvertes de
nappe blanche, les table son également orné de fleurs fraîchement coupées. Les
murs de pierre sont couverts de lierre vert luxuriant, de rose et de
bougainvillées rouges, nous surplombons les vignes, les collines son parsemées
de tournesols formant une mosaïque fascinante, des fermes françaises sont
parsemées dans ce beau paysage. Le temps est beau et la mer Méditerranée
tentante scintille au loin de sa couleur turquoise. Anastasia regarde, mais ne
voit pas; elle est perdue dans ses pensées. Je veux la faire sortir de sa
rêverie.
— Tu m'as demandé pourquoi je tressais tes cheveux. je dis doucement, me
sentant coupable. Quelque chose dans mon ton là alarmé, alors elle lève les
yeux immédiatement.
— Oui ? répond-elle avec des yeux écarquillés.
— La pute camée me laissait jouer avec ses cheveux, je crois. Je ne sais
pas s'il s'agit d'un souvenir ou d'un rêve.
Je regarde dans ses yeux, profonds, mais mes émotions sont
agité et mélangé. Je ne veux pas que ça refasse surface; pas ici, pas
maintenant.
— J'aime bien que tu joues avec mes cheveux. dit-elle d'une voix hésitante.
Je ne sais pas si elle le pense vraiment.
— C'est vrai? Je sonde exprimant mon incertitude.
— Oui. dit-elle sincèrement. Elle se penche, sa chaise crisse sur la
terrasse en pierre, elle saisit ma main. Je crois que tu l'aimais, Christian.
dit-elle en me regardant.
Mes yeux s’écarquille. Je ne veux pas penser à la pute de
camée dans ce contexte. Elle ne m'aimait pas. Pourquoi devrais-je aimer une
femme qui ne m’a ni aimait ou ni protéger ? Je suis tellement embrouiller. Que
faire s’il y a du vrai dans ce qu'elle dit? Et si j'aimais vraiment la pute
camée? Je ne veux pas que ce soit vrai. Elle ne m'a pas protégé ... du tout!
Elle me trouvait indigne d'amour. Comment puis-je aimer ça?
Je regarde nos mains liées. La peur monte en moi. Je me sens
comme si j’avais de nouveau quatre ans.
— Dis-moi quelque chose. chuchote Anastasia inquiète, parce que dans le
silence, elle entend le bouillonnement du tourment à l'intérieur de moi.
Je
ne peux pas le faire maintenant. Pas pendant notre lune de miel. Je ne veux pas
aller sur ce chemin. Il est trop sombre, trop pénible. C'est inéluctable! Je
vais entraîner Anastasia avec moi dans les ténèbres, elle n'a pas besoin à être
là-dedans. C'est du passer, c'est fini. Je libère la main d'Anastasia et me
lève.
— On s'en va. je dis brusquement.
Une fois que nous sommes dans la rue, j'expire lentement et
regarde autour les rues étroites bordées de bâtiments en pierre. Je reviens
dans le présent, dans notre lune de miel. Je prends finalement la main
d'Anastasia dans la mienne.
— Tu veux aller où ? Je demande.
J'entends Anastasia expirer; elle semble soulagée. Elle
hausse les épaules en réponse.
— Je suis contente que tu me parle encore.
— Tu sais bien que je n'aime pas parler de ces trucs-là. C'est du passé.
Fini. je dis calmement.
Ramener tout ça à la surface ne me fera aucun bien. Ça me
ramènera dans des lieux où je ne souhaite pas retourner. Ça fait longtemps. Ça
doit être caché, pour ne jamais refaire surface.
Maintenant, Anastasia est silencieuse, contemplative. Elle
n'est pas le genre de femme qui abandonne facilement. À quoi elle pense ?
Je baisse les yeux vers elle, amusée et méfiant de son
expression, parce que je sais que quelque chose se prépare dans sa magnifique
tête. Je ne sais pas ce que c'est. Je sais qu'elle peut me ramène à la vie,
m'excite mais aussi m'amène proche de la crise cardiaque. Je secoue la tête,
enroule ma femme sous mon bras pour être aussi proche d’elle que possible. Nous
faisons notre chemin à travers les touristes vers l'endroit où Philippe a garé
la Mercedes. Anastasia glisse sa main dans la poche arrière de mon short,
tenant mon cul. Son geste intime me rend heureux.
Avant de rejoindre la Mercedes, je remarque une petite
boutique vendant des bijoux. Je regarde dans la vitrine et vois quelques-unes
de leurs belles pièces qu'ils vendent. Je veux offrir l'un d'eux à ma femme. Je regarde Anastasia.
Saisissant sa main libre, je regarde en bas et tombe sur les traces laissées
par les menottes. J’examine son poignet ou il y a une ligne rouge fané laissé
par les menottes. Mon pouce l'effleure. Voir ça me fait me sentir comme une
merde. Je l'ai marqué. Je ne veux pas faire de mal à ma femme. J'ai besoin de
compenser ça.
— Ça ne fait pas mal. dit Anastasia d'un ton rassurant.
Je pivote sur moi-même légèrement pour libère son autre main.
Les marques de menotte sont masquées par la montre Omega que je lui ai offerte
à Londres. J'examine les deux poignets et me sens encore plus mal à la vue de
ces marques. Je suis un mari merdique! Croit-elle que je suis mauvais pour
elle? Je libère ses mains et lève son menton examinant son expression. À telle
du ressentiment envers moi ? Me hait-elle ? Cette pensée torture mon âme. Je
suis mal à l'intérieur d'avoir fait du mal à ma femme.
— Ça ne fait pas mal. répète-elle.
Je
lève ses mains à mes lèvres et embrasse l'intérieur de ses poignets m'excusant.
— Viens. je dis l’attirant dans le magasin.
Je choisis un beau bracelet en platine pour elle. Quand je
paye immédiatement trente mille euros pour le bracelet, les yeux de la vendeuse
sac d’os s'élargissent, foncent avec une sorte de jalousie. Quel est son
problème? Ma femme vaut chaque centime de ça! Tirant ma femme près de moi,
— Tiens.
Le bracelet est une pièce exquise en filigrane délicatement
conçu sous la forme de petites fleurs avec des diamants en leur cœur. C'est
discrètement beau; très approprié pour ma femme. Je l'attache autour de son
poignet. Parce que c'est large et que ça ressemble à une menotte, les marques
rouges disparaissent sous elle.
— Là, c'est mieux. je murmure, un peu soulagé.
— Mieux? Elle chuchote, les yeux dans les yeux.
— Tu sais bien… je réponds avec incertitude. Je me sens monstrueux de
l'avoir marqué. Ça me dévore.
— Je n'ai pas besoin de ça. dit-elle en secouant son poignet et le bracelet
se déplace. Il scintille dans la lumière de l'après-midi, étincelant sur tous
les murs de la boutique.
— J'en ai besoin, moi. je dis honnêtement. Je veux qu'elle l'ait. J'ai
besoin de compenser mon attitude.
— Non, Christian. Tu m'as déjà donné tellement. Une lune de miel magique,
Londres, Paris, la Côte d'Azur ... et toi. J'ai beaucoup de chance.
murmure-t-elle, me faisant fondre de l'intérieur.
— Non, Anastasia, c'est moi qui ai de la chance.
Je n'ai jamais imaginé que je trouverais quelqu'un avec qui
je peux avoir cette sorte d'intimité, être toucher, et partage toute de
moi-même, partage mon passé et mes démons personnels; Je n'ai jamais pensé que
je pourrais aimer aussi profondément, si passionnément, de façon inaltérable!
Je n'ai jamais pensé que ce soit possible. Et maintenant, elle est devant moi.
Je pense parfois que si je cligne des yeux elle sera parti, ou disparaîtra,
qu'elle serait juste un rêve.
— Merci. dit-elle se redressant sur la pointe des pieds en mettant ses bras
autour de mon cou, elle m'embrasse, me prenant mon souffle.
— De quoi ? Je demande en souriant une fois que nous terminons notre
baiser. Elle hausse les épaules avec une lueur dans ses yeux.
— Pour être à moi. répond-elle en souriant béatement.
****❦ ♡ ❧*****
Nous somme finalement dans la Mercedes. C'est l'après-midi à
la Côte d'Azur. Je regarde par la fenêtre j’observe les tournesols dans les
champs, leurs têtes suivent le soleil de l'après-midi. Je n'arrive pas à me
débarrasser de ce sentiment merdique. J'ai marqué Anastasia. Je l'ai blessé. Je
marqué mes soumises avant; en fait, J'aimais beaucoup le faire. Il montré ma
domination sur elles: Que j'étais le maître et qu’elles ceux soumettaient à
moi. Leur mauvaise conduite n'était pas tolérée et la sanction tomber
rapidement. Je les ai punis par différentes méthodes. Mais Anastasia n'est pas
ma soumise. Elle est ma femme! Je l'aime et l'idée de la marquer me semble
répugnante, surtout en sachant que ça lui déplaît. Je suis sorti de ma rêverie
par la main d'Anastasia enserrent la mienne. Je cligne des yeux de sa pression
rassurante. Je la regarde avant de libérer sa main puis caresse son genou.
Anastasia est vêtue d'une jupe courte et ample, bleue et blanche et d’une
chemise bleue sans manches ajusté alléchante.
Ma main se déplace sur son genou, tout d'un coup je veux
vérifier ses chevilles. Avec mon contact prolongé, je sens le souffle
d’Anastasia haleter. Saisissant sa cheville, je tire son pied sur mes genoux
forçant Anastasia à pivoter face à moi.
— Je veux l'autre aussi. dis-je doucement.
Je voix Anastasia se tourne vers l'avant de la voiture ou il
y a Philippe et Taylor qui gardent leurs yeux sur la route comme les
professionnels qu'ils sont. Puis elle met son autre pied sur mes genoux.
J'appuie sur le bouton de la porte pour lève la vitre teinté de séparation. Une
fois qu'elle est complètement levée, nous sommes dans notre propre petite
bulle, dans une relative intimité.
— Laisse-moi examiner tes chevilles. j'explique calmement.
Collide - Howie
Voir les marques sous les sangles des sandales m'afflige. Je
caresse de mon pouce doucement sur le cou de son pied droit, elle se tortille.
Elle est très chatouilleuse; sa réponse me fait sourire. Je défais la courroie
des sandales. Je caresse ses chevilles, en voyant les marques évidentes que je
lui ai faites, de nouveau je me sens merdique.
— Ça ne fait pas mal.
Je pince les lèvres peut-être, mais je l’ai marqué et elle
était très en colère contre moi. Je lui ai fait mal d’une manière ou d’une
autre. Elle m’a pardonnée, Je hoche la tête vers elle, mais puis-je me
pardonner. Je regarde par la fenêtre sans rien voir. Elle me défi, me fait
perdre le contrôle et je veux la punir, mais après je me sens comme une putain
de merde!
— Hé. Tu t'attendais à quoi? demande Anastasia doucement. Je jette un œil
vers elle et haussement les épaules.
— Je ne m'attendais pas à éprouver ce que j'éprouve quand je vois ces
marques. J'avoue.
— Et alors, tu te sens comment? Demande-t-elle.
Avec des yeux désolés je la regarde.
— Mal. Je résume mes sentiments dans un murmure.
Anastasia déboucle immédiatement sa ceinture de sécurité et
glisse plus près de moi; ses pieds sont encore sur mes genoux. Elle vient aussi
près de moi que possible sans monter sur mes genoux. Je pense qu'elle est
timide du conducteur. Elle tient mes mains, finalement je retrouve mon centre.
— Ce sont surtout les suçons qui me dérangent. dit-elle dans un
chuchotement. Tout le reste ... ce que tu as fait... dit-elle en baissant sa
voix de conspiratrice. Avec les menottes, ça m’a plu. Mieux que ça. Je me suis
éclatée. Tu peux recommencer quand tu veux. dit-elle. Et sa déclaration remonte
immédiatement mon moral comme une montée d'adrénaline.
Je me déplace dans mon siège pour la regarder directement,
voir l'expression de son visage et connaître la vérité dans sa déclaration.
— Tu t'es éclatée?
— Oui. répond-elle en souriant.
Elle plie ses orteils nus sur mon érection grandissante.
Merde! Nous sommes sur le siège arrière de la Mercedes avec un chauffeur
français et Taylor sur le siège avant, ma femme exciter est assis à côté de
moi, ses orteils caressent ma bite et je bande dur! Une brusque aspiration
remplit mes poumons, j’ouvre ma bouche légèrement.
— Vous devriez vraiment remettre votre ceinture, Mme Grey. dis-je d'une
voix basse, mais sa proximité est quelque chose que je ne veux pas lâcher
prise.
Je sens mon BlackBerry vibrer dans ma poche, sauvé par le
gong je ne sais pas où tout ça nous aurais amené, je vérifie ma montre. Ce ne
peut pas être le travail à cette heure, appeler à ce moment ce doit être une
situation d'urgence. Ce n'est pas encore les heures de travail dans notre
États. Il doit être environ cinq ou six heures du matin à Seattle. Je récupère
mon téléphone et regarde l'appelant.
— Barney. je grogne.
Anastasia essaie d'enlever ses pieds de mes genoux, mais mes
doigts serrer sur ses chevilles fermement.
— M. Grey. Mes excuses monsieur, mais je dois vous informer qu'il y a eu un
incendie dans la salle des serveurs très tôt ce matin. dit-il dans un souffle.
— Dans la salle des serveurs? Je demande dans l'incrédulité complète. le
système d'extinction d'incendie s’est-il activer? Je demande. Un système très
onéreux, qu'il m'a demandé de mettre en place récemment.
— Oui monsieur, il a fonctionné à merveille. Il a éteint Immédiatement le
feu.
En entendant le mot incendie, Anastasia retire ses pieds,
cette fois je la laisser baisser ses pieds sur le plancher. Puis elle joue
nerveusement avec son nouveau bracelet. J'appuie sur le bouton de la vitre
séparatrice pour la baisser. Il faut que Taylor entende aussi ces nouvelles.
— Il y a des blessés? Des dégâts?
— Aucun blessé monsieur et aucun dégât à proprement parler.
— Je vois.
— Ça s’est passé de très bonne heure. Il répété.
— Quand?
— Il y a environ une heure. La ligne d'urgence a été immédiatement activée,
et envoyer un signal à mon téléphone. J'ai débarqué à Grey House aussi vite que
je pouvais en mettant mon pantalon et un t-shirt, je vous ai appelé
immédiatement après mettre assurée que personne n'été blessé et le feu était
éteint. répond-il.
Je regarde ma montre à nouveau, passe ma main dans mes
cheveux exaspéré. Ce n'est pas une heure d’affluence au bureau. Bordel, il n'y
a presque personne dans le bâtiment, sauf peut-être la sécurité et l'équipe
d’entretien.
— Est-ce que vous voulais que Welch ou moi informions les pompiers ou la
police? Juste pour souligner encore une fois, l’incendie a été éteint
immédiatement par le nouveau système.
— Non. Ni les pompiers, ni la police. Pas tout de suite. Je vois Taylor se
retourne pour entendre la conversation.
— Welch et son équipe sont là depuis la seconde ou l'alarme a activé son
téléphone. Ils prennent soin de tout; vérification : des enregistrements vidéo,
des employés et toute personne ayant accès au bâtiment, tout le monde. Il ne
laisse personne quitter le bâtiment jusqu'à ce qu'il les interroge lui-même. Il
traiter le lieu comme une scène de crime et son équipe de scientifique
recueille des preuves, saupoudre pour relever des empreintes digitales. dit-il.
— Il a fait ça? Très bien.
— En dehors de ça, monsieur, il n'y a pas beaucoup à dire encore. C'est
trop récent, les preuves n'ont pas encore été soit examiner ou collecter. Dès
que Welch me donne l'autorisation, je serais en mesure d'aller voir dans la
salle des serveurs, monsieur. conclut-il.
— Bon. Je veux un rapport détaillée sur les dégâts. Et la liste complète de
tous ceux qui ont eu accès à ce serveur au cours des cinq derniers jours, y
compris le personnel d'entretien ...
— Très bien monsieur.
— Dites à Andrea de m'appeler.
— Entendu. Le nouveau système contenant de l'argon à minimiser les dégâts
comme Je l’avais dit. Nous avons fait un investissement initial important, mais
avec lui en place, nous avons évités des millions et des millions de dollars de
dommages potentiels indescriptibles, qui aurais été occasionné pas un système
d’incendie classique. C'était un très bon investissement, monsieur. Je suis
très heureux que vous ayez accepté de le faire installer.
— Ouais, apparemment l'argon est tout aussi efficace, il vaut son pesant
d'or.
— Votre assistante n’est pas encore arrivé il est encore très ... dit-il,
mais je le coupe.
— Je sais qu'il est trop tôt chez vous.
— Pourriez-vous m’accorder quatre heures pour les rapports, monsieur?
— Envoyez-moi un E-mail dans deux heures. je réponds fermement.
— Monsieur, Il ne sera pas très détaillée, quatre heures me permettrait de
recueillir plus d'informations ... dit-il, mais je le coupe de nouveau.
— Non, il faut que je sache.
— Très bien monsieur. Je ferai de mon mieux pour fournir les informations
les plus complètes que je peux et vous les transmettre par e-mail dans un délai
de deux heures. Je ferais mieux de m'y mettre dès maintenant. dit-il d’un ton
pressant.
— Merci de m'avoir appelé. Je
raccroche.
Je sens les regards d'Anastasia inquiets et de Taylor résolu
sur moi. Je compose le numéro de Welch.
— Welch.
Il répond à la deuxième sonnerie.
— M. Grey, je suis à Grey House, monsieur. Tout est sous contrôle. dit-il
rassurant.
— Bien.
— Permettez-moi de rassembler un peu plus d'informations, pour vous faire
un rapport complet sur la situation.
— Dans Une heure alors.
— Nous allons acheminer les données vers un serveur de stockage de données
extérieure au site jusqu'à ce que mon
équipe est terminé l'enquête. Il faudrait les sécurisé, monsieur.
— Oui.
— Quel type de sécurité voulez-vous instaurés.
— Vingt-quatre heures sur vingt-quatre au centre externe de stockage des
données.
— Bien monsieur. Je vous recontacte dans une heure. dit-il.
— Très bien. Je raccroche.
— Philippe, Il faut que je sois de retour à bord dans moins d'une heure. je
commande.
— Bien Monsieur. répond-il, et accélère.
Je regarde Anastasia, elle me regarde inquiète. J'enfile mon
masque impassible pour effacer l'inquiétude.
— Il y a des blessés? demande-t-elle immédiatement.
Je secoue la tête négativement.
— Non. Et les dégâts sont minimes. je l’a rassure.
Ses yeux sont grands, sa peur est évidente. J'attrape sa
main, le presser de manière rassurante.
— Ne t'en fais pas. Mon équipe s'en occupe.
Je suis le patron, le PDG, le commandant de mon bateau.
Anastasia n'a pas besoin de s'inquiéter de ça.
— L'incendie, c'était où?
— Dans la salle des serveurs.
— De Grey Holdings?
— Oui. je réponds en lui donnent aussi peu d'informations que possible pour
l'empêcher de s'inquiéter.
— Pourquoi si peu de dégâts? Sonde-t-elle.
— La salle est équipée d'un système d'extinction ultramoderne.
Elle hoche la tête imperceptiblement, silencieuse, inquiète
et bouleversée.
— Ana, je t'en prie... ne t'inquiète pas. dis-je d'un ton apaisant.
— Je ne suis pas inquiète. ment-elle.
Elle n'est pas une très bonne menteuse. Elle est trop
inquiète, trop bouleversé à ce sujet. Je sais ce qui l’inquiète tant. Je suis
inquiet de la même chose. D'abord Charlie Tango et maintenant un incendie. Je
dois aller au fond des choses, rapidement.
— On ne sait pas encore s'il s'agit d'un incendie criminel. je dis
exprimant ses inquiétudes et anxiété. Sa main vole immédiatement à sa gorge
dans la peur. Elle est terrifiée. Ce qui m'inquiète, c'est que celui qui a fait
ça, celui qui essaie de me faire du mal, pourrait essayer de lui faire du mal,
elle est mon monde. Si jamais ils lui arrivaient quelque chose, je voudrais
simplement mourir. Je dois savoir le plus vite possible et l’arrêter.
****❦ ♡ ❧*****
Dès que nous revenons à bord du Fair Lady, je hoche la tête à
Taylor pour qu’il vienne avec moi et ainsi l’informer de l'incendie dans la
salle des serveurs de Grey House.
— Y a-t-il quelque chose que je peux faire, monsieur?
— Non, je vais contacter Welch dans quelques minutes. Vous gardez un œil
sur Mme Grey. Elle ne quitte pas le bateau sans être accompagner. je dis et le
congédie.
Je m'enferme
dans le bureau en conférences avec Welch.
— Qu'avez-vous découvert?
— Les résultats préliminaires sont très rudimentaires, monsieur. Les
détails sont incomplets. J'ai vu les vidéos de sécurité. Et les films montrent
un individu non identifié dans une combinaison avec une casquette de baseball
dans la salle des serveurs. L'homme n'est pas censé être là. Bien que le
"il" pourrait être un "elle". je n'exclus rien pour
l'instant.
— Je veux que ce soit parfaitement clair. Vous ne pensez pas que c’est un
accident? Une surtension, un dysfonctionnement dans l'une des travers des
serveurs, ou d'une surcharge de données, ou d'un autre problème technique?
— M. Grey, nous sommes en train de recueillir les données, monsieur. Et
nous avons équipé Barney d’une combinaison de protection, parce qu'il veut
vérifier les serveurs et ainsi éliminer les problèmes techniques. Il a indiqué
qu'aucune alerte n’a été donnée pour un problème technique. Si c'était quelque
chose de technique lié aux serveurs, un journal d'erreurs aurait été créé.
Barney c'est déjà connecté et vérifié aucun journal d'erreur n’a été créé. Il
est avec l'un des membres de mon équipe pour examiner les travers des serveurs,
une par une. Nous sommes tout à fait sûrs que ce n'est pas notre équipement,
monsieur. dit-il, avec sa confirmation, mon cœur se serre.
— Merde!
— J’aurais une idée plus précise dans quelques heures, monsieur.
— Y a-t-il une correspondance avec l’empreinte partielle relevé sur Charlie
Tango?
— Pas pour le moment, monsieur. Nous sommes encore dans la procédure de
collecte des preuves. Il est trop tôt pour le dire sans effectuer une
comparaison. C'est l'une des choses que nous recherchons: Une autre empreinte
digitale. Mais, il est très plausible que le Perp est porter des gants, il n'a
peut-être pas laissé d'empreinte cette fois. Actuellement, nous sommes en train
de recueillir toutes les empreinte, des employés ayant accès au serveur, les
interroger, vérifier leurs allées et venues au moment de l'incident pour
éliminer des suspects. Mais je vais ajouter une deuxième étape et compare les
antécédents des employés qui ont des empreinte dans la salle de serveur, voir à
qui elles appartiennent, s'ils avaient
une autorisation d'accès et vérifier leurs liens éventuelle avec des personne
qui vous tienne rancune.
— Est-ce que Barney a déjà écrit un compte rendu ?
— Il y travaille encore monsieur, je crois qu'il va vous l’envoyé sous peu,
sur ce qu’il a constaté dans la salle des serveurs. Aucuns rapports d’erreurs
n’ont été générés depuis L'incendie. Avec le feu, un processus d'arrêt
automatique ces m’y en place pour protéger les données, isoler le problème en
un seul endroit. Les informations et les rapports devraient vous être transmis
bientôt.
— Est-ce qu’Andréa est arrivée ?
— Oui, monsieur. Je vais lui faire savoir dès que je raccroche, de vous
appeler immédiatement.
— Bien, Welch, je ne veux aucune intervention de la police jusqu'à ce que
nous confirmions un incendie criminel sans l'ombre d'un doute. Je veux mon
propre enquêteur sur place.
— Bien, monsieur.
— Je veux que vous le trouviez. Je veux que le Perp soit arrêté, hier!
— Oui, monsieur!
— Je veux une sécurité accrue pour mes parents, mon frère et ma sœur,
24h/24 et 7j/7. Je veux également qu’une sécurité supplémentaire soit organisée
pour ma femme. Trouver lui le meilleur agent de sécurité féminin. Je veux
quelqu'un qui puisse même la suivre dans les cabines des toilettes si elle
doit! Coordonner avec Taylor et garder le informer en permanence!
— Oui monsieur, Ce sera tous ?
— Non! Je veux que les serveurs de SIP Édition soient révisés et mettais en
place une sécurité renforcé, avec des points de contrôle mis en place. Personne
ne déambule plus dans SIP Édition à mon insu.
— Oui, monsieur.
— Je veux que vous vérifiiez les allées et venues de Mme Lincoln, Leila
Williams au moment de l'incident, ainsi que leurs proches.
— J'ai déjà pris la liberté d'entreprendre cette enquête, monsieur.
— Bien. je dis fait une pause. Vous dirais à Andréa de m'appeler, tous de
suite!
— Comme vous voulez, monsieur. il dit et je raccroche, encore bouillant de
colère, anxieux, et complètement terrifier ... pas pour moi, mais surtout pour
Anastasia.
Pendant que je regarde mes e-mails de Welch, Ros et Barney, Andréa
appelle.
— Bonjour, M. Grey. m’accueille-t-elle dans son comportement professionnel
habituel.
— Andréa, j'ai besoin de votre compte sur l'incendie ...
— Je n'étais pas là quand il s'est produit, monsieur. Barney m'a appelé et
je suis venu au travailler aussitôt prête. GEH ressemble actuellement à un
chaos ordonné. L'équipe de M. Welch est équipé de combinaison, enquête sur les
entrées de la salle des serveurs, il saupoudre pour relever des empreinte, un
autre groupe interroge les employés, alors que certains d'entre eux examiner
les vidéos de surveillance.
— Où est Ros?
— Son assistante m'a informé qu'elle était à GEH, elle aide M. Welch à
superviser l'enquête. L'alarme a également activé son téléphone, elle est
arrivé ici dès qu'elle a reçu l'alarme sur son téléphone directement en sortant
du lit, en pyjama et pantoufles. Sa compagne vient d'apporter des affaires de
rechange pour elle.
On frappe à la ma porte de mon bureau. Je lève la tête,
Anastasia entre.
— Un moment, s'il vous plaît, Andréa. Je marmonne l'air sérieux dans mon
BlackBerry.
Je
regarde Anastasia poliment et attend. Elle se tient à la porte me regardant
intimidé au début, puis redresse les épaules. Enfin me donner un large sourire,
elle dit:
— Je vais faire des courses.
— Très bien, prends l'un des jumeaux avec toi et Taylor, aussi. je réponds.
Elle hoche la tête, se tient là indécise.
— Autre chose? Je demande. J'ai besoin de terminés ces appels, pour pouvoir
retourner à auprès d'elle. Je veux résoudre ce problème.
— Tu voudrais que je reste ? Elle demande doucement. Je souris de mon qui lui est exclusivement réserve en réponse,
mon cœur fond. Mon bébé pense toujours à moi.
— Non, bébé, l'équipage peut s'occuper de moi.
— D'accord. dit-elle d'une voix voilée.
Elle semble
hésiter quelque seconde, puis déambule vers moi, viens derrière le bureau, elle
se penche et plante un baiser sur mes lèvres, me surprenant et me stimulant.
— Andréa, je vous rappelle. je marmonne dans le BlackBerry et raccroche.
Pose mon téléphone sur le bureau derrière moi. Je tire
Anastasia dans mes bras, lui donne le baiser qu'elle mérite: passionné, ardent
et avide, en déversant tout mon amour, mon inquiétude, mon envie pour elle dans
se baiser. Quand je la relâche, je suis totalement excité et prêt à baiser.
S’il n’y avait pas une situation d'urgence à Seattle et si je ne savais pas que
cela pourrait peut-être affecter Anastasia de plusieurs manière, je voudrais
abandonnerais ces appels et emmené Anastasia dans notre suite pour me perdre en
elle. Mais, ce problème doit être résolu.
— Tu me déconcentres, là… Il faut que je règle ce problème, pour qu'on
puisse reprendre notre lune de miel.
Je fais courir mon doigt sur son visage et son menton et
finalement incline son menton vers moi.
— D'accord. Excuse-moi. elle répond chagriné.
— Ne vous excusez pas, Mme Grey. J'adore être distrait par vous.
Je l’embrasse au coin de sa bouche. Je veux que ma femme soit
heureuse et c'est notre lune de miel. Une fois que j’aurais trouvé l’enculé qui
interrompt notre vie, je vais lui faire regretter d’avoir essayé de nous faire
du mal.
— Va dépenser des sous. je dis la libérant.
— À vos ordres. répond-elle, un sourire en coin, et sors de mon bureau.
Je rappelle Andréa, soucieux de résoudre ce problème pour que
je puisse retourner auprès de ma femme et dans notre lune de miel. Après moins
de dix minutes de ma conversation avec Andréa, j'entends le bruit du Jet Ski
encercler le Fair Lady. Il est clair que Taylor ne va pas utiliser le Jet Ski,
ni l'un des membres de l'équipage. Cela ne peut que signifier que c’est
Anastasia !
— Andréa, je vous rappelle! Je dis raccroche immédiatement, me précipitant
à l'extérieur, dans les escaliers et sur le pont avec mon BlackBerry à la main.
Quand j'arrive sur le pont, je trouve ma femme faisant le tour du yacht sur le
Jet Ski! Au moins, elle porte un gilet de sauvetage! Je suis bouche bée, mon
cœur dans ma gorge, je la regarde. Elle me voit sur le pont et lâcher le
guidon, elle fait des signes pour moi avec enthousiasme!
— Mets tes deux mains sur le guidon! Je hurle.
Mais elle ne m'entend pas et continue à s’agiter vers moi,
alors finalement je lui fais un signe raide. Elle se dirige vers les agents de
sécurité qui sont comme des imbéciles reste au milieu de la mer en attendant
qu'elle ait fini son tour d'amusement.
Je compose le numéro de Taylor.
— Oui M. Grey. répond-il.
— Taylor! Bordel qu'est-ce que fait Mme Grey sur le Jet Ski? Je demande à
travers mes dents serrées.
— Hum ... il bégaie. Mme Grey a déclaré qu'elle avait votre autorisation. répond-il
d'un ton embarrassé.
— Eh bien, elle ne l'a pas. Elle n'est pas censée être sur le Jet Ski, si
je ne suis pas dessus avec elle! C’est clair?
— Parfaitement clair, monsieur. dit-il.
— Lui avez-vous au moins montré comment l'utiliser? Elle c’est comment on
s'arrêter?
— Oui, monsieur, je l'ai fait.
— Je vous tiens seul responsable et ramener la en un seul morceau et en
bonne santé si vous tenez à votre travail! Je crie et raccroche. Je cours dans
la salle de contrôle, trouve le capitaine.
— J'ai besoin d'une paire de jumelles. je dis en tendent ma main.
— Bien sûr, monsieur. dit-il.
Il me donne la paire qu'il utilise. Je me précipite sur le
pont à nouveau, regarde le Jet Ski atteindre le quai, je vois Taylor l'aider à
descendre du jet-ski et parler avec elle. Une fois qu'elle est entièrement sur
la terre, j’appelle son BlackBerry.
Avec les jumelles presque collés à mes yeux, je la vois
récupère son BlackBerry dans son sac que Taylor viens de lui rendre et répond
au téléphone.
— Allô? et se seule mot m'inonde de soulagement.
— Allô.
— Je reviens bientôt. Ne te fâche pas. dit-elle immédiatement me
surprenant.
Je m'attendais à ce qu'elle me contredise, son ton me prend
de court. J'ai le souffle coupé complètement sidéré. Impossible de lâcher une
phrase cohérente, je me retrouve à dire :
— Euh ...
— En tous cas, Je me suis bien amusée. murmure-t-t-elle, tout à fait ravi.
Ai-je envie de l'empêcher de s’amuser? C'est notre lune de miel et je suis
coincé ici pour essayer de résoudre un problème au travail. Je soupire.
— Eh bien, Loin de moi l'idée d'abréger vos plaisirs, Mme Grey. Mais fais
attention. S'il te plaît. je réponds avec soulagement.
— Promis! Tu veux que je te rapporte quelque chose? Elle demande d'une voix
joyeuse.
— Toi, saine et sauve.
— Je ferai de mon mieux pour vous obliger, M. Grey.
— Je suis ravi de l'entendre, Mme Grey.
— Vous satisfaire est notre priorité. elle répond avec un rire me faisant
sourire en réponse.
Un
des meilleurs sons du monde pour moi, c'est son rire. J'ai un double appel, et
cette fois c'est Ros.
— J'ai un autre appel. À plus, bébé. dis-je, détestant devoir raccrocher.
— À plus, Christian. répond-elle, et je change de ligne.
— M. Grey?
— Ros ...
— J’appelai pour vous informer sur l'évolution, monsieur. Mais, je sais que
vous êtes en lune de miel, donc je vais récapituler ce qui est nouveau, le
reste vous sera envoyé par courriel. Ainsi vous pourrez évaluer et imprimer les
rapports et de tout voir noir et blanc ... elle commence, m’informe du nouveau et fondamentalement, pas grand-chose.
Quand je raccroche, je retourne à mon bureau, mon téléphone
vibre avec un nouvel e-mail.
De: Anastasia Grey
Objet: Merci
Date: 17 Août, 2011 16: 55
Pour: Christian Grey
De ne pas avoir été trop grognon.
Ta femme qui t'aime.
C’est juste
Taylor qui a dû gérer le poids de ma colère. Un autre e-mail vient de Barney
avec cette fois des rapports préliminaires. Je jette un œil dessus rapidement,
puis reviens au message d'Anastasia et tape une réponse pour elle.
De: Christian Grey
Sujet: Restons calmes
Date: 17 Août, 2011 16:59
Pour: Anastasia Grey
De rien.
Reviens-moi en un seul morceau.
C'est un ordre.
Christian Grey
PDG & Mari surprotecteur, Grey Entreprises Holdings Inc.
Je passe la plupart de l'après-midi au téléphone et sur mes
e-mails. Cela fait déjà plusieurs heures qu’Anastasia est partie, que je ne
l'ai pas vu. Je crois que j'entends le bateau arriver. J’examine les rapports
préliminaires d'interrogatoire des employés interrogés. Mon BlackBerry sonne.
— Grey. je réponds, sans même vérifier l'appelant.
— Ici Welch, monsieur. C'est maintenant confirmer l'incident est en effet
un incendie criminel.
Même si je m'en doutais, je sens mon monde s'écrouler autour
de moi. J’ai l’impression d’avoir été frappé.
— Monsieur? Il demande à mon silence.
— J’écoute. Je rétorque sèchement.
— Tous les interrogatoires sont terminés, chacun des employés qui avaient
l’autorisation d’accès à la salle des serveurs sont comptabilisés. Il n'y a
qu'une personne sans accès sur la vidéo, qui n'était pas censé être là.
— Quoi d'autre? Je demande à travers mes dents serrées.
— C'est tout pour le moment; Je vais vous envoyer une mise à jour des informations
et dès disposition, monsieur. C’est tous les renseignements que nous avons été
en mesure de confirmer.
— Je vous rappelle. je dis et raccroche.
Tout d'un coup, ma femme me manque. Je dois la trouver, la
tenir, et l'aimer. Putain je suis hors de moi. Que faire si ... Je ne peux pas
finir le reste de ma pensée ... Et s’il s’en prend à elle pour arriver jusqu’à
moi? Je voudrais briser cette personne moi-même, membre par membre.
Je dois trouver ma femme! Je vais à notre cabine. Je la
trouve en train d’emballer un paquet cadeau. Je la regarde pendant un long
moment. Me rappelle qu'elle est ici, dans notre cabine; assez proche pour que
je la toucher. Elle est là ... Elle est là ... Elle est ici ... Respire ...
— Tu es partie longtemps. je dis d'une voix douce.
Anastasia est surprise en entendant ma voix. Quand elle me
regarde, je vois qu'elle est excitée par quelque chose. Son attitude me
distrait momentanément des événements de la journée. Mes yeux sont rivés sur
elle avec une pleine intensité.
— Tout est sous contrôle à Seattle ? Elle demande timidement.
— Plus ou moins. je réponds, en fronçant les sourcils avec agacement que
cela se passe pendant notre lune de miel.
— J'ai fait un peu de shopping. murmure-t-elle. Inquiète de mon attitude je
lui sourie
— Qu'est-ce que tu as acheté?
— Ça. dit-elle en mettant son pied sur le lit, exhibant sa nouvelle chaîne
de cheville.
— Très jolie.
Je me rapproche d’elle et caresser les clochettes pendantes
de sa cheville. Je distingue la marque rouge clair sur sa cheville, je fais
courir mes doigts le long de la trace. Un frisson parcourt son corps.
— Et ça. dit-elle en tendant une boîte vers moi.
— C'est pour moi? Je demande surpris.
Elle m'a acheté un cadeau. Elle hoche la tête timidement. Je
prends la boîte de ses mains et secoue. Je souris aussi large que possible. Mon
bébé a pensé à moi. Elle me fait me sentir aimée. Je suis assis à côté d'elle
sur le lit, saisie son menton l'embrasse.
— Merci. dis-je, ravie.
— Tu ne l'as pas encore ouvert.
— Peu importe ce que c'est, Je suis sûr que je vais adorer. je lui dis en
la regardant, les yeux brillant d'adoration : On ne m'offre pas souvent de
cadeaux.
— C'est difficile de t'acheter quelque choses, tu as tout, M. Grey.
— Je toi t'ai. dis-je. Elle est mon plus précieux, chéri, aimé et adoré
présent.
— C’est vrai. Me confirme-t-elle avec un sourire resplendissent. Mon cœur
fond.
Je déchire immédiatement l'emballage de papier et révèle la
boîte. Il s'agit d'un appareil photo.
— Un Nikon? Je demande avec une expression perplexe.
Pourquoi veut telle que j'aie un appareil photo de qualité
professionnelle?
— Je sais que tu as déjà un appareil photo numérique compact, mais ça,
c'est pour ... euh ... les portraits, par exemple. Il y a deux lentilles. Elle
jaillit dans un souffle.
Pourquoi un appareil photo? Je cligne des yeux, complètement
confus. Je ne comprends pas le sens de ce cadeau particulier.
— Aujourd'hui, dans la galerie, j'ai vu que les nus te plaisaient. Et je me
suis rappelée ce que tu m'avais dit au Louvre. Et puis évidemment, il y ces
autres photos. dit-elle et dégluti.
Elle fait clairement référence aux photos des soumises que
j'ai prises. Merde! Je m'arrête de respirer. Mes yeux s'écarquillent. Elle veut
que je prenne des photos d'elle. Des Photos érotiques! Je ne peux pas lui faire
ça! Elle est ma femme. Ce serait la traiter en objet comme je traité les
autres, et je ne peux pas ... Je ne veux pas ... je ne peux pas le faire.
— Je pensais que tu pourrais, euh ... prendre des photos de moi ...
Merde!
— Des photos ? De toi? Je demande bouche bée. La boîte de l'appareil photo
oublié sur mes genoux. Je ne sais pas quoi dire. Je ne pourrai jamais mettre ma
femme dans cette position. Ces images n'étaient pas pour le plaisir.
Elle hoche la tête en réponse; elle est anxieuse et nerveuse.
Elle me regarde avec ses pupilles dilatées. Je ne sais pas quoi dire. C'est la
femme que j'aime. C'est ma femme. Je ne peux pas prendre de telles photos
d'elle sans qu'elle me rappelle pourquoi je prenais ces photos avant. Elle vaut
mieux que ça ... je dégluti et regarde vers le bas l'appareil photo,
complètement désorienté. Distraitement mes doigts retraçant les lignes de
l'image de l'appareil sur la boîte. J'ai besoin de savoir pourquoi elle veut
que je fasse ça. Est-ce parce qu'elle pense que je pourrais préférer les
soumises? Est-ce parce qu'elle pense que je veux qu'elle soit comme ça?
— Qu'est-ce qui t'a fait penser que j'avais envie de ça ? Je demande, les
idées embrouiller.
— Tu ne veux pas? Elle demande, inquiet et peut-être même un peu
désespérer.
Je ne veux pas qu’elle croit que je la rejette, je l’aime,
elle est ma femme, la plus belle des femmes pour moi, je vénère son corps et
tous d’elle. Je prends une inspiration tremblante profonde.
— Pour moi, en général, les photos de ce genre ont plutôt été des polices
d’assurances, Ana. Je l'admets, longtemps j’ai traités les femmes comme des
objets. dis-je. Je ne veux jamais que ma femme pense que je la considère comme
un objet.
— Et tu crois que prendre des photos de moi, ce serait ... euh, me traité
comme un objet? Elle demande, son visage est blanc comme un fantôme.
Je suis déchiré. Je ne sais pas exactement pourquoi elle veut
que je le fasse, mais la signification de ces photos n'est pas pour moi quelque
chose à la quel je veux associer ma femme, l'amour de ma vie. Je plisse mes
yeux.
— Je ne sais plus où j'en suis. je dis à voix basse.
Je ferme les yeux. Si je prends de telles photos d’Ana, Où sa
nous mènerais? Qu'est-ce que sa voudrais dire de moi, son mari? Je sais que la
position de soumission n'est pas quelque chose qu’Anastasia veut, hors c'est ce
que ces photos représentent. Quand j'ouvre les yeux, prudemment, des émotions
brutes me tourmentent de l'intérieur.
— Pourquoi tu dis ça? Elle murmure avec de la panique dans sa voix.
Pourquoi? Parce qu'elle va me détester! Elle peut vouloir le
faire, parce que dans son esprit, elle pense ne pas être assez bien pour moi,
ou qu'elle pense que je veux ça d'elle. Mais en réalité, ce qu'elle n'aime pas,
je n’en veux pas. Je ne veux pas qu'elle fasse quelque chose pour moi, si ce
n'est pas ce qu'elle veut. Ces choses peuvent la faire partir loin de moi, je
ne veux jamais, jamais prendre ce risque. Pas avec elle! En outre je lui ai
infligé une baise punitive après avoir
perdu le contrôle lui laissant des marques sur tout son corps.
Je hausse les épaules en réponse à sa question. Je ne peux
m'empêcher de regarder les marques de menotte sur son poignet là ou devrais
être le bracelet que j'ai acheté pour elle, qu’elle a enlevé.
— Christian, ça n'est pas grave! Dit-elle en levant son poignet. voir la
marque rouge me poignarde une fois de
plus à l'intérieur. Tu m'as donné un mot d'alerte. Hier, j'ai adoré!
Souligne-t-elle. Arrêtez de t'en faire pour ça - ça me plaît, le sexe un peu
brutal, je l'ai déjà dit. dit-elle rougissante.
Je regarde son visage, son expression, ses yeux, scrutant son
sens. Le pense-t-elle? Ou essai-t-elle juste d'apaiser mon ego. Mon trouble
émotionnel ne m'abandonne pas.
— C'est à cause de l'incendie? Tu crois que ça à un rapport avec Charlie
Tango? C'est pour ça que tu es inquiet? Parle-moi, Christian! Je t'en prie!
Supplie-elle.
Une tornade déferle à l'intérieur de moi. Une tempête
émotionnelle frappe ma tête, ma santé mentale. Oui! Putain j'ai peur que
quelqu'un s'en prenne à ma femme, lui faire du mal, parce qu'ils veulent me
faire du mal ... j'ai peur que je sois celui qui lui fais du mal. Je l'ai
blessé, hier! Et j'ai traité en objet les femmes. Je ne veux pas que ma femme
soit l'une d'elles. Putain Je suis terrifié! Je suis un homme habitué à avoir
le contrôle de tout, et ne pas avoir de contrôle sur ces événements m’enferme
dans un abîme effrayent. Je m'inquiète pour elle jusque dans mes os! Je l'aime
tellement, je ne sais pas ce que je ferais si quelqu'un venait à lui faire du
mal!
— Ne réfléchir pas trop à tout ça, Christian. elle me gronde d'un ton
calme.
Elle s'approche de mes genoux, prends la boîte, l'ouvre. Je
la regarde passifs. Elle tient l’appareille photo dans ses mains, je suis
fasciné par ses mouvements simples. Elle enlève le capuchon de l'objectif est
cadre sur moi. Elle appuie sur le bouton en le maintenant enfoncé. Je peux
entendre le volet capturer mon image en succession rapide. Elle prend au moins
dix photos de mon expression alarmée.
— Alors, c'est moi qui vais te traiter en objet. murmure-t-elle, appuyant à
nouveau sur le déclencheur.
Elle continue à prendre des photos jusqu'à ce qu'un
frémissement de sourire rampe sur mes lèvres. J'essaie de contenir mon sourire,
mais elle continue à prendre des photos. Je décide enfin de poser pour elle et
je pense qu’une moue serait appropriée pour une ambiance ludique. Elle prend ma
photo et pouffe de rire. Son rire remonte mon humeur.
— Je croyais que c'était un cadeau pour moi ? je déclare d'un ton boudeur,
la taquinant.
— Eh bien, c'était censé te distraire, Mais apparemment, c'est un symbole
de l'oppression des femmes. dit-elle me mitraillant. Elle se rapproche et tente
de capturer une image de mon visage dans l'extrême gros plan.
— Tu veux être opprimée? Je susurre, taquin.
— Pas opprimés, non. Et elle continue à prendre des photos.
— Je pourrais vous opprimer à l'infini, Mme Grey. je la menace comme un
prédateur d'une voix rauque.
— Je sais, M. Grey, et vous ne vous en privez pas.
Oh, merde! Je fais ça! Mon visage tombe. Qu'est-ce que je
fais de mal avec ma femme? Suis-je un mari déplorable? Anastasia abaisse
l’appareil photo et me regarde exaspéré.
— Qu'est-ce qui ne va pas, Christian? Elle dit sonnant exacerbé.
Je
secoue la tête, n’indiquant rien. Elle tient l’appareil photo, en alignant le
viseur à son œil et recommence à prendre des photos.
— Dis-moi. insiste-t-elle.
— Rien.
Mais cette fois, dans un mouvement je balai sur le sol la
boite de l'appareil photo du lit. Je prends ma femme et la pousse sur le lit.
Je suis assis à califourchon sur elle, dans une de mes positions préférées.
— Hé! S'exclame-t-elle,
Elle continue à prendre plus de photos de moi. Je prends
l'appareil photo par l'objectif, l'écartant d’Anastasia, puis le retourne et
commence à prendre des photos. J'appuie sur le déclencheur, prends un nombre
infini de photos d'elle en successions rapide.
— Vous voulez que je vous prenne en photo, Mme Grey? Je demande d'un ton
amusé souriant. Pour ça, il faudrait d’abord que vous souriiez ! je dis et
chatouille ma femme sous ses côtes sans pitié.
Elle couine et rit sous moi. Elle tente de saisir mon poignet
dans un effort vain de m'arrêter. Je l'aime quand elle se bat avec moi. C'est
un de mes fantasmes. Qu’elle se tortille sous moi, qu’elle se défend, ça
m'excite totalement! Mon sourire s'élargit et je continue à la chatouiller tout
en prenant des photos.
— Non! Arrête! Elle crie.
— Tu plaisante? Je grogne.
Je
pose l’appareil photo à côté de nous sur le lit, afin que je puisse utiliser
mes deux mains pour la chatouiller.
— Christian! Elle bafouille, halète et rire sa protestation.
Je n'ai jamais
chatouillé ma femme avant, c'est tellement amusant de l'avoir sous moi comme
ça, glousser, rire, riposter, juste heureuse. Elle essaie d’éloigner mes deux
mains, mais je suis inflexible. Je souris à ma femme, et savoure pleinement sa
tourmente joyeuse.
— Christian, arrête! Elle plaide.
Je m'arrête brusquement. Je prends ses deux mains les tiens
de chaque côté de sa tête et vient pèsent sur elle. Elle est haletante, le
souffle court, et la façon dont elle me regarde en ce moment, toute rouge,
ébouriffés et heureuse, me fait quelque chose. Mon excitation dépasse
l'entendement. Ma respiration est en miroir de la sienne. J'aime cette femme!
Je l'adore absolument! Bordel, je veux l'honorer avec mon corps!
— Tu. Es. Si. Belle. J’énonce un ton haletant.
Elle me regarde. Je suis incapable de l'aider mais, me sens
attirés par elle. Je veux me perdre dans ma femme. Je veux faire l'amour avec
elle. Je me penche et en fermant les yeux je l'embrasse, complètement séduit.
Je libère ses mains, mes doigts se blottissent autour de sa tête et tissés dans
ses cheveux. Comme je la maintiens doucement en place, je commence à
l'embrasser doucement et tendrement. Je l'embrasse longuement avec ferveur,
l’aimant. Sauf qu’elle bouge son corps pour exiger plus de moi; ses lèvres et
sa bouche réponde à mon baiser, me désarmant complètement. Notre baiser se
transforme en plus charnelle, profond et dévorant. Ma langue plonge dans sa bouche,
prends, cherche, capture, envahi, et la possède complètement.
Je respire fortement et gémis. Elle est ma perte. Elle m'a
changé d'une manière telle que je suis complètement sien.
— Oh, qu'est-ce que tu me fais ? je gémis, mon sentiment est brut et charnel.
Je tiens à affirmer qu'elle est à moi, que je suis à elle. Je
bouge rapidement, me trouvent au-dessus d'elle, la pressant sur le matelas,
sentant tout d’elle, et elle sent tous de
moi, sentir ma queue appuyer sur son sexe. Lui faire savoir à quel point
je la désire. Pendant que je tiens son menton d'une main l’autre glisse sur sa
poitrine, sa taille, ses hanches, son corps et ses fesses. Je l'embrasse encore
charnellement, sans retenue, pousse ma jambe entre les siennes, je lève ses
genoux. Toute la longueur de mon érection pousse pour sortir, presse contre mon
pantalon et sur son sexe. La façon dont elle halète et gémit dans ma bouche,
j’avale sa voix, boire son plaisir, nourri ma faim pour elle. Le désir que je
ressens pour elle est écrasant. J'ai besoin d'elle plus que ma prochaine
respiration en ce moment. Ce n'est pas seulement un manque. C'est un besoin,
d'elle. Je ne peux pas vivre sans elle, sans être à l'intérieur d'elle. C'est
ainsi que je communique avec elle. C'est ainsi que je tiens à exprimer mon
amour, mes soucis, mes désirs, mes peurs, ma colère, ma passion, et toutes mes
émotions pour elle. C'est moi, Christian Grey, à l'état brut.
Anastasia m'embrasse dans un nouvel abandon. Ses mains dans
mes cheveux, tire, tiennent mes cheveux fermement.
En un instant, je m'arrête, me lève, l'attire debout sur le
lit, elle se tienne devant moi, complètement hébété. Je défais le bouton de son
short, m'agenouille rapidement, tire vers le bas avec sa culotte. Et avant
qu'elle puisse respirer son prochain souffle, je la jette sur le lit,
déboutonner ma braguette et j'enfonce ma bite dans son sexe sans préambule. Si
je ne le fais pas, je vais me perdre. Elle crie à la sensation d'être pleine,
mais je ne peux pas arrêter. Mon souffle siffle à travers mes dents serrées.
J'enfonce ma queue en elle à plusieurs reprises et un:
— Ouiiii! Siffle entre mes lèvres près de ses oreilles.
Je m'immobilise, ma
bite enterré profondément en elle, la marquant comme mienne, la touchant, me
connectant avec elle dans la façon la plus élémentaire. Je savoure se sentiment
pendant un moment, puis pivoter mes hanches une fois et m'enfonce en elle plus
profond, ce qui fais gémir ma femme.
— J'ai besoin de toi. je grogne
d’une voix rauque et basse.
Mais c'est aussi mon appel à elle; Je ne peux pas vivre sans
elle. Glisse mes dents sur sa mâchoire, mordiller et suce le bas de son visage.
Puis je recommence à l'embrasser, plus fort cette fois. Anastasia enroule ses
jambes autour de mon cul, me berçant, me tirant vers elle, me tenant fort, me
broyant. Je veux lui donner tout ce que j’ai et prendre tous ce qu’elle me
donne. Le sentiment de sa soumission à mon corps est grisant. Il n’en faut pas
plus à mon esprit et à mon corps je commence à bouger de manière primitive,
charnelle, désespéré, insensé, possessive, à un rythme affolant.
Je pousse plus loin, plus loin en elle, mais ce que je
cherche, c'est plus qu'une libération pour notre corps, mais aussi pour nos
craintes, nos émotions, l'amour, les désirs, et nos âmes relier de manière
inséparable. Je ressens les muscles d’Anastasia se resserré à l'intérieur,
s'enroulant autour de ma bite, me draine et me tracte, m'invite plus en elle.
Notre respiration est rude, contrainte, profonde et laborieuse.
Anastasia pousse des gémissements fort, haletant, elle a
atteint son apogée, plus loin, une écrasante majorité des gémissements
charnelle s'échappe de ses lèvres, elle est sur le point de jouir
— Jouis avec moi, Ana. J’ordonne, m'écarte un peu d'elle, la poussant dans
le précipice, elle a fermé les yeux, prêtes à l'orgasme.
— Ouvre les yeux ! je commande. J'ai besoin de te voir. Je plaide, d'une
voix pressante implacable.
Ses yeux s'ouvrent, se connecter avec les miens. Mes yeux,
s'assombrissent et se dilatent. Elle me voit la désirer des profondeurs de mon
âme, l'amènent avec ma bite vers la jouissant, elle hurle sa libération alors
que les rouleaux de son orgasme se diffuse dans des longues vagues.
— Ah, Ana. je crie au summum.
Je
m'enfonce en elle encore et encore, et jouis tout ce que j'ai dans une giclées
épaisses dans ma femme; puis m'écrouler sur elle. Mes yeux sont fermés, mes
bras enroulés autour d'elle, alors je me retourne pour la mettre sur moi pour
la libérant de mon poids, je m'accroche fermement à ma femme. Elle embrasse ma poitrine
à travers ma chemise. Je peux sentir son regard sur moi, même si mes yeux sont
fermés.
Je l'aime, et J’ai peur de tout mon être que quelqu'un puisse
être en mesure de lui faire du mal.
— Dites-moi, Christian, qu'est-ce qui ne vas pas? Elle demande d'une voix
anxieuse douce.
Je ne dis rien. Comment puis-je exprimer mes craintes?
Comment puis-je mettre des mots sur la profondeur de mon amour pour elle. À
quel point l'abîme qui renferme mes craintes est profonde ? Je ne peux pas les
exprimer. Je crains que si je les dis à haute voix, ils pourraient devenir
vrais. Je ne pourrai jamais prendre ce risque. Les tourments et la douleur
coule sur moi à nouveau. Je la tiens étroitement dans mes bras, respire son
parfum, en gardant mon sexe en elle, essayant de la sentir par tous les moyens
que je peux. Elle est mon endroit sûr. Elle est ma maison. Elle est tout. Elle
est mon soleil. C'est ma vie.
Christina Perri - Arms
****❦ ♡ ❧*****
merci pour ce nouveau chapitre, hate de lire la suite
ReplyDeleteEs ce que tu vas compléter le livre 2 et 3 ?
ReplyDeleteEsce que tu vas finir le livre 2 et 3 en français ?
ReplyDeleteBonjours pour répondre au commentaire. Je suis désolée, mais je ne traduirais pas la suite. Pour cause de découragement, je m'explique : J'avais bien avancé dans ma traduction quand mon traitement de texte a bugger et corrompue le ficher de traduction. Je me suis dit bon c'est pas grave on recommence, un peu décourager mais pas vaincu. Je change de traitement de texte et là c'est mon disque dur qui lâche alors désoler mais la je déclare forfait je ne recommence pas tous une troisième fois.
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