Chapitre
4
Mon BlackBerry bourdonne
pendant que je suis assis à la table du petit déjeuner. Je souris à Anastasia
et décroche mon téléphone.
-
M. Grey, ici Welch.
-
Est-ce que tous est en
place?
-
Oui, monsieur. Tout
indique Andrew Warren, monsieur. Pella d'un seul coup d’œil a pointé les failles
de sécurité que l’on connaissait déjà, j'ai parlé à Warren plusieurs fois pour
corriger ces problèmes. Ainsi que Taylor. Chaque fois il m'a assuré que les
formations appropriées été donner au employer, que les failles de sécurité
avait été colmaté, mais il est clair qu’il nous à jeter de la poudre aux yeux.
-
Est-ce que Pella est
sûr qu’il y a une faille dans la sécurité?
-
Eh bien, pour
commencer monsieur, il me l'a prouvé en entrant dans le bâtiment sans montrer
une pièce d’identité ou quoi que ce soit à quelqu'un ... trois fois de suite en
trente minutes. énonce-t-il.
-
Merde! Dites-moi
exactement comment il a fait! Je siffle entre mes dents.
Anastasia me regard
fixement. Mes muscles se contractent. Elle me regarde inquiète, interrogative.
Je lui fais un sourire crispé, mentionne avec mon doigt "Je reviens dans
une minute", je me dirige vers mon bureau.
-
M. Grey, Pella entre
n'importe où, il donne l’impression de faire partie de l’entreprise.
-
Etait-il vêtu de
l'uniforme dès l’employé?
-
Non, monsieur, il est
entré avec une confiance arrogante, et juste regardait l’hôtesse d’accueil qui
est censé vérifier les identifications comme si personne d’autre n’existait
dans le monde, et fait à Miss Gros Nichons un de ses rare sourire, elle avait la mâchoire sur le plancher, elle pouvait
même pas cligner des yeux! monsieur, je pourrais ajouter que quand il allait
disparaître une seul chose l’intéresser lui donner un papier plier dans sa main
avec son numéro de téléphone.
-
Cela pourrait être un
coup de chance.
-
Oui, monsieur, mais il
est aussi passé par deux autres gars de la sécurité: sans raconter de mensonge
en plus, un type plus âgé avec la cataracte aux yeux et un jeune homme avec une
formation militaire ... Il aurait dû être difficile de passer à travers ces
deux-là sans pièce d'identité, monsieur. Et il n'a montré aucune identification
à quiconque. Et voilà le problème monsieur! il avait deux de ses gardes de
sécurité qui sont passé avec lui!
-
Putain! Comment?
-
Il va leur parler. Il
savait exactement quoi dire, comment le dire à la bonne personne. Comme si
chaque personne parlé une langue et qu’il était le seul à le parler. Il sut que
le plus jeune gars sortait de l'armée juste par son comportement et jugé de
quel endroit il a été renvoyé. il s'est adressé à lui en tant que tel et pour
le vieil homme, il a agi comme s'il était quelqu'un de son époque complètement
à l'aise. j'ai été déconcerté. Je lui ai demandé de faire un autre essai juste
pour être sûr et il a dit…. Welch fait une pauses, se raclant la gorge. Welch, je
peux tracer mon chemin à travers ces portes s’il le faut, je peux le faire
toute la journée, dedans et dehors, mais je suis sûr que votre patron ne me
paie pas une fortune pour que je teste
le manque de sécurité dont j'ai déjà prouvé. j'ai peu de temps, et j'ai besoin
de recueillir des preuves, de déterminer comment il a saboté l'EC 135 et créer
un profil de votre agresseur. Si je ne le fais pas cette enfoiré recommencera,
et croyez-moi quand je dis cela, il va trouver une autre façon parce qu'il
s'est échappé la première fois. Si j'étais votre patron, je virerais ces
branleurs incompétents! Mais ce n'est pas tout à fait de leur faute. Leur
formation est insuffisante. Toutes leurs réponses doivent être uniformes, mais
chaque employé ici se comporte comme s’ils ont été formés par trois
instructeurs différents dont aucun n'était sur la même longueur d’onde. Cela
aurait dû être corrigé depuis longtemps.
-
Quoi d'autre? Je demande à travers mes dents
serrées.
-
La raison pour
laquelle nous sommes en possession de ces photos que je vous ai envoyés, quand
il est entré tranquillement en passant devant la sécurité ou bien de ces effort
pour passer devant les prétendue niveau de sécurité, monsieur. Il y avait ses
hommes qui prenaient des photos de lui, marchant nonchalamment vers
l'hélicoptère, et j’ajouter, que c'est censé être hors limite en raison de
l'enquête. Puis il s'arrête de nouveau. Et il a également réussi à accéder au
jet de GEH!
-
Merde! Merde! Le jet aussi?
-
Je le crains,
monsieur. dit Welch chagriné.
-
Comment est-il entré?
-
Il a dit qu'il a
utilisé son charme monsieur. dit-il gêner.
-
Ses charmes? C'est
quoi ce bordel! Vous ne portez pas votre charme comme une carte d'identité! Il
est censé y avoir des protocoles pour ça. Merde!
-
Il suffit d'avoir du
charisme, monsieur. Et il n'a même pas à faire semblant d'être un employé, ou
quelqu'un qui avait des affaires là-bas. Il vient se promène dedans.
-
Quand est-il de vos
constatations antérieures d’il y a un mois?
-
Elles ont été
présentées à M. Warren, monsieur. Il a promis qu’a tous les niveaux les failles de sécurité était négligeable, et
qu'ils allaient être corrigé immédiatement. Mais quelque semaine plus tard, il
a été prouvé par M. Pella que rien n'avait été corrigé, en fait c'était pire!
La colère suinte par
tous mes pores; Je dirige ma main libre dans mes cheveux en signe
d'exaspération.
-
Est-ce que cet enculé
est prévu ce matin? Je demande, me trouvant à taper du poing sur mon bureau.
-
Oui, monsieur. Il doit
être à GEH à exactement 08h00
-
Bon. Nous allons le
laisser mijoter un peu. Laisse-le s’inquiéter. Je veux lui botter le cul, vous
comprenez? Je ne veux pas de bourde! Que diriez-vous du reste?
-
Non, monsieur. Aucune
bourde! Tout comme nous avons discuté hier soir, monsieur. Avez-vous eu
l'occasion de lire les rapports que je vous ai envoyés?
-
De haut en bas!
convoquer les tous. Je ne suis pas d'humeur indulgente aujourd'hui!
-
Oui, monsieur. Je
serai à GEH sous peu, tous seront réunis avant votre arrivée.
-
Bien! Coordonner avec
Taylor. Je viendrai à 09h00 aujourd'hui.
-
Je vais l'appeler
immédiatement, monsieur.
-
Très bien! Je dis de
raccrocher. Le Christian impitoyable est de retour!
Quand je retourne de
nouveau près du barre du petit déjeuner dans la cuisine, Anastasia sirote son
Twinning's English breakfast tea peu infuser. Sa belle présence fait fuir la
colère que je ressens juste en dessous de la surface. La douce image d'elle
avec une tasse de thé, me remémore des souvenirs quand elle et moi avons bu du
champagne dans les tasses de thé dans son appartement. Je la savoure du regard,
complètement admiratif. Quelque chose d'angélique ça me donne une idée. Une
douce idée. Humm ... Je vais faire en sorte de la mettre œuvre rapidement. Elle
remarque mon regard sur elle.
-
Quelque chose qui vous
plais M. Grey? Elle demande et sourie.
-
Tout, Mlle Steele. je
dis déambulant vers elle avec des yeux sombres lascifs.
Ses yeux suivent mes
mouvements sans sourciller; sa tasse de thé est à mi-chemin de ses lèvres, et
sa lèvre inférieure est Capturer dans ses dents. J’arrive devant elle, je prends
lentement la tasse de thé de sa main sans rompe notre regard; la pose sur le
comptoir. Je penche ma tête sur le côté pour mieux l'admirer. Ses pupilles se
dilatent, sa respiration devient difficile avec ma proximité. Je me penche et
d'une main je tire son menton libèrent sa lèvre, avec mes propres dents je
capture sa lèvre, la suce légèrement, elle gémit dans ma bouche agitant tous
mes synapses. Je pousse sa jupe vers arrière puis séparer ses jambes, la tire à
moi vers l'avant où je me tiens entre ses jambes. Tout en tirant sur sa queue
de cheval d'une main, je pousse son cul sur le bord du tabouret pour faire que
son sexe rencontrer mon érection croissante, elle halète dans ma bouche. Ses
mains plongent dans mes cheveux, me tirer vers elle, tandis que ses bas de soie
enfilé sur ces délicieuses jambes s'enroulent autour de mon corps; le coin de
ses talons hauts creuse délicieusement dans mon cul. Notre baiser s'attarde et
ma langue envahit sa bouche familière, mais ces redécouverte à chaque fois que je
l'embrasse, nos langues danser.
-
Avons-nous le temps?
Elle demande dans ma bouche.
Je souris. Je brise
notre étreinte à contrecœur, quand nous nous séparons nous somme tous les deux
à bout de souffle, je demande avec un sourire diabolique.
-
Du temps pour quoi,
Mlle Steele?
-
Pour baiser! Elle
exige passionné et intense.
-
Mlle Steele, pour une
éditrice, je trouve que tu utilises un langage bien cru?
-
Christian, tu veux
dire que tu m’as allumé pour rien et que tu vas me laisser exister et gêner
toute la journée! Réprimande-t-elle.
-
Il se trouve que Mlle
Steele, on ne peut pas ce matin. je réponds son visage tombe. Je ne peux pas
être détendu pour allais au bureau aujourd’hui.
-
Mais je vais prendre
bien soin de toi ce soir ... Je dis avec une promesse charnelle.
-
Quoi? Non! Pourquoi?
Je me penche à son
oreille et murmure.
-
N'essaie pas de te soulager. Je le serais. Je
veux tout ton plaisir ce soir. la laissant haletante.
-
Christian, Ce n'est
pas juste! Je te veux maintenant!
-
Je sais bébé, je sais.
Je te désire aussi, mais en temps voulu ... Je promets de prendre bien soin de
toi plus tard. je dis sensuellement en lui montrant mon désir.
La frustration
sexuelle sert à plusieurs fins. Quand je suis frustré sexuellement, je suis
comme une arme chargée - beaucoup plus méchant; l'effet est doubler parce que je dois attendre un long moment
pour baiser Anastasia. Encore plus, quand Anastasia me désir aussi fortement
comme elle le fait maintenant, j'ai besoin pour allais au travail aujourd'hui
d’avoir mes lame beaucoup acérer pour régler le sort de cette escroc. Mais la
meilleure partie est que notre passion sera plus agréable, nos désirs seront à
leur apogée absolue et notre baise sera beaucoup plus torride.
Gagnant-gagnant-gagnant.
Elle rétrécit ses yeux
sur moi,
-
Vous êtes beaucoup de
chose, monsieur Grey. dit-elle.
-
Que voulez-vous dire,
mademoiselle Steele? Je demande feignant l'innocence.
-
M. Grey, vous êtes un
tas de choses. Mais innocent, vous n'êtes pas! Elle m’accuse, ça me fait
sourire.
-
Vous me connaissez
bien Mlle Steele. dis-je en l'embrassant passionnément une fois de plus.
-
Ce soir. je dis et
enrobe tant de promesses dans ce seul mot, son rythme cardiaque s'accélère la
faisant rougir.
-
Je te prendrais au
mot. répond-elle dans un murmure rauque tenant mes biceps serré. bien. dit-elle
comme si elle se souvenait de quelque chose. Je ne peux être tenue responsable
des conséquences d'être laissé exister et incommoder, M. Grey.
-
Attention ! dis
d’une voix basse menaçante. personne, ne ce touche ce qui est à moi!
Je dis attrapant en
coupe son sexe la faisant haleter.
-
Oui. dit-elle d'une voix tremblante de désir.
Seulement à toi, Christian!
-
Bonne fille. Finir ton
thé, nous partons. dis-je, elle le fait.
Anastasia prend sa
serviette, Taylor marche en toute discrétion, je lève les yeux vers lui, il
acquiesce connaissant mon sens. Tout est coordonné. Je prends la main
d’Anastasia; marche dans l'ascenseur avec Sawyer et Taylor. Taylor et Sawyer
ouvrent les portes passagères du SUV, tous les deux Anastasia et moi entrons.
Une fois que nous sommes dans le SUV, je reprends la main d'Anastasia. Faisant
des cercles sur le dos de celle-ci, je m'apercevoir qu'elle croise ses pieds
pour serrer ses cuisses. Je la regarde d’un regard assombri. Elle est existée
et gêner. Humm ... Peut-être que je peux la persuadé de rentrer plus tôt
aujourd'hui. Je lui tiens la main lui ouvrant la paume de l'autre main;
J'embrasse lentement et légèrement puis mordre le coussin de son petit doigt
elle réagit par un gémissement étouffé.
-
Chut maintenant. je
dis me penchant à son oreille. Ce soir ... je murmure dévergondée.
Elle mord sa lèvre mes
yeux s’assombri de désir. J’attrape son menton, libérant sa lèvre.
Le SUV est à l'arrêt
en face de SIP et Sawyer saute pour ouvrir ma porte. Je sors et tends la main à
Anastasia qui la prend. Je l’emmène à la porte de SIP.
-
Ne quitter pas le bâtiment. Demande à Sawyer
si tu as besoin de quelque chose à l'extérieur. je lui rappelle.
-
Oui, monsieur.
répond-elle en soupirant, et me donne un doux baiser rapide me laissant debout
comme un adolescent idiot. Petit démon! Elle sait ce qu'elle fait. Je peux
peut-être lui faire payer en nature ce soir.
-
M. Grey, M. Warren a
attendu près d'une heure, il était presque décider à partir à quelques
reprises, mais j'ai réussi à le retenir, finalement j'ai dû le faire asseoir
dans votre bureau il y a pas cinq minutes. Il semble ... pendant une minute, je
crois qu’Andrea va dire " énervé ". Il semble mécontent d'avoir dû
attendre, monsieur. dit-elle.
-
Bien!
Je marche vers mon
bureau avec la confiance innée, Taylor me suit discrètement et va se mettre à
sa place habituelle. Warren dont le visage est déformé comme un roi qui
attendait la naissance de son plus premier héritier, un fils, et qu’il en est
sorti la réplique de son grand-grand-oncle laid ou sa fille nouveau-née.
-
M. Grey. Dit-il d'une
voix désagréable en se levant.
-
Warren.
J’ignore sa main
tendue, fais quelques pas, défait le bouton de ma veste lui tourner le dos,
avant d'aller à ma place, je me retourne pour lui dire.
-
Assis!
Mettant l'accent sur
le "s" fermement comme on le ferait à son chien "au pied".
Il obéit immédiatement. Mon regard ne perd rien. Impassible.
(Ecstasy of Gold - from "The Good The Bad The Ugly)
-
Puis-je vous demander
pourquoi vous m'avez appelé ce matin M. Grey? Il demande serein.
Je le regarde sans un
mot, le fixant pendant trente secondes. Il se déplace dans son siège mal à
l'aise.
-
Je suis sûr que vous
avez une opinion bien formée M. Warren. Dis-je dans un ton mesurée, la voix
lente et contrôlée qui ne cache pas l’animosité implicite dans mon sens.
Il déglutit. Comme si
tous d’un coup il avait froid, il frotte ses doigts dans sa paume dans un
effort pour les réchauffer. Mes yeux légèrement se déplacent et jeté un petit
coup d'œil à Taylor sans même tourner la tête, si imperceptible que si Taylor
et moi nous n’étions pas en phase avec cette instincts respectives, il ne
saurait pas. Il sort lentement et discrètement de la pièce sans même qu’Andrew
Warren se rendre compte. Son visage rose est en train de virer au rouge à
chaque seconde. Son front dégarni montre des perles de sueur. Son arrogance
sarcastique glisse hors de lui comme un ballon dégonflé à la minute.
Taylor tranquillement
revient avec Welch qui ferme la porte derrière. Je lève les yeux vers lui, il
hoche imperceptiblement. Toutes les pièces du puzzle sont en place. Les
vestiges des anciens jours militaires de Welch se font encore sentir par ça
coupe réglementaire, ce qu’indique qu'il était autrefois un membre des Seals,
mais maintenant un professionnel, sa cicatrice oblique entre ses sourcils lui
donne l’air d'être en permanence croiser. Ses yeux verts sont profonds et
perçants, et immédiatement il clou Warren à son siège, lui donnant un regard
accusateur. Sa présence imposante dans le bureau lui donne l’air plus grand que
son 1m82. Il est dans son costume sombre habituel avec une cravate foncé en
soie assortie. Mais même dans un costume d'affaires, son comportement parle
d'un soldat professionnel. Il marche avec le dos en position verticale comme
s’il va faire un pas de danse rapide avec un partenaire invisible.
-
Monsieur. il me
reconnaît respectueusement. Il fait le spectacle, apporte les documents que
j'ai demandé hier soir, qu'il m’a envoyé par courriel que j'ai déjà examiné.
Warren le regarde avec
défi, et arrogance comme s'il était intouchable.
-
Eh bien, j'attends Grey.
dit-il regagnant avec l’impatience son sang-froid. Vous m'avez convoqué ici,
pourtant, je n'ai toujours aucune idée de ce qu'il en est, bien que… dit-il
faisant un spectacle de vérifier sa montre. J'ai attendu pendant une heure
trente-huit minutes. Je suis un homme très occupé.
Je
saute sur mes pieds comme un prédateur mes yeux couverts d'éclats de glace
malveillante. Je me promène dans mon bureau mon regard fixé sur lui,
inébranlable.
-
Il y a un mois à ce
jour, Welch vous a prévenu des failles de la sécurité en général et en
particulier autour des avions de GEH. Nous avons des preuves documentées que
les déficiences pointent les fautes à tous les niveaux jusqu'à vous;
Particulièrement vous en réalité ignorant de façon répété les avertissements
clairement exposé de Welch.
J’affirme sans élever la voix mais d'un ton
clair, ma voix résonne dans mon bureau.
-
Cependant, sûrement M.
Grey, vos avions sont très bien assurés. Je suis certain que l'entreprise a que
vous avez emprunté, ou loué seront couvrir les coûts de réparation et plus
encore! D'ailleurs, comment pourrais-je savoir à partir de mon bureau dans le
centre-ville de Seattle que vos avions sont sous surveillance constante quand
ils sont à Boeing ou sur le tarmac de l'aéroport? Dit-il comme l'idiot qui ne
comprend pas mon point de vue.
Cet enculé a le culot
de laisser entendre que mes avions sont loués à une autre société. GEH est
propriétaire de tous ses avions, j’emploi mon propre équipage jusqu'à nos
mécaniciens. Je ne confis pas mes affaires privées à des tiers. Par conséquent,
aucun de mes avions sont emprunter ou loué. Mais ce ne sont pas ses
affaires, je ne vais perdre mon temps à
lui expliquer.
-
Pensez-vous que j’en
ai quelque chose à foutre que l'assurance couvre les dommages et intérêts?
Voudriez-vous de votre assurance pour couvrir votre vie sans valeur et la vie
d'un collègue parce que des gens comme vous n'ont pas fait leur travail?
-
Je n'ai pas à écouter
cette merde!
-
Pourtant, il semble
que vous le faites, alors installez-votre putain de cul, ou je vais le faire
reposer pour vous.
Je proclame d'une voix autoritaire calme. Je
hoche la tête à Welch qui va ouvrir la porte de mon bureau. Environ huit
personnes entrent dedans, les yeux de Warren s’agrandissent.
-
Je ne tolère pas de
manquement à la sécurité à tous les niveaux dans mon entreprise. Pourtant, les
preuves recueillies montrent que cinq parmi vous on grossièrement abusé de
leurs positions, de la basse … Je regarde le gardien de sécurité. au plus
haut niveau dans une entreprise de sécurité. Je dis en regardant Warren.
-
Je ne travaille pas
pour la compagnie de sécurité, monsieur. dit un type stéroïde à l’anabolisant
qui a pris quinze doses de trop.
-
Tais-toi Ronnie! Vous
travaillez pour le chef de Boeing, vous avez travaillé le jour ou l'hélicoptère
de M. Grey a été saboté. vous n'auriez pas du baiser Miss Kingsley au lieu de
faire votre travail! Explique le
directeur de sol de Boeing. Ronnie a la décence d’avoir un regard dépité.
Je regarde la liste
dans ma main avec les images capturées par les caméras de sécurité, les noms
attachés à ceux-ci. Mon visage est impassible, je suis tout sauf cela. Je ne
tolère pas l'incompétence qui est dans un niveau tel qu'il aurait pu me coûter
la vie Ross et moi.
-
Joe Coleman ! Je
crie et un gars de la sécurité vient vers l'avant.
-
Vous avez laissé
entrer un homme qui n'a pas sa place dans l'aéroport; qui d'ailleurs a saboté
mon hélicoptère. J'espère que les centaines de dollars que vous avez reçus
étaient à la hauteur de votre travail! Je dis avec un regard glacial.
-
Vous êtes viré putain!
Foutez le camp de mon immeuble! La tête basse, il sort.
-
Sergio Ferrigno. je
crie et un homme aux cheveux noirs âgé d'environ 35 ans s'avance.
-
Vous étiez le
mécanicien qui a signé l’autorisation de décoller, que tout était en bon état,
même si ça ne l'était pas.
-
Je suis désolé M.
Grey; Je n'ai pas eu le temps de vérifier les câbles quand ils ont appelé pour
préparer l'aéronef. J'ai juste signé le bon. dit-il, comme si ces explications
été suffisante.
-
Lorsque vous
travaillerez pour quelqu'un d'autre la prochaine fois, vous aurez la décence de
faire votre travail correctement, ne signez pas de votre nom sur un travail que
vous n'avez pas effectué! L'incompétence est inacceptable! Vous êtes viré! La
sécurité va vous escorter pour récupérer vos putains d’outils. Vous n'êtes pas
autorisé à remettre le pied à proximité d'un de mes avions! Je laisse la
sécurité l’escorté.
-
M. Sullivan!
-
Oui, monsieur. répond
le patron de Ronnie.
-
Est-ce que ce sont vos
témoins, ici?
-
Oui, monsieur, ici.
Il montre deux
employés de l'aéroport impeccablement habillés. Leur attitude debout,
positionnement moitié attente et vigilante, les mains dans le dos, la poitrine
en avant, coupes réglementaire me dis qu'ils étaient des récentes recrues
militaires.
-
Vous. je dis debout
devant un des gars qui regardent droit devant lui évitant mon regard de mépris
glacial.
-
Votre nom? Je commande
même si je sais déjà.
-
Lee Tyson, monsieur!
Dit-il, comme le militaire qu'il était.
-
Qu'est-ce que vous
avez à déclarer? Je demande fermement.
-
M. Yates, ici. dit-il
en se reprenant,
-
Ronald Yates était de
garde au sol monsieur. Mais en dépit de l'avertissement répété de moi-même et
Paul Kovak.
Un signe de tête à
l'autre ex-soldat sans tourner la tête.
-
A laissé entendre
avoir une rencontre avec Miss Kingsley, monsieur! Il a donné son explication.
-
Qu’avez-vous à dire M.
Kovak?
Je demande debout en
face de l'autre ex-soldat qui a aussi les yeux fixés devant, sans regarder
personne ou rien en particulier.
-
Ce que M. Tyson a
déclaré ; le compte rendu est correct monsieur. M. Ronald Yates et Miss
Kingsley ont disparu dans le placard pendant plus d'une demi-heure, monsieur.
On lui a dit que s'il partait s’été nous désavantage numériquement sur le sol,
monsieur!
-
Et qu'étais sa réponse
à cela? Je demande en sachant ce qu’il a dit.
Paul Kovak me regarde
pour la première fois dans les yeux. Il a dit la vérité, mais gêné d'avoir à
passer le prochain élément d'information dans une telle foule. Mon regard reste
impassible, recouvrent avec soin le Vésuve en colère dans mon regard glacial.
Il dégluti.
-
M. Ronald Yates a dit
qu'il ne pouvait pas attendre une minute de plus sans percer le cul doux qui a
été agite devant lui toute la matinée, monsieur! At-il ajouté.
Et Miss Kingsley qui
est resté silencieux et impassible jusque-là à une bouffées de chaleur est
devient rouge tomate. Je marche pour
faire face à Mlle Kingsley debout à quatre mètres d'elle.
-
Est-ce vrai Mlle
Kingsley? Je demande d'une voix neutre.
D'une manière
foutrement inutile, elle redresse le dos et pousse vers l'avant ses très gros
seins qui est peut-être la raison pour laquelle elle a obtenu le poste en
premier lieu, mettre en avant ses plus grands atouts, lève les yeux vers moi
timidement avec son visage trop maquiller. Elle penche sa tête en balançant sa
queue de cheval brune.
-
Oh, je suis désolé mon
chérie, mais je n'étais que ...
Je la coupé immédiatement. De toute évidence,
elle n'a pas l'habitude de parler à l'autorité.
-
Vous pouvez soit
appeler M. Grey ou monsieur! Mais putain vous ne m'appelez jamais mon chérie! Comprenez-vous?
Elle est bouche bée.
Je ne pense pas qu’elle n’ait jamais obtenu un refus à la démonstration de ses
seins.
-
Quoi? Elle demande
comme si s’été incompréhensible.
-
Comprenez-vous ce que
je vous demande? J’énonce.
-
Oui, monsieur.
dit-elle bégayent.
Elle encaisse au
préalable se penche ensuite indigné.
-
Miss Kingsley, vous et
M. Yates est viré!
-
Pourquoi? Miss
Kingsley demande avec humeur.
-
En bref Mlle Kingsley,
vous êtes congédié pour avoir baisé un collègue sur les heures de bureau
lorsque vous étiez censé travailler. Vous n'êtes pas payé pour baiser! Vous
êtes payé pour travailler!
-
Mais je ne suis pas
employé par votre entreprise! Je suis salarié ...
-
Permettez-moi M. Grey.
dit Andy Sullivan
Il marche en avant
avec un visage triste en regardant ses employés.
-
Vous avez tous deux
été une honte pour le nom de notre entreprise, pour l'un de nos plus gros
clients! Non seulement pour négliger votre travail, que vous avez été engagé à
faire, mais refusant d'écouter vos collègues qui vous ont mis en garde. Vos
actions intimes ont été capturées par les caméras de sécurité. En bref Mlle
Kingsley, et Ronnie, vous êtes tous les deux virés! Ne vous embêtez pas à
revenir au travail demain. La sécurité vous accompagnera pour récupère vos
effets maintenant. Je ne veux pas voir l'un de vous sur les lieux!
Comme la sécurité
escorte un Ronnie embarrassé, et une Miss Kingsley circonspect, Andy Sullivan
et toute la foule sort de mon bureau.
Warren est la seule
personne restant dans le bureau autre que Taylor et Welch. Il fait un mouvement
pour partir.
-
Grey, vous pouvez
avoir convaincu l'aéroport de viré le petit personnel qui manque d’enthousiasme
au travail, mais je suis le chef de la direction de mon entreprise de sécurité.
Vous ne pouvez pas me virer! Même si vous tentez de le faire, je serai heureux
de vous poursuivre en justice! Il déclare avec malveillant.
-
Vous n'avez aucune
idée putain de ce que je suis capable de faire; Je peux et je vais mettre le
feu à ton cul! Aucune entreprise pour laquelle j'ai investi, doit employer un
directeur général très incompétent, celui qui est averti un mois à l'avance
pour régler des problèmes mêmes si sa lui coûte leurs emplois à quatre membre
du personnels! Vous étiez responsable de la mise en œuvre des mesures pour se
débarrasser des failles des sécurités et vous n’avez encore rien fait!
-
Vous ne pouvez pas le
prouver !
-
Welch, lisez à ce
putain de bâtard ses droits!
-
C'est avec plaisir
monsieur.
Il prend les documents
disposés devant lui.
-
M. Warren, il y a un mois à ce jour, je vous ai fait une
liste détaillé indiquant les trous dans la sécurité en générale et en
particulier auprès des avions de GEH. Nous payons un montant élevé pour vous
permettre de vous acquitter de cette tâche chaque mois. Taylor ou moi avons toujours
été en contact permanent avec vous pour relayer nos exigences de sécurité. le
manque de sécurité ou l'incompétence de vos employés qui sorte juste dehors
avec leurs Casquettes, main dans la main cela auraient dû être arrêtés par
votre entreprise avec les mesures de sécurité pour laquelle nous avons
amplement payé. Nous ne traitons pas avec
les intermédiaires. Vous avez été averti, M. Warren, il y a un mois
entier!
-
Nous détesterions
perdre votre clientèle. Dit-il avec un grognement. mais ... commence Warren.
-
Vous perdez plus que
notre clientèle, Warren. Vous perdez votre emploi! Vous êtes viré putain! Je
bouillonne de colère.
-
Vous ne pouvez pas me
virer; Je suis le chef de la direction de ...
-
De l'entreprise où je
possède les intérêts majoritaires! Je siffle. Il devient blanc comme fantôme.
-
Toutefois M. Grey ...
sa tonalité devient lèche-cul.
-
Personne sous mon
commandement ne fait le con avec moi et arrive à garder leur travail! bouge ton
cul d'ici. Welch! mettez cette putain d'ordures dehors!
-
Avec plaisir,
monsieur! Dit-il, et ouvre la voie à un Warren choqué, qui sort de mon bureau.
Je m’assois dans mon
siège plutôt avec force et j'entends le cuir du fauteuil protester. En appuyant
sur l'interphone j'appelle Andrea.
-
Oui, monsieur Grey?
-
Y at-il des réunions
urgentes ou quoi que ce soit sur mon emploi du temps qui ne peuvent pas être
évités?
-
Rien qui ne puisse pas
être reporter, monsieur. répond-elle.
-
Bon, alors
reprogrammer. J'ai quelques affaires personnelles à faire.
Ce changement dans mes
plans provoque un haussement de sourcils de Taylor.
-
Allons-nous quelque
part, monsieur? Qu'il demande.
Je retiens mon doigt
pour indiquer une minute. Je ne veux pas mettre mal à l'aise Taylor, parce
qu'il aime faire un ratissage de sécurité avant d'aller quelque part, mais dans
les circonstances je le dois. Je n'ai pas beaucoup de temps.
Je prends mon
BlackBerry pour appeler.
-
Je suis heureuse que
tu ais eu mon message, et que tu m’appelle. répond la voix féminine douce.
-
Salut, maman! Je dis
souriant.
-
J'ai eu une affaire
pressante; Je ne pouvais pas t’appeler tout de suite. J'ai quelques suggestions
pour le mariage, je veux qu'ils soient exactement comme je te le dis! Pas plus,
pas moins!
-
Je suis intrigué et
très heureux que tu participe. Lorsqu’Anastasia est venue seul hier, je ne sais
pas si ... mais je dois interrompre.
-
Bien sûr que je veux
participer mère. Je vais épouser la fille de mes rêves après tout! Mais je fais
confiance à son goût, elle peut décider seul un grand nombre de chose sur la
planification. Je veux que ce mariage soit parfait pour elle, reflète ses
rêves; mais je veux améliorer ces rêves avec ma contribution, non pas s'en éloigner ou les pervertir. C'est
après tout ce que les filles rêvent, depuis qu’elles sont petites. Étant donné
que sa mère n'est pas là, je suis si content que toi et Mia l'aident à combler
le vide. Anastasia n'a rien dit, mais je suis sûr qu'elle souffre de l'absence
de sa mère pour l'aider.
-
Oh, mon chérie! Nous
aimons Ana, donc Mia et moi sommes extrêmement heureux de planifier le mariage.
Tu sais Mia a étudié la cuisine française, elle a quelques idées pas mal, je
pense qu'elles aident Ana à prendre des décisions. Elles sont du même âge de
toute façon, leurs goûts sont si semblables! Ils sont comme des sœurs, mon
chérie! Cela me rend heureux de faire partie de ce mariage! Merci de m'avoir
permis de le faire, bébé. dit-elle d'une voix douce.
-
Ça nous fait plaisir
maman. je lui réponds.
-
J'ai une liste
d'éléments à réaliser. Dont je ne veux pas que tu partages avec Ana en aucune
circonstance. Je veux qu'elle soit surprise. Si tu dois le dire à Mia, indique
lui de se taire. Mais je préférerais que tu ne le dises à personne, sauf au
planificateur du mariage avec lequel tu travailles. A-t-elle signé le NDA?
-
Oui chérie. ma mère
soupire.
-
Le planificateur du
mariage et son personnel l'ont tous fait. Bien que Mia et moi faisons tout le
travail, elle nous aider à coordonner. J'ai besoin de quelqu'un qui peut
prendre tous en charge le jour du mariage quand je profite du plus beau jour de
la vie de mon fils. dit-elle en presque en s'étouffent d’émotion.
-
Je te remercie pour
tout le travail que tu fais pour nous, maman! Je dis et ajouter : A propos
de la musique, Je veux seulement ce que j'ai demandé à être jouer, et tu peux
demander une liste de musique à Anastasia, mais ils ne peuvent pas jouer ce
qu'ils considèrent bon. Je juste ma liste, ainsi que la liste donner par Ana.
Il y a deux chanteurs que je veux entendre chanter à mon mariage en dehors du
groupe. il faudrait contacter immédiatement leurs agents. Fait-moi savoir si tu
préfères que mon personnel s’en occupe.
-
Christian! Elle me
reproche. Je connais un certain nombre de musiciens moi-même dans mon œuvre de
charité. Si tu veux que les gens soit surpris, moins il y a de gens informer
mieux s’est. Alors laissez-moi faire. Je meurs d'envie de savoir! Qui sont-ils?
Je souris largement en
lui disant les deux noms que j'ai en tête, même Taylor entend son cri de joie
qui le fait sourire largement! Une autre surprise.
-
Cependant ce n'est pas
tout. Je veux faire quelque chose d'autre. ça a à voir avec ... Je dis et
expliquer mon plan.
-
Christian, tu le fait
que pour elle?
La voix de ma mère est complètement sous le
choc, respectueux, et surprise en même temps, comme si elle vient de me
rencontrer. Tu n'as aucune idée de ce que je ferais pour elle, je pense en
moi-même. Aucune idée, du tout! Même Taylor à l'air surpris il me regarde le
plus souvent, comme s’il souhaite me botter le cul à cause de ce que je dis ou
ne dis pas à Anastasia. Si je ne savais pas qu'il était amoureux de Gail, je
lui botterais le cul et le mettrais dehors, mais je sais qu’il est avunculaire
en ce qui concerne Anastasia.
-
Que se passe-t-il. Je
ne suis pas à un sou près; ou un dollars prés, maman. Oh, soit dit en passant,
j'ai une autre demande en ce qui concerne la musique ... Je dis et expliquer ce
que je veux.
-
Sensationnel! C'est
hors des conventions Christian. Toutefois, curieusement c'est extrêmement
romantique! J'aime l'idée. Je n'ai jamais entendu quelqu'un le faire!
-
Rien entre Anastasia
et moi ne rentre dans les conventions, maman. Mais je le veux exactement comme
ça. je dis à la mention de son nom ma femme me manque.
-
Oui, je pense que oui.
dit-elle je sens son sourire de l'autre côté du téléphone.
-
En passant, je la veux
dans une robe rouge. j'ajoute.
-
Ana?
-
Non, maman. je soupire
d'exaspération.
-
Oh, je peux lui
demander? Demande-t-elle.
-
Long, rouge, robe de
satin. je répète.
-
D'accord ... Est-ce
que je peux savoir ce que cela signifie? Ça ne fait rien ... Je vais m'assurer
que ce sera fait.
-
Merci, maman. Dis-je
sans répondre à sa question.
Bien sûr, cela
signifie quelque chose. Cela signifie beaucoup de choses.
-
Je vais t'envoyer un
courriel avec la liste sous peu. Fait-moi savoir si tu as besoin d’aide. J'ai
déjà un compte de mariage mis en place, et Andrea te contactera avec les
détails de celui-ci.
-
Christian!
Proteste-elle.
-
Mère, ne commence pas!
Je vais payer pour tout, parce que tu fais déjà tant pour la planification ce
que j'apprécie complètement. Et tu nous laisses faire le mariage à la maison.
Utilise l'argent que j'ai alloué. S'il te plaît.
-
Très bien, toi et ton
père, vous êtes-vous réconcilié maintenant?
-
Pas tout à fait, mais
je suis prêt à remédier à la situation aujourd'hui.
-
Vraiment, comment?
-
Laissez-moi faire. je
dis en souriant.
-
Christian, il peut
être difficile pour toi de comprendre en ce moment, ça peut prendre un certain
temps à comprendre, en fait, mais rappelle-toi peu importe comment il le fait,
ton père t'aime, et il fait ce qu'il fait par amour. Il est encore sous le choc
de l'incident avec Elena. Tu défends Anastasia, mais accorde lui le bénéfice du
doute.
Je soupire.
-
Je ferai ce que je
peux, maman. Anastasia est hors limites.
-
Il le sait que
maintenant Il ne doit plus en reparler.
-
Bien. Je t'aime maman.
Je dis les surprenant tous deux, ma mère et Taylor.
-
Je t'aime aussi, mon
chérie. nous raccrochons.
-
Taylor, nous devons
aller faire du shopping.
-
Shopping monsieur?
-
Oui, pour une bague de
mariage.
-
Avec plaisir monsieur.
-
Nous allons utiliser
le même bijoutier. J'aime leur travail sur la bague de fiançailles.
-
Si vous me donnez
quelques minutes, monsieur, je vais les appeler et leur faire quitter le
magasin. Nous ne voulons pas de regard indiscret autour.
Je hoche la tête.
Alors que Taylor part pour faire son appel téléphonique, j'envoie rapidement à
ma mère un e-mail avec mes demandes pour le mariage. Mais il y a est déjà un
message de sa part.
De: Grâce T. Grey
Sujet: Invitations
Date: 21 Juin, 2011
11:04
Pour: Christian Grey,
Anastasia Steele
Salut Christian et Ana,
J'ai
complètement oublié de demander à l'un de vous. Nous devons savoir pour les
invitations du mariage, j'ai besoin de vos listes d'invités, et compte tenu de
la palette de couleurs que vous avez demandés, j'ai pris quelques échantillons
pour vos invitations. S'il vous plaît faite-moi savoir lesquelles vous
préférez, et me les retourne dès que possible, afin qu'elles puissent être
commandé et envoyé.
Je vous aime tous les
deux!
Maman
Pièce jointe:
Invitation1.jpg, Invitation2.jpg, Invitation3.jpg
De: Christian
Grey
Sujet: Invitations
Date: 21 Juin, 2011
11:08
Pour: grâce T. Grey
Salut maman,
Anastasia
et moi regarderons les invitations ce soir, je t’envoie une réponse dès que
possible. Merci pour tout ce que tu fais pour nous, maman. Ci-joint la liste
des personnes à inviter pour moi, je suis sûr qu’Anastasia te donnera sa liste.
L'autre liste est ce que j'ai déjà mentionné au téléphone. Assure-toi de
supprimez toutes les pièces jointes du message si tu réponds à la fois pour moi
et Anastasia.
Je t'aimer maman.
Christian Grey
PDG, Grey Entreprises
Inc.
Invite.doc, mariage
demande.doc
Taylor est de Retour
dans mon bureau et attend que je finisse mon message.
-
Tous est prés
monsieur. Nous pouvons y aller. Ils vont nous attendre. dit-il, je hoche la
tête en réponse.
Quand nous arrivons
dans l'ascenseur, je me tourne vers Taylor et demande:
-
Taylor, je vais vous
donner un calendrier pour le jet à planifiée pour ma lune de miel, avec les
destinations. Coordonner avec l'équipage les itinéraires prévus et faire les
passeports pour ceux qui viennent avec nous, y compris Anastasia. Voyez avec
Sawyer pour faire son passeport faite le demain et aussi faire accélérer la
chose. Ces gens prennent beaucoup de temps pour les envoyés par la poste. En
outre, coordonner avec Welch pour organiser la sécurité à tous les points de
destination.
-
Oui, monsieur.
Avez-vous déterminé les destinations?
-
C’est fait, je vous
l’enverrais par courriel ce soir, et au Centre de Contrôle de Welch. Vous
aurais tous les deux besoin des coordonnés, j'ai aussi des préférences
particulières quant aux endroits que je veux que nous séjournions.
-
Je vais m'assurer que
vos spécifications soient réalisées, monsieur.
-
Vous voyagez avec
nous. Sawyer va rester derrière pour surveiller Escala et Gail, à moins qu'elle
souhaite rester chez sa sœur. j'ajoute après avoir vu le visage de Taylor
tourner à l'aigre, et sa réponse est rapide.
-
Je préférerais qu’elle
reste chez sa sœur en mon absence, monsieur. Je suis certain que Sawyer peut
tenir le fort tous seul. dit-il
J’ai envie de rire de sa réponse, mais je ne
le fait pas, sachant le genre d'hommes que nous sommes: possessif. Ça me donne
aussi une autre raison de faire confiance à Taylor avec Anastasia, parce que sa
réponse m'a juste confirmé qu'il est complètement amoureux de Gail, et cela
signifie que son affection pour ma femme n'est qu'avunculaire, j'aimerais que
ça reste comme ça.
-
Nous ne serons pas en
ville, donc, vous pouvez vous arranger avec Gail. Quoi que vous décidiez tous
les deux se sera bien. Elle ne perdra pas son temps de vacances. Ça lui donnera
une pause et elle va voir sa famille.
Taylor hoche la tête,
mais son regard dit qu’il n'aime pas beaucoup plus que Gail aille chez sa sœur.
Taylor est un bon gars, mais sa ligne de travail en matière de sécurité de haut
niveau, le fait qu'il soit divorcé avec un enfant ne le faire pas très
attrayant pour la famille de Gail. Tout ce qu'ils ont à faire est d'apprendre à
connaître l'homme derrière la façade. Pendant que je suis perdu dans mes
pensées les portes de l'ascenseur s'ouvrent, nous sommes dans le garage. Mon
BlackBerry bourdonne avec un e-mail entrant. Je jeté un coup d'œil et le nom de
l'expéditeur apporte une lueur dans mes yeux. La voix de Taylor me ramène à mes
sens.
-
Monsieur? Il ouvrit la
porte et me laisser entrer dans le SUV. Après que je m'assois dans le siège,
j'ouvre l'e-mail.
De: Anastasia
Steele
Objet: la hausse des
températures
Date: 21 Juin, 2011
11:44
Pour: Christian Grey
Monsieur Grey,
J'espère
que tu es au courant de la situation dans laquelle tu m'as mise ce matin. Je
n’ai pas pu pas me concentrer tout au long de la réunion des rédacteurs de ce
matin. Tout ce que je pouvais faire, c'était des signes de tête. Ils ont du se
répéter assez souvent pour obtenir mon point de vue. Je ne veux pas avoir l'air
stupide toute la journée, M. Grey. Es-tu sûr que l'auto-soulagement n'est pas
une option, monsieur?
F&IdS
Ana
xx
De: Christian
Grey
Sujet: Absolument pas!
Date: 21 Juin, 2011
11:49
Pour: Anastasia Steele
Mlle Steele,
Je
suis dehors et dans les environs déjà. Si tu le désire, je peux faire un arrêt
à ton travail et t'offrir le soulagement bien nécessaire. Sinon, tu devras
attendre. Peut-être que je peux te prendre plus tôt. NE PAS tenter de te
soulager. Je le saurai.
Christian Grey
PDG, fournisseur de Soulagement, Grey Entreprises Inc.
Sa réponse est rapide.
De: Anastasia
Steele
Sujet: aucune ...
Date: 21 Juin, 2011
11:44
Pour: Christian Grey
... visites extra
conjugales nécessaires M. Grey. Pas chez SIP! Cependant, je vais vivre des
moments vraiment difficile d’attendre jusqu'à ce soir.
Ana
xx
-
Taylor, petit détour!
-
Monsieur?
-
Il semble que je suis
affamé, et j'ai besoin de prendre un déjeuner tôt. Nous allons chercher Mlle
Steele au travail. Informer le bijoutier.
-
Oui, monsieur. dit-il,
appelle le bijoutier.
Je prends mon
BlackBerry et appelle Andrea.
-
J'ai besoin que vous
m’effectuez une réservation rapide pour le déjeuner ... Salon privé. je
commande.
Au moment où Taylor
arrive en face de SIP, le bijoutier est reporté, la réservation du déjeuner est
faite.
-
Attendez-moi, je vais
chercher Mlle Steele.
Je rencontre Sawyer à
la porte.
-
Tout va bien,
monsieur?
-
Oui, très bien. Je
vais emmener Mlle Steele pour le déjeuner.
Il m'accompagne, quand
on arrive à la porte d'Anastasia, il se tourne discrètement de dos et attend.
Anastasia est complètement surprise de me voir.
-
Quoi? Comment? Que
fais-tu ici, Christian? Elle demande perplexe.
-
Pourquoi Mlle Steele,
je suis venu pour vous fournir le soulagement très nécessaire. je murmure sa respiration
s'accélérer.
-
Christian, je t’ai dit
pas ici ... dit-elle les yeux écarquillés.
-
Eh bien, mademoiselle
Steele, tu peux choisir. Je peux te baiser dans l'une des deux options. Ici,
dans ton bureau, ou, j'ai fait une réservation à déjeuner avec un salon privé,
on peut y aller. dis-je d'une voix basse lascive.
Oh.
Dit-elle sa main droite serré contre sa poitrine tandis que l'autre bras ce
tient sur sa taille comme pour pousser ses désirs vers le bas. Peut-être que
j'ai besoin de les tirer vers le haut. Je fais un pas en avant.
-
Tu n'as pas l'air
tellement bien, Mlle Steele. Est-ce que ça va? Je demande en diminuent la
distance entre nous. Vous avez l'air enflammé. je murmure en me penchant
pendant que je caresse sa joue avec le côté de mon index.
Son souffle est
saccader, elle se penche sur ma caresses. Le seul lien que nous avons est à
travers mon doigt et sa joue. Elle tend la main vers moi, mais je lui fais un
mouvement d'arrêt.
-
Non, non, mademoiselle
Steele. Ici, ou à déjeuner? Ton choix.
-
Je n'ai pas demandé à
mon patron si je pouvais aller déjeuner.
-
Le patron du patron de
ton patron, moi. Tu peux aller déjeuner avec moi. dis-je avec conviction. Elle
me regarde ses yeux se rétrécie.
-
Tu n'es pas juste,
Christian!
-
Qu'est-ce qui n'est
pas juste bébé? Tu avais besoin de secours. Dieu sait que j'ai besoin de
soulagement. De plus j'ai besoin de toi. Maintenant!
Je peux voir le désir
monter en elle. Sans rompre son regard, elle prend son téléphone et compose le
numéro de son patron. Lorsqu’Anastasia confirme sa longue pause déjeunée, je
lui prends sa main fermement dans la mienne et l’emmène au SUV. Sawyer reste
derrière à la SIP.
-
M. Grey, le Maître D
nous attendra à l'entrée arrière de sorte que vous pouvez éviter la foule. dit
Taylor.
-
Bien.
Le maître D nous
emmène à notre salle à manger privée. Elle est petite et confortable. J'ai déjà
commandé nos plats et l'ordre des vins avant notre arrivée ce qui devrait nous
faire gagner du temps.
-
Voulez-vous votre
nourriture maintenant ou voulez-vous profiter de votre vin monsieur?
-
Servez-nous dans
environ 30 minutes la nourriture. Je veux l'apéritif en premier lieu.
Comme il sort, je vais
à la porte, et tire Taylor côté.
-
Après qu'ils apportent
les apéritifs, personne ne rentre par cette porte pendant au moins 30 minutes.
Donnez-moi un buzz avant.
-
Oui, monsieur.
Répond-il fermement.
J’entre de nouveau
dans la salle à manger.
-
Qu'est-ce que c'était
que ça? Demande Anastasia.
-
Rien d’important,
bébé.
Je prends ma place
près d’Anastasia, mon regard fixé sur elle, s’assombrit de désir. Mon pouce
effleure ma lèvre inférieure.
-
Christian.
Elle prononce mon nom
avec autant de sensualité et de désir, ma bite passe en mode plein salut.
-
Anastasia, enlevé ta
culotte ... Je commande d'une voix rauque.
-
Ici? Elle demande
interrogative, regardant la porte.
-
Ne t'inquiète pas pour
la porte, elle est gardé.
-
Taylor? Elle demande
rougissante.
-
Ne t’occupe pas de
Taylor, bébé.
Je dis mon regard fixé sur elle, sans la
toucher. Je veux toute son attention et sa concentration sur moi. Elle a l'air
gênée.
-
Christian, ton garde
du corps est là, et les gens vont apporter de la nourriture.
-
Je m'en fous, Ana. je
murmure. Elle boit son vin.
-
En ce moment, tout ce
que je veux faire c'est de t’enlever ton chemisier, jupe, ta culotte, ton
soutien-gorge. Je dis lentement en lui donnant l'inventaire. Son souffle
tremblote, elle déglutie. Mon BlackBerry bourdonne.
Il s'agit d'un message
texte de Taylor.
Sans un mot, je marche
vers la porte, laisse le garçon apporter le lit d'huîtres avec les olives et
les noix. Quand il sort, Taylor hoche la tête, je ferme la porte derrière. J'ai
trente minutes.
Je regarde Anastasia
avec mon regard assombris, elle se lève, tire lentement sa jupe jusqu'à la
ligne en haut montrent ses bas de soie clipper sur un porte-jarretelles; J'avale
durement. Ses doigts atteignent le sommet de sa culotte en dentelle noire. Elle
fait un spectacle en accrochent ses pouces sous sa culotte, les dirige autour
de sa taille. Puis, lentement et tranquillement elle les glisse vers le bas.
Elle tombe en tas à ses pieds. Comme elle fait un mouvement pour sortir ses
pieds, je dis:
-
Arrêtez.
Je m'avance en lui
prenant la main pour la sortir de sa culotte. Je descends mon regard verrouillé
sur elle mes mains sont sur ses hanches lentement frôle le long de ses jambes
la faisant frissonner. Je parviens enfin au sol et ramasse sa culotte, la met
dans ma poche.
Quand je me relève,
mes mains l’effleurent à travers la soie de ces jambes gainées, atteignant
enfin le sommet de ses cuisses où je saisis son sexe dans ma paume lui faisant
les écartés.
-
Défait les boutons de
ta chemise tous sauf les deux dernier, bébé. je murmure.
-
Oui.
Elle respire d’une
voix rauque. Comme ma paume s'active en faisant des cercles autour de son
clitoris, je trempe un doigt dans son sexe déjà humide et gourmand. Elle se
penche en arrière sur la table se tenant avec ces deux mains. Mon autre main
remonte à son soutien-gorge de dentelle et caresse ses seins. Je tire sur le bonnet du soutien-gorge un à la fois lui
faisant remonter ces seins en avant, en les libérant dans ma main. Entre le
pouce et l'index je roule son mamelon, capture l'autre mamelon entre mes dents,
tirant légèrement tandis que ma langue roule autour de lui, léchant et
taquinent.
Elle se cambre les
poussant dans mes mains et la bouche. Mes lèvres se déplacent jusqu'au son cou
le mordillant et suçant doucement, mes mains continuent leur caresse. Mes dents
passent sur sa mâchoire et le coin de sa bouche mais jamais l'embrasse. Je
m'éloigne d'elle, la fais s'asseoir fermement sur la table, elle se tient sur
les côtés avec ses mains et les pieds solidement placé sur le sol.
-
Bébé, quand je
m'agenouille sur le sol devant ton magnifique sexe, je veux ces belles jambes
enroulées autour de mon cou. je murmure à son oreille.
Je m'agenouille au sol je suis à la hauteur
des yeux de son sexe puis mes lèvres se confondent avec les lèvres de son sexe,
ses jambes habillées de bas de soie s'enrouler autour de mon cou. Ma langue
taquine et suce son clitoris faisant trembler ses jambes autour de mes épaules.
Je plonge à l'intérieur de son sexe et tourne ma langue sans relâche à
l’intérieur d’elle. Je trouve son point sensible sur la paroi avant du vagin,
et lui fournir le soulagement dont elle avait soif toute la matinée, ce faisant
elle crie une version déformée de mon prénom complètement perdu dans le
plaisir. Comme ses jambes tremblent avec les répliques de son orgasme, elle
peut à peine tenir debout. Je la tiens et la relève lentement.
-
Bébé, je vais t'attacher les mains devant
aujourd'hui, Je veux que tu les mettes autour de mon cou. Ok? Je demande.
Elle ne peut que
hocher la tête. Je prends sa culotte dans ma poche puis l’attache rapidement à
ses mains devant elle, elle a l'air amusé de mon choix improvisé d’entrave. Je
décompresser mon pantalon et mon érection impatient jaillit.
-
Maintenant, je veux
m’enfouir en toi et me perdre. je murmure.
Tirant sa jupe jusqu'à
sa taille, je sépare ses jambes, la pénétrer doucement cm par cm.
(A Touch Too Much - AC/DC)
-
Attends, une seconde.
je dis à bout de souffle. Laissez-moi te savourer.
Le sentiment de
plénitude est grisant. Nous sommes aussi proches que deux personnes peuvent
l'être. Ses bras ligoté enroulé autour de mon cou, ma bite est enterré
profondément en elle, ses seins se frottent sur ma poitrine. Elle saisit à
nouveau sa lèvre inférieure de entre ses dents, je me penche automatiquement et
suce sa lèvre, l'embrasse sans relâche. La tension de la nuit dernière, de ce
matin ses accumulé, je recherche maintenant une libération. Ma langue envahit
sa bouche, sa langue essai d’aller dans ma bouche, s'affrontent, en cherchant
une autre variante. Mes mains se déplacent lentement sur son derrière nu, je
lui cajoler en me déplaçant. Ma bouche à le goût de son sexe, d'épices douces
de sa bouche, c'est un mélange enivrant. Mes dents commencent à mordillé ses
lèvres, elle halète. Ma bouche descend pour lécher son cou, suivi par des
baisers entre ses seins, elle les pousses dans ma bouche que je prends
volontiers avec un sourire, et suce avec force, avec gourmandise, l'amènent à
la limite entre la douleur et le plaisir. Elle gémit en réponse et ses
mouvements accélèrent. Quand elle pousse ses hanches vers le bas je pousse jusqu'à
trouver l'endroit le plus profond en elle. Je trouve mon endroit préféré en
elle et arrête ses mouvements avec mes mains, puis je fais simplement tournoyer
mes hanches pour créer une friction extrême ai lui donner un double orgasme.
Elle bouge ses hanches en sens inverse de la mienne offrant le maximum de
plaisir pour nous deux. Mes lèvres se déplacent sur l'autre mamelon, je sens le
resserrement de son sexe, la contraction présage de son orgasme. Je m'arrête de
tournoyer la fais monter et descendre, je monte à ses lèvres en m’assurant
qu'elle est baisée aux deux extrémités. Je guide son cul avec une main, je
commence à frotter son clitoris avec l'autre, elle gémit dans ma bouche, elle
bâti des rouleaux de l'orgasme en ondes longues, serrant son sexe autour de ma
queue en essayant de me drainer tout ce que j'ai, j’atteins mon pic, la poussée plus loin et
plus fort, en sucent et baisent, faire l'amour, l'union de nos âmes avec notre
baiser et nous jouissons tous les deux très fort.
La tête d'Anastasia tombe
sur mon épaule avec une fine pellicule de sueur couvrant son joli visage,
empourpré. Je l'embrasse à nouveau doucement, et défais sa culotte. Je
l’allonge sur la table, nettoie son sexe puis lui remettre sa culotte, enfin la
redresse sur ces pieds. Après m'être nettoyé, je me retourne et demande à ma
femme fatiguée.
faim?
À laquelle elle répond,
-
affamé. A moitié
hébété.
Douce Musique à mes
oreilles. Mon BlackBerry bourdonne juste à temps.
-
M. Grey! Quel plaisir
de vous avoir dans notre bijouterie monsieur. Comment pouvons-nous vous aider?
Demande l'ancien bijoutier.
Il n'est pas seulement
le meilleur bijoutier de Seattle, mais aussi l'une des plus anciennes
entreprises de bijoux dans le monde. Que puis-je dire? J'ai fait mes devoirs.
-
Ma fiancée est très
heureuse avec l'anneau que vous avez créé. Je cherche à faire son jumeau. Je ne
veux pas dire identiques. Je veux que vous me créer un autre anneau qui ne fera
pas perdre sa simplicité ou sa grandeur à la première bague, juste pour
correspondre d'une manière différente.
-
Je suppose que vous
voulez une bague assorti en platine.
-
Oui, en effet.
-
Je voudrais voir vos
pierres. Ce qui m'intéresse n'est pas le plus gros, ou le plus voyant. Je la
veux unique en son genre. Je dis fermement mon regard fixé sur son visage ridé.
-
Vous êtes monsieur non
conventionnelle. Je vais vous montrer nos pierres brutes et peut-être quelques
autres ... dit-il d'une voix à peine audible.
Il va à l’arrière du
magasin. Trois gardes de sécurité attendent patiemment autour.
Quand le vieux
bijoutier sort, il dispose un plateau de pierres placées dans certains casiers
étiquetés. Ce sont de grosses pierres, lumineux, avec des reflets qui attire
l'attention, mais aucun d'entre eux me parle.
-
Curieusement, M.
Caria, je ne sens pas de connexion pour l'une de ces pierres. En avez-vous
d’autre? Ses yeux brillent comme si c'était la réponse qu'il cherchait.
-
Oui, monsieur. Quatre
autres.
Il ouvre une boîte de
bois sans ornement très vieilles. Deux des pierres attire immédiatement mon
attention. L’une à la forme d'un bateau pointu, dont le bijoutier appelle
marquise, une autre en forme de poire. Les deux luminescent, même sans
qu’aucune lumière ne brille sur eux, ils sont incolores. J'ai du mal à me
décider. Quelque chose à leur sujet me saisit. La marquise en forme de bateau,
pourrait rendre beau, lui ferait des doigts encore plus mince et long, et cela
me rappelle Le Grace. Cependant il y a quelque chose à propos de l'autre. Ça
m'appelle à un niveau plus profond; Je sens une connexion instantanée avec cet
objet inanimé. Le joaillier remarque mon indécision.
-
Peut-être. Des
informations sur ces diamants seraient bénéfiques. pour monsieur. Il tient le
diamant entre le pouce et l'index ganté. Celui-ci est le plus grand des deux.
C'est comme l'autre que vous avez acheté, sauf bien sûr la marquise est de 15
carats. Il a la même luminosité, ils sont tous les deux incolore. Eh bien,
incolore pour l'œil non averti. Vous pouvez voir un léger assombrissement dans
celui-ci, mais vous devez être comme moi à les regarder depuis plus de 45 ans,
monsieur. En comparant la marquise avec le diamant en forme poire au niveau du
prix, la marquise coûte un peu plus, mais pas de beaucoup.
-
Pourquoi donc? Vous
avez dit que la marquise est plus grande.
-
La différence de prix
est d'environ $ 60,000 monsieur ce qui est négligeable.
Taylor fait presque un bruit d'étouffement,
mais il le cache discrètement dans une toux.
-
Bien qu'ils soient à
la fois unique, le diamant en forme de poire est l'un des rares dans le monde.
En fait, c'est le jumeau du diamant Spoonmaker. Ou devrais-je dire des
histoires jumelles.
Je me dis que le vieil
homme a besoin d'une chirurgie de la cataracte; il y a d'énormes différences
entre les deux diamants du côté de leurs formes.
-
Je sais que le diamant
Spoonmaker est jaune. Celui-ci est incolore. Je pense que l'autre est d'environ
87 carats, celui-ci fait, quoi, 10 ou 12?
-
C'est 12 carats
monsieur. Cependant je l'ai dit, des histoires jumelles, monsieur. La couleur
ou la taille ne veut pas dire jumeaux. Ils peuvent être égales en beauté, et ne
pas être de la même couleur ou taille. N'êtes-vous pas d’accord M. Grey? Mais
ce qui est jumeau sur les deux est leur histoire. Elles sont presque
identiques.
-
Je vous écoute. je dis
et m’asseyent en croisant les bras.
-
La joaillerie est une
entreprise familiale pour nous pour plus de générations que je peux compter,
monsieur, c'est dans notre sang. Lorsque la ville de Constantinople a été
conquise par les Turcs en 1453, un de mes ancêtres possédaient la plus grande
bijouterie à l'époque ayant servi l'empereur Constantin XI. Après tout, la
poussière est retombée après l'échange de puissance, les gens s’en aller faire
leur vie ailleurs, tous sauf certaines personnes qui ont pris l'avis du
nouveaux jeune sultan qui était âgés seulement de 21 ans. Des scientifiques,
des poètes, des écrivains, des historiens, des architectes, des artistes et des
bijoutiers qui pourraient créer des chefs-d'œuvre rares, comme mes ancêtres ont
écouter ce jeune Sultan brillant; mon grand-père de plusieurs générations, a
était l’un de ceux qui a pris son avis.
Ce petit morceau qui a
été marquée par ce grand-père à l'époque du Sultan, perdu de vue mais son
histoire est restée et cette petite fille a voyagé dans le monde entier,
jusqu'à ce qu'il se montré en 1822 à un autre de mes ancêtres, et fait son
chemin vers le nouveau monde. Eh bien, son histoire initiale est qu’un pauvre
pêcheur dans Constantinople à proximité d'un quartier appelé Yenikapı. L'homme
n'avait rien, complètement bredouille, pas d'argent ou des biens pour acheter
quoi que ce soit, même pas la moitié d'un morceau de pain. Il fait le tour des
décombres, des ordures dans l'espoir de trouver quelque chose d'intéressant à
manger. Puis il remarque une pierre brillante parmi les tas d'ordures, déchets,
poubelle il avait fouillé dedans pour trouver quelque chose de mangeable. Ne
sachant pas ce que c'est, il empoche la pierre brillante.
Donc, après cette
promené avec cette jolie pierre dans sa poche, il se souvient de ce qu'il a et
s'arrête dans le premier bijoutier qu'il rencontre. Bien sûr, le bijoutier
reconnaît la valeur de celle-ci d’un seul coup d'œil léger. Cependant ne
voulant pas avoir un autre enchérisseur dans l'achat de ce bijou rare, il fait
semble de ne pas être intéressée, et dit au pauvre pêcheur : « C'est
un morceau de verre coloré mon brave homme. Vous pouvez l'emporter si vous le
souhaitez, ou je peux vous donner trois cuillères en bois pour tout le mal que
vous avez pris pour l'amener ici. »
Alors, qu'est-ce qu'un
pauvre pêcheur connaît de la valeur d'une perle rare? Ce n'est pas différent
d'un bout de verre pour lui. Il prend les cuillères et laisse le diamant le
vendant à la bijouterie. Vous voyez monsieur, c'est comme ça qu’il a obtenu son
nom comme le diamant Spoonmaker. Quelqu'un qui ne connaît pas sa valeur la
vendu pour un prix bien ... loin ... loin ... en dessous de sa valeur.
Celui-ci...
Il tient pour me le montrer sous un
angle différent. A parcouru un chemin
semblable au moment où elle nous est parvenue il y a plusieurs générations, il
cherche à trouver une seule personne celle qui sait sa valeur. C'est comme si
cette pierre a un cœur elle-même. Je ne me suis pas séparé d’elle. je suis en
train de vous la montrer à vous maintenant parce que, vous, monsieur, avec tout
le soin et l'attention que vous avez montré dans votre achat précédent mérite
de la voir, et vous êtes le premier, jamais je ne l’ai présenté pour la vendre.
Nous, en tant qu'entreprise avons eu des moments difficiles dans le passé. Mais
aucun de mes ancêtres ne ces séparé
d’elle car il connaisse sa valeur, et seulement un propriétaire digne devait
l’avoir. Aucunes personne dignes n’est venus avant vous. Ce diamant. dit-il en
le tenant. Donne l'apparence d'une
pleine lune éclairant un ciel lumineux et brillant au milieu des étoiles. Ce
diamant; pensé que je ne voudrais pas m’en séparer, c'est un morceau de pierre
de chance. Tout au long de l'histoire, il a toujours trouvé son digne
propriétaire. Personne ne l'a volé, ou nui à son propriétaire de son vivant. C'est
comme si ce morceau de bijou choisit son propriétaire. Je me retire bientôt, et
je n'ai pas de fils pour faire fonctionner mon entreprise, mais j’ai des neveux
qui ne sont pas de la vieille école comme moi; si aucun d'entre sont pauvres en
argent, ils ont, comme les pauvres pêcheurs incapable de comprendre sa vraie
valeur. Je pense qu'il est temps de lui trouver un propriétaire digne. dit-il
en me regardant avec une lueur d'espoir dans ses yeux.
Pour la première fois
depuis longtemps, je suis sans voix. J'ai vu la passion dans les yeux de cet
homme pour l'amour de son métier, qui est ancrée en lui.
-
Vous pourrez la faire
évaluer monsieur, mais je ne sais pas si vous pouvez trouver un autre bijoutier
plus qualifié que moi pour l'évaluer. Vous voyez monsieur; ma famille a été
dans cette affaire depuis près de six cents années et sur les trois continents.
Je suis l’un des derniers ancienne école dans ma lignée familiale.
Même Taylor écoute
attentivement.
-
Si vous avez une femme
unique en son genre, c'est l'un des joyaux idéal. C'est ce qu'on appelle
"un bouquet de lumière" monsieur.
Je m’entends dire:
-
Je le veux. parce que
l'histoire de celui-ci vaut autant que l'anneau lui-même. Unique en son genre,
comme ma femme.
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