Thursday, May 2, 2013

Livre I en Français - Chapitre XXI - Christian Grey et Anastasia Steele


CŒUR A CŒUR

Chapitre 21
  Traduit par: Elisabeth Mazaltov
Edité parHélène B. et Elisabeth Mazaltov


« Tu veux boire un verre ? »

« Non. » répond-elle. Moi non plus.

« Bien. On va se coucher. » Elle hausse les sourcils en me regardant.

« Tu vas te contenter d’un bon vieux sexe vanille tout bête ? » dit-elle amusée.

Je penche ma tête sur le côté en disant : « Il n’y a rien de vieux ni de bête dans la vanille. Au contraire c’est un parfum très intéressant.

« Depuis quand ? »

« Depuis Samedi dernier. Pourquoi tu espérais quelque chose de plus exotique ? »

« Oh non. J’ai eu ma dose d’exotisme pour aujourd’hui. »

« Tu es sûre ? Ici il y en a pour tous les goûts - au moins 31 parfums. » dis-je en lui souriant lascivement.

« J’avais remarqué. » répond-elle d’un ton glacial. Je secoue la tête à sa remarque.

« Allez Mademoiselle Steele. Vous avez une grosse journée demain. Plus tôt vous serez couchée, plus tôt vous serez baisée et plus tôt vous pourrez dormir. » dis-je comme une évidence.

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« Monsieur Grey vous êtes un romantique. » Sa remarque me fait stopper dans mon élan. Comme j’aimerais mater ta grande gueule bébé !

« Mademoiselle Steele, vous avez une grande gueule. Il va falloir que je la mate. Viens. » Je la conduis dans ma chambre. Je n’ai pas la patience de me retourner pour fermer la porte alors je la claque d’un coup de pied.

« Haut les mains. » Elle lève ses bras en l’air et je retire sa robe d’un seul geste en disant « abracadabra ! » comme le ferai un magicien. Elle glousse et applaudit ce qui fait fondre mon cœur. Je m’incline devant elle. Je pose sa robe sur une chaise.

« C’est quoi ton prochain tour ? » me demande t’elle en plaisantant.

« Oh ma chère Mademoiselle Steele, couchez vous et je vous le montre. »

« Et si pour une fois je me faisais désirer. Qu’en penses-tu ? » dit-elle en jouant les coquettes. Ca pourrait se faire... Je suis à la fois excité et enthousiaste. Mais si elle se fait désirer même pour jouer je sens que je vais passer un sale quart d’heure.

« Les portes sont fermées. Je ne vois pas comment tu pourrais m’échapper bébé. Je pense que l’affaire est dans le sac. »

« Je suis une bonne négociatrice. »

« Moi aussi. » dis-je en la regardant fixement. Mais quelque chose me dit qu’elle ne veut pas baiser. Comment vais-je faire ? »

« Tu ne veux pas baiser ? »

« Non. » Quelque chose se brise en moi en entendant sa réponse.

« Ah. » Je fronce les sourcils.

Elle inspire profondément, ferme et rouvre ses yeux puis me dit: » Je veux que tu me fasses l’amour. » Je suis pétrifié sur place, je la regarde fixement en tentant de digérer l’information. Mon visage se rembrunit je gamberge à toute allure.

« Ana, je … » Je suis incapable de terminer ma phrase. Je passe mes deux mains dans mes cheveux, je suis doublement exaspéré. Ce que je sais faire c’est baiser. Changer mes habitudes est très difficile pour moi sans compter que ça me donne des angoisses. Mais baiser n’est-ce pas une façon de faire l’amour ? Du moins avec Anastasia pour moi ça l‘est. 

« Je pensais que c‘était ça qu‘on faisait. »

« Je veux te toucher. » Involontairement je recule d’un pas. Non ! Je ne peux pas, et pourtant Dieu sait combien je voudrais qu’elle me touche. C’est ma limite à ne pas franchir. Etre touché est affreusement douloureux pour moi, j’ai l’impression que les mains du maquereau me frappent et écrasent ses mégots sur moi. Je n’ai jamais pu surmonter cela, c’est pire que de la torture. Ca me terrifie. Je parviens à me recomposer un visage impassible et à me calmer afin de reprendre le contrôle de la situation.

« Non Mademoiselle Steele, tu as déjà obtenu assez de concessions ce soir. Alors c’est non. »

« Non ? »

« Non. »

« Ecoute tu es fatiguée, je suis fatigué alors on va se coucher c’est tout. » Je dis ça alors que c’est bien la dernière chose que j’ai envie de faire.

« Donc toucher est ta limite à ne pas franchir ? »

« Oui. Mais tu le savais déjà. »

« Dis moi pourquoi. S’il te plaît. »

« Anastasia, laisse tomber. » dis-je exaspéré. Comment pourrais-je lui parler de la profondeur de ma dépravation, lui expliquer à quel point je suis taré depuis mon enfance ?

« C’est important pour moi. » murmure t’elle. Je repasse mes deux mains dans mes cheveux. La colère monte en moi. D’accord on ne va pas baiser ce soir. Je vais dans mon dressing et prends un tee-shirt pour elle que je lui lance. Elle l’attrape gênée.

« Mets ça et va te coucher. » Dis-je d’un ton cinglant. Elle fronce les sourcils, se retourne, enlève son soutien-gorge et enfile rapidement le tee-shirt. Je remarque qu’elle garde sa culotte.

« Puis-je aller dans la salle de bains ? » demande t’elle; Je suis stupéfié. Pourquoi demande-t-elle la permission ?

« Tu demandes l’autorisation maintenant ?

« Euh… non. »

« Anastasia, tu sais où est la salle de bains. Aujourd’hui, à ce stade de notre accord bancal tu n’as pas besoin de ma permission pour l’utiliser. » Dis-je irrité. Je retire ma chemise en la passant par-dessus ma tête tandis qu’elle se précipite dans la salle de bains. J’ôte mon pantalon et mon boxer et j’enfile mon bas de pyjama. Je range mes fringues puis me dirige vers la salle de bains. Je frappe à la porte.

« Entre. » dit-elle la bouche pleine de dentifrice. Je reste dans l’encadrement de la porte, amusé de la voir utiliser ma brosse à dents. Elle croise mon regard dans le miroir. Elle m’observe et semble apprécier ce qu’elle voit. Finalement je lui décroche un sourire et je m’approche d’elle. Sans me quitter des yeux, elle rince ma brosse à dents et me la tend. J’ai les yeux qui pétillent de malice.

« Surtout ne te gêne pas pour utiliser ma brosse à dents. »

« Merci Monsieur. » Elle me décroche un adorable sourire et retourne dans la chambre. Je me lave les dents à toute allure et je la rejoins.

« Ce n’est pas du tout comme ça que je pensais finir la soirée. » dis-je agacé.

« Imagine si je disais que tu ne peux pas me toucher. » dit-elle. Cette pensée m’horrifie. Je grimpe sur le lit et m’assieds en tailleur.

« Anastasia je te l’ai déjà dit. Cinquante nuances de folie. J’ai eu des débuts difficiles dans la vie. Tu n’as pas besoin de connaître toute cette merde. » C’est trop horrible à porter.

« Pourquoi veux-tu savoir ? »

« Parce que je veux mieux te connaître. »

« Tu me connais déjà assez bien. »

« Comment peux-tu dire ça ? » Elle s’agenouille face à moi. Je lève les yeux au ciel en désespoir de cause.

« Tu as levé les yeux au ciel. La dernière fois que je l’ai fait je me suis pris une fessée. »

« J’aimerais bien recommencer. » Ses yeux s’illuminent en entendant mon aveu.

« Raconte moi et je te laisse faire. » Je suis sur le cul.

« Quoi ? »

« Tu m’as bien entendue. » dit-elle catégorique.

« Tu marchandes avec moi ? » Je suis stupéfait.

« Je négocie. »

« Ca ne marche pas comme ça, Anastasia. »

« Bon d’accord. Tu me racontes et ensuite je lèverai les yeux au ciel. » J’éclate de rire devant son obstination. Elle ne cesse de me surprendre. Sa proposition me dégrise.

« Toujours aussi curieuse. » Je suis pensif.

Très bien Mademoiselle Steele. Voyons voir ce qu’on peut faire pour vous satisfaire. Ouais ouais ouais. Je quitte la chambre en lui disant : « Ne bouge pas. »

Je me précipite dans la salle de jeux. Je prends les boules de Geisha que j’ai achetées à son attention. Et, excité comme une puce, je retourne dans la chambre.

« A quelle heure est ton premier rendez vous demain ? »

« A quatorze heures. »

C’est parfait ! Nous avons tout le temps pour jouer. Lentement j’esquisse un sourire cruel.

« Bien. » Dis-je en réalisant que mon expression a changé pour devenir celle de Christian le dominant. Tu veux des informations et moi je veux du cul. Vu sous cet angle … on peut négocier.

« Sors du lit et mets toi là. » du doigt je lui désigne un coin du lit. Elle s’y propulse comme si elle avait le feu aux fesses. Impatiente comme toujours … Je la regarde fixement.

Doucement je lui demande: « Tu me fais confiance ? » Elle acquiesce. Je tends la paume de ma main pour lui montrer les deux boues argentées reliées par un fil noir. « Je viens de les acheter. » Elle me regarde, perplexe.

« Je vais les introduire en toi puis je te donnerai la fessée. Ce n’est pas une punition, c’est pour ton plaisir et le mien. » Je m’interromps pour jauger sa réaction. Elle a les yeux écarquillés de stupéfaction.

« Ensuite on va baiser et si tu es encore éveillée je te ferai part de certaines informations concernant ma jeunesse. Ca te va ? » Elle hoche la tête hors d’haleine. Je souris.

« Gentille fille. Ouvre la bouche. » Elle s’exécute.

Dynamite - Taio Cruz



« Plus grand. » Je mets les boules dans sa bouche.

« Il faut les lubrifier. Suce. » J’ordonne d’une voix douce et apaisante. Elle referme sa bouche. Elle se tortille.

« Ne bouge pas Anastasia. » C’est un avertissement. Je pense que les boules sont maintenant lubrifiées et suffisamment tiédies. Je lui dis d’arrêter. Je retire les boules de sa bouche, rabats la couette et m’assieds sur le bord du lit.

« Viens ici. » Elle se met devant moi.

« Maintenant tourne toi, penche toi en avant et attrape tes chevilles. » Elle cligne des yeux, hésitante. Je me rembrunis.

« N’hésite pas. » Je la gronde gentiment. Je prends les boules et les introduis dans ma bouche pour les lubrifier un peu plus. J’ai envie d’être en elle de toutes les manières possibles. Elle se penche en avant pour attraper ses chevilles. Son tee-shirt remonte sur son dos découvrant son cul magnifique. Je pose ma main sur ses fesses et je les caresse doucement. Délicatement j’écarte sa culotte et lentement je passe mon doigt sur son sexe. Elle est déjà toute mouillée. J’introduis un doigt en elle et décrit un cercle. Elle gémit de plaisir.

Je retiens mon souffle en continuant le mouvement. Je suis stupéfait qu’elle soit toujours prête pour moi. Je retire mon doigt et introduit les boules l’une après l’autre.

Une fois les deux boules en elle, je replace sa culotte et me penche pour embrasser son cul magnifique. Je lui ordonne de se redresser, elle vacille sur ses jambes. Je l’attrape par les hanches pour la maintenir jusqu‘à ce qu’elle retrouve son équilibre.

« Ca va ? »

« Oui. »

« Tourne-toi. » Elle est maintenant face à moi.

« Quel effet ça te fait ? »

« Bizarre. » répond-elle

« Bizarre bon ou bizarre mauvais ? »

« Bizarre bon. » Admet-elle en rougissant.

 « Bien. » Je suis à la fois soulagé et excité.

« Anastasia je voudrais un verre d’eau. Va m’en chercher un s’il te plaît. Quand tu reviendras je t’allongerai en travers de mes genoux. Penses y bébé. »

Elle part chercher l’eau. Les mouvements vont la stimuler à l’intérieur. Ces boules sont originaires de Chine. Elles sont de petite taille. Une fois qu’elles sont introduites dans le vagin, elles provoquent une sensation voluptueuse à chaque mouvement des jambes ou des hanches. Les geishas les utilisaient pour lubrifier leur vagin avant de prendre un client. Elles peuvent provoquer un orgasme fabuleux rien qu’en marchant dans le couloir. Elles sont de la taille des grosses billes des gamins. Il s’agit de subtilité et de spontanéité. Elles sont conçues pour révéler leur présence de façon aléatoire selon certains mouvements du corps, et c’est ça qui provoque l’orgasme. Elles rendent la baise bien plus torride. C’est comme préchauffer le four. Ensuite il n’y a plus qu’à enfourner.

Elle revient avec un verre d’eau à la main. Je l’observe attentivement. Elle me tend le verre, je la remercie, bois une gorgée et pose le verre sur la table de nuit. Je vois qu’elle anticipe la suite, or l’anticipation est annonciatrice d’une baise monumentale.

« Viens près de moi comme tout à l’heure. »

Elle avance vers moi toute excitée.

« Demande moi. » dis-je d’une voix douce. Je veux qu’elle me demande une fessée. J’ai profondément besoin de l‘entendre me le demander. J‘en ai besoin car ça justifiera que je la lui donne. Elle fronce les sourcils, elle ne sait pas ce qu’elle doit demander.

« Demande-moi. » Ma voix est un peu moins douce. Elle me regarde sans comprendre.

« Anastasia, demande-moi parce que je ne me répéterai pas. » Maintenant mon ton est menaçant.

J’attends et je vois passer une lueur de compréhension dans ses yeux. Un « oh » s’échappe de ses lèvres.

« Donnez-moi la fessée s’il vous plaît Monsieur. » Je ferme un instant les yeux pour savourer ses mots.

Je me penche, saisis sa main gauche et la tire vers moi. Elle tombe sur mes genoux et je la cale. Je peux sentir son cœur battre. Elle est allongée sur mes genoux, sa poitrine reposant sur le lit. Je repousse les cheveux de son visage, en les calant derrière son oreille. Puis j’empoigne ses cheveux à la nuque  pour la maintenir en place puis je tire doucement dessus pour que sa tête se renverse en arrière.

Je murmure : « Je veux te voir pendant que je te donne la fessée Anastasia.” Tout en parlant je  frotte doucement son cul.

J’insère ma main entre ses fesses et je la pousse contre son sexe sachant que ce geste va enfoncer les boules en elle… Elle gémit ce qui m’excite encore plus.

« C’est pour le plaisir Anastasia, le mien et le tien. »

Je lève ma main et je l’abats à la jonction de ses cuisses et de son sexe. La claque est retentissante et provoque à la fois de la douleur et du plaisir. La douleur, car le sang  monte en surface tandis que les boules sont propulsées plus loi en elle, stimulant les tissus sensibles et apportant ainsi le plaisir. Une seule claque suscite une myriade de sensations. Elle tourne son visage pour absorber toutes ces sensations. Je caresse ses fesses avec la paume de ma main pour répandre la sensation. Je relève ma main et la claque à nouveau.

J’ai une technique : je frappe de gauche à droite puis vers le bas. Entre chaque claque je la masse, de cette manière elle est stimulée à l’intérieur et à l’extérieur. Ainsi elle en désire d’avantage. Quand j’aurais fini de la fesser elle ne voudra rien d’autre que d’être baisée de façon insensée. Si elle geint c’est de plaisir pas à cause de la douleur. Gauche, droite, bas. Quand je la claque vers le bas, elle gémit car les boules se déplacent en elle, la sensation est délicieuse. Vers le bas, je n’ai pas besoin de claquer fort, le mouvement des boules fait tout le travail de stimulation. La dernière claque vers le bas lui arrache un gémissement guttural.

« Gentille fille. » Je gémis, la respiration haletante, excité. Je lui administre encore deux claques puis j’attrape le cordon qui relie les boules et tire brusquement dessus. La soudaineté de ce retrait provoque une sensation proche de l’orgasme qui lui donne encore plus furieusement envie d’être baisée. Je m’allonge à côté d’elle sur le lit. Je prends un préservatif dont je déchire l’emballage puis je le déroule sur mon sexe. J’attrape ses mains que je relève au dessus de sa tête puis je la pénètre lentement.

Tandis que je vais et viens langoureusement en elle, je murmure : « Bébé, » j’ai envie de la sentir, de la savourer et de me perdre en elle. Alors que sa jouissance approche, elle ressert ses jambes autour de moi. Nous explosons tous deux en un orgasme violent nous laissant hors d‘haleine.

Ce que je ressens pour elle est incroyable. Elle me transporte dans la quatrième dimension je suis plus que satisfait, je suis repu.

Je répète son nom encore et encore « Ana ! » Puis je me tais, haletant, toujours allongé sur elle, mes mains encore entrelacées dans les siennes au dessus de sa tête.

Mon cœur est parcouru d’une sensation étrange. Je me redresse pour la regarder avec admiration. 

Accidentally In Love by Counting Crows


Je l’embrasse en murmurant : « C’était bon. » Je me lève, et la recouvre avec la couette puis je me dirige vers la salle de bains; Je balance la capote à la poubelle puis je me nettoie. Je retourne dans la chambre. Après m’être assis au bord du lit je lui ordonne de se retourner ce qu’elle fait immédiatement. Son cul est d’un rose ardent.

« Ton cul est d’une superbe couleur. » dis-je avec satisfaction. J’entreprends de masser ses fesses avec une lotion apaisante que j’ai prise dans la salle de bains.

« Crache ta Valda Grey. » dit-elle en baillant.

« Mademoiselle Steele vous avez le don de gâcher l’ambiance. »

« On a conclu un marché. »

« Comment te sens-tu ? » dis-je en essayant de changer de sujet.

« Flouée. » Il n’y a aucun moyen d’échapper à son interrogatoire. Je hoche la tête, me glisse à côté d’elle puis je prends dans mes bras cette femme magnifique qui a une très grande gueule. Nous sommes à nouveau lovés en cuillère l’un contre l’autre et j’adore être ainsi tout contre elle. Je l’embrasse tendrement derrière l’oreille.

« La femme qui m’a mis au monde était une putain accro au crack, Anastasia. Maintenant dors. » Je ne veux pas en dévoiler d’avantage.

« Était ? »

« Elle est morte. »

« Il y a longtemps ? » Je soupire.

« Elle est morte quand j’avais quatre ans. Je ne me souviens pas bien d‘elle. Carrick m’a donné des détails. Je ne me rappelle que certaines choses. S’il te plait dors maintenant. »

« Bonne nuit Christian. »

« Bonne nuit Ana. »

Puis nous sombrons tous les deux dans un profond sommeil.

Truly, Deeply, Madly by Savage Garden









5 comments:

  1. ahhhh merci encore pour ce chapitre!! J'ai compté les jours toutes la semaine et bien contente d'avoir le chapitre pour le lire durant ma pause cet après-midi!! Un gros gros merci pour votre travail

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  2. Merci bcp pour ces beau moments de lecture
    A quand la suite, je suis impatiente :-))

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  3. Elisabeth ze translatorMay 15, 2013 at 10:01 PM

    merci claudine, merci anonyme !

    comme toujours le prochain chapitre sera publié vendredi matin (europe)
    EM

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  4. Merci bcp pour ces bons moment de lecture
    Vivement vendredi.......dommage que ce ne soit pas tous les jours lollll......ahhhh je suis impatiente lollll

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  5. Merci mille fois, ça fesait longtemps que je voulais lire la version Christian.merci .lise du quebec

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