CŒUR A CŒUR
Chapitre 21
Traduit par: Elisabeth Mazaltov
Edité par: Hélène B. et Elisabeth Mazaltov
« Tu
veux boire un verre ? »
« Non. »
répond-elle. Moi non plus.
« Bien.
On va se coucher. » Elle hausse les sourcils en me regardant.
« Tu
vas te contenter d’un bon vieux sexe vanille tout bête ? » dit-elle
amusée.
Je
penche ma tête sur le côté en disant : « Il n’y a rien de vieux ni de bête
dans la vanille. Au contraire c’est un parfum très intéressant.
« Depuis
quand ? »
« Depuis
Samedi dernier. Pourquoi tu espérais quelque chose de plus exotique ? »
« Oh
non. J’ai eu ma dose d’exotisme pour aujourd’hui. »
« Tu
es sûre ? Ici il y en a pour tous les goûts - au moins 31 parfums. »
dis-je en lui souriant lascivement.
« J’avais
remarqué. » répond-elle d’un ton glacial. Je secoue la tête à sa remarque.
« Allez
Mademoiselle Steele. Vous avez une grosse journée demain. Plus tôt vous serez
couchée, plus tôt vous serez baisée et plus tôt vous pourrez dormir. » dis-je
comme une évidence.
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« Monsieur
Grey vous êtes un romantique. » Sa remarque me fait stopper dans mon élan.
Comme j’aimerais mater ta grande gueule bébé !
« Mademoiselle
Steele, vous avez une grande gueule. Il va falloir que je la mate.
Viens. » Je la conduis dans ma chambre. Je n’ai pas la patience de me
retourner pour fermer la porte alors je la claque d’un coup de pied.
« Haut
les mains. » Elle lève ses bras en l’air et je retire sa robe d’un seul
geste en disant « abracadabra ! » comme le ferai un magicien. Elle
glousse et applaudit ce qui fait fondre mon cœur. Je m’incline devant elle. Je
pose sa robe sur une chaise.
« C’est
quoi ton prochain tour ? » me demande t’elle en plaisantant.
« Oh
ma chère Mademoiselle Steele, couchez vous et je vous le montre. »
« Et
si pour une fois je me faisais désirer. Qu’en penses-tu ? » dit-elle en
jouant les coquettes. Ca pourrait se faire... Je suis à la fois excité et
enthousiaste. Mais si elle se fait désirer même pour jouer je sens que je vais
passer un sale quart d’heure.
« Les
portes sont fermées. Je ne vois pas comment tu pourrais m’échapper
bébé. Je pense que l’affaire est dans le sac. »
« Je
suis une bonne négociatrice. »
« Moi
aussi. » dis-je en la regardant fixement. Mais quelque chose me dit qu’elle
ne veut pas baiser. Comment vais-je faire ? »
« Tu
ne veux pas baiser ? »
« Non. »
Quelque chose se brise en moi en entendant sa réponse.
« Ah. »
Je fronce les sourcils.
Elle
inspire profondément, ferme et rouvre ses yeux puis me dit: » Je veux que
tu me fasses l’amour. » Je suis pétrifié sur place, je la regarde fixement
en tentant de digérer l’information. Mon visage se rembrunit je gamberge à
toute allure.
« Ana,
je … » Je suis incapable de terminer ma phrase. Je passe mes deux mains
dans mes cheveux, je suis doublement exaspéré. Ce que je sais faire c’est
baiser. Changer mes habitudes est très difficile pour moi sans compter que ça
me donne des angoisses. Mais baiser n’est-ce pas une façon de faire l’amour ?
Du moins avec Anastasia pour moi ça l‘est.
« Je
pensais que c‘était ça qu‘on faisait. »
« Je
veux te toucher. » Involontairement je recule d’un pas. Non ! Je ne peux
pas, et pourtant Dieu sait combien je voudrais qu’elle me touche. C’est ma
limite à ne pas franchir. Etre touché est affreusement douloureux pour moi, j’ai
l’impression que les mains du maquereau me frappent et écrasent ses mégots sur
moi. Je n’ai jamais pu surmonter cela, c’est pire que de la torture. Ca me
terrifie. Je parviens à me recomposer un visage impassible et à me calmer afin
de reprendre le contrôle de la situation.
« Non
Mademoiselle Steele, tu as déjà obtenu assez de concessions ce soir. Alors c’est
non. »
« Non
? »
« Non. »
« Ecoute
tu es fatiguée, je suis fatigué alors on va se coucher c’est tout. » Je
dis ça alors que c’est bien la dernière chose que j’ai envie de faire.
« Donc
toucher est ta limite à ne pas franchir ? »
« Oui.
Mais tu le savais déjà. »
« Dis
moi pourquoi. S’il te plaît. »
« Anastasia,
laisse tomber. » dis-je exaspéré. Comment pourrais-je lui parler de la
profondeur de ma dépravation, lui expliquer à quel point je suis taré depuis
mon enfance ?
« C’est
important pour moi. » murmure t’elle. Je repasse mes deux mains dans mes
cheveux. La colère monte en moi. D’accord on ne va pas baiser ce soir. Je vais
dans mon dressing et prends un tee-shirt pour elle que je lui lance. Elle l’attrape
gênée.
« Mets
ça et va te coucher. » Dis-je d’un ton cinglant. Elle fronce les sourcils,
se retourne, enlève son soutien-gorge et enfile rapidement le tee-shirt. Je
remarque qu’elle garde sa culotte.
« Puis-je
aller dans la salle de bains ? » demande t’elle; Je suis stupéfié.
Pourquoi demande-t-elle la permission ?
« Tu
demandes l’autorisation maintenant ?
« Euh…
non. »
« Anastasia,
tu sais où est la salle de bains. Aujourd’hui, à ce stade de notre accord
bancal tu n’as pas besoin de ma permission pour l’utiliser. » Dis-je
irrité. Je retire ma chemise en la passant par-dessus ma tête tandis qu’elle se
précipite dans la salle de bains. J’ôte mon pantalon et mon boxer et j’enfile
mon bas de pyjama. Je range mes fringues puis me dirige vers la salle de bains.
Je frappe à la porte.
« Entre. »
dit-elle la bouche pleine de dentifrice. Je reste dans l’encadrement de la
porte, amusé de la voir utiliser ma brosse à dents. Elle croise mon regard dans
le miroir. Elle m’observe et semble apprécier ce qu’elle voit. Finalement je
lui décroche un sourire et je m’approche d’elle. Sans me quitter des yeux, elle
rince ma brosse à dents et me la tend. J’ai les yeux qui pétillent de malice.
« Surtout
ne te gêne pas pour utiliser ma brosse à dents. »
« Merci
Monsieur. » Elle me décroche un adorable sourire et retourne dans la chambre.
Je me lave les dents à toute allure et je la rejoins.
« Ce
n’est pas du tout comme ça que je pensais finir la soirée. » dis-je agacé.
« Imagine
si je disais que tu ne peux pas me toucher. » dit-elle. Cette pensée m’horrifie.
Je grimpe sur le lit et m’assieds en tailleur.
« Anastasia
je te l’ai déjà dit. Cinquante nuances de folie. J’ai eu des débuts difficiles
dans la vie. Tu n’as pas besoin de connaître toute cette merde. » C’est
trop horrible à porter.
« Pourquoi
veux-tu savoir ? »
« Parce
que je veux mieux te connaître. »
« Tu
me connais déjà assez bien. »
« Comment
peux-tu dire ça ? » Elle s’agenouille face à moi. Je lève les yeux au ciel
en désespoir de cause.
« Tu
as levé les yeux au ciel. La dernière fois que je l’ai fait je me suis pris une
fessée. »
« J’aimerais
bien recommencer. » Ses yeux s’illuminent en entendant mon aveu.
« Raconte
moi et je te laisse faire. » Je suis sur le cul.
« Quoi
? »
« Tu
m’as bien entendue. » dit-elle catégorique.
« Tu
marchandes avec moi ? » Je suis stupéfait.
« Je
négocie. »
« Ca
ne marche pas comme ça, Anastasia. »
« Bon
d’accord. Tu me racontes et ensuite je lèverai les yeux au ciel. » J’éclate
de rire devant son obstination. Elle ne cesse de me surprendre. Sa proposition
me dégrise.
« Toujours
aussi curieuse. » Je suis pensif.
Très
bien Mademoiselle Steele. Voyons voir ce qu’on peut faire pour vous satisfaire.
Ouais ouais ouais. Je quitte la chambre en lui disant : « Ne bouge
pas. »
Je me
précipite dans la salle de jeux. Je prends les boules de Geisha que j’ai
achetées à son attention. Et, excité comme une puce, je retourne dans la
chambre.
« A
quelle heure est ton premier rendez vous demain ? »
« A
quatorze heures. »
C’est
parfait ! Nous avons tout le temps pour jouer. Lentement j’esquisse un sourire
cruel.
« Bien. »
Dis-je en réalisant que mon expression a changé pour devenir celle de Christian
le dominant. Tu veux des informations et moi je veux du cul. Vu sous cet angle …
on peut négocier.
« Sors
du lit et mets toi là. » du doigt je lui désigne un coin du lit. Elle s’y
propulse comme si elle avait le feu aux fesses. Impatiente comme toujours … Je
la regarde fixement.
Doucement
je lui demande: « Tu me fais confiance ? » Elle acquiesce. Je tends
la paume de ma main pour lui montrer les deux boues argentées reliées par un
fil noir. « Je viens de les acheter. » Elle me regarde, perplexe.
« Je
vais les introduire en toi puis je te donnerai la fessée. Ce n’est pas une
punition, c’est pour ton plaisir et le mien. » Je m’interromps pour jauger
sa réaction. Elle a les yeux écarquillés de stupéfaction.
« Ensuite
on va baiser et si tu es encore éveillée je te ferai part de certaines
informations concernant ma jeunesse. Ca te va ? » Elle hoche la tête hors
d’haleine. Je souris.
« Gentille
fille. Ouvre la bouche. » Elle s’exécute.
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« Plus
grand. » Je mets les boules dans sa bouche.
« Il
faut les lubrifier. Suce. » J’ordonne d’une voix douce et apaisante. Elle
referme sa bouche. Elle se tortille.
« Ne
bouge pas Anastasia. » C’est un avertissement. Je pense que les boules sont
maintenant lubrifiées et suffisamment tiédies. Je lui dis d’arrêter. Je retire
les boules de sa bouche, rabats la couette et m’assieds sur le bord du lit.
« Viens
ici. » Elle se met devant moi.
« Maintenant
tourne toi, penche toi en avant et attrape tes chevilles. » Elle cligne
des yeux, hésitante. Je me rembrunis.
« N’hésite
pas. » Je la gronde gentiment. Je prends les boules et les introduis dans
ma bouche pour les lubrifier un peu plus. J’ai envie d’être en elle de toutes
les manières possibles. Elle se penche en avant pour attraper ses chevilles.
Son tee-shirt remonte sur son dos découvrant son cul magnifique. Je pose ma
main sur ses fesses et je les caresse doucement. Délicatement j’écarte sa
culotte et lentement je passe mon doigt sur son sexe. Elle est déjà toute
mouillée. J’introduis un doigt en elle et décrit un cercle. Elle gémit de
plaisir.
Je
retiens mon souffle en continuant le mouvement. Je suis stupéfait qu’elle soit
toujours prête pour moi. Je retire mon doigt et introduit les boules l’une après
l’autre.
Une
fois les deux boules en elle, je replace sa culotte et me penche pour embrasser
son cul magnifique. Je lui ordonne de se redresser, elle vacille sur ses
jambes. Je l’attrape par les hanches pour la maintenir jusqu‘à ce qu’elle
retrouve son équilibre.
« Ca
va ? »
« Oui. »
« Tourne-toi. »
Elle est maintenant face à moi.
« Quel
effet ça te fait ? »
« Bizarre. »
répond-elle
« Bizarre
bon ou bizarre mauvais ? »
« Bizarre
bon. » Admet-elle en rougissant.
« Bien. » Je suis à la fois soulagé
et excité.
« Anastasia
je voudrais un verre d’eau. Va m’en chercher un s’il te plaît. Quand tu
reviendras je t’allongerai en travers de mes genoux. Penses y bébé. »
Elle
part chercher l’eau. Les mouvements vont la stimuler à l’intérieur. Ces boules
sont originaires de Chine. Elles sont de petite taille. Une fois qu’elles sont
introduites dans le vagin, elles provoquent une sensation voluptueuse à chaque
mouvement des jambes ou des hanches. Les geishas les utilisaient pour lubrifier
leur vagin avant de prendre un client. Elles peuvent provoquer un orgasme
fabuleux rien qu’en marchant dans le couloir. Elles sont de la taille des
grosses billes des gamins. Il s’agit de subtilité et de spontanéité. Elles sont
conçues pour révéler leur présence de façon aléatoire selon certains mouvements
du corps, et c’est ça qui provoque l’orgasme. Elles rendent la baise bien plus
torride. C’est comme préchauffer le four. Ensuite il n’y a plus qu’à enfourner.
Elle
revient avec un verre d’eau à la main. Je l’observe attentivement. Elle me tend
le verre, je la remercie, bois une gorgée et pose le verre sur la table de
nuit. Je vois qu’elle anticipe la suite, or l’anticipation est annonciatrice d’une
baise monumentale.
« Viens près de moi comme tout à l’heure. »
Elle avance vers moi toute excitée.
« Demande moi. » dis-je d’une voix douce. Je veux qu’elle
me demande une fessée. J’ai profondément besoin de l‘entendre me le demander. J‘en
ai besoin car ça justifiera que je la lui donne. Elle fronce les sourcils, elle
ne sait pas ce qu’elle doit demander.
« Demande-moi. » Ma voix est un peu moins douce. Elle me
regarde sans comprendre.
« Anastasia, demande-moi parce que je ne me répéterai
pas. » Maintenant mon ton est menaçant.
J’attends et je vois passer une lueur de compréhension dans ses yeux.
Un « oh » s’échappe de ses lèvres.
« Donnez-moi la fessée s’il vous plaît Monsieur. » Je
ferme un instant les yeux pour savourer ses mots.
Je me penche, saisis sa main gauche et la tire vers moi. Elle
tombe sur mes genoux et je la cale. Je peux sentir son cœur battre. Elle est
allongée sur mes genoux, sa poitrine reposant sur le lit. Je repousse les
cheveux de son visage, en les calant derrière son oreille. Puis j’empoigne ses
cheveux à la nuque pour la maintenir en
place puis je tire doucement dessus pour que sa tête se renverse en arrière.
Je murmure : « Je veux te voir pendant que je te donne
la fessée Anastasia.” Tout en parlant je
frotte doucement son cul.
J’insère ma main entre ses fesses et je la pousse contre son sexe
sachant que ce geste va enfoncer les boules en elle… Elle gémit ce qui m’excite
encore plus.
« C’est pour le plaisir Anastasia, le mien et le tien. »
Je lève ma main et je l’abats à la jonction de ses cuisses et de
son sexe. La claque est retentissante et provoque à la fois de la douleur et du
plaisir. La douleur, car le sang monte
en surface tandis que les boules sont propulsées plus loi en elle, stimulant
les tissus sensibles et apportant ainsi le plaisir. Une seule claque suscite
une myriade de sensations. Elle tourne son visage pour absorber toutes ces
sensations. Je caresse ses fesses avec la paume de ma main pour répandre la
sensation. Je relève ma main et la claque à nouveau.
J’ai une technique : je frappe de gauche à droite puis vers
le bas. Entre chaque claque je la masse, de cette manière elle est stimulée à
l’intérieur et à l’extérieur. Ainsi elle en désire d’avantage. Quand j’aurais
fini de la fesser elle ne voudra rien d’autre que d’être baisée de façon
insensée. Si elle geint c’est de plaisir pas à cause de la douleur. Gauche,
droite, bas. Quand je la claque vers le bas, elle gémit car les boules se
déplacent en elle, la sensation est délicieuse. Vers le bas, je n’ai pas besoin
de claquer fort, le mouvement des boules fait tout le travail de stimulation.
La dernière claque vers le bas lui arrache un gémissement guttural.
« Gentille fille. » Je gémis, la respiration haletante,
excité. Je lui administre encore deux claques puis j’attrape le cordon qui
relie les boules et tire brusquement dessus. La soudaineté de ce retrait
provoque une sensation proche de l’orgasme qui lui donne encore plus
furieusement envie d’être baisée. Je m’allonge à côté d’elle sur le lit. Je
prends un préservatif dont je déchire l’emballage puis je le déroule sur mon
sexe. J’attrape ses mains que je relève au dessus de sa tête puis je la pénètre
lentement.
Tandis que je vais et viens langoureusement en elle, je murmure :
« Bébé, » j’ai envie de la sentir, de la savourer et de me perdre en
elle. Alors que sa jouissance approche, elle ressert ses jambes autour de moi.
Nous explosons tous deux en un orgasme violent nous laissant hors d‘haleine.
Ce que je ressens pour elle est incroyable. Elle me transporte
dans la quatrième dimension je suis plus que satisfait, je suis repu.
Je répète son nom encore et encore « Ana ! » Puis je me
tais, haletant, toujours allongé sur elle, mes mains encore entrelacées dans
les siennes au dessus de sa tête.
Mon cœur est parcouru d’une sensation étrange. Je me redresse pour
la regarder avec admiration.
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Je l’embrasse en murmurant : « C’était bon. » Je me
lève, et la recouvre avec la couette puis je me dirige vers la salle de bains;
Je balance la capote à la poubelle puis je me nettoie. Je retourne dans la
chambre. Après m’être assis au bord du lit je lui ordonne de se retourner ce
qu’elle fait immédiatement. Son cul est d’un rose ardent.
« Ton cul est d’une superbe couleur. » dis-je avec
satisfaction. J’entreprends de masser ses fesses avec une lotion apaisante que
j’ai prise dans la salle de bains.
« Crache ta Valda Grey. » dit-elle en baillant.
« Mademoiselle Steele vous avez le don de gâcher
l’ambiance. »
« On a conclu un marché. »
« Comment te sens-tu ? » dis-je en essayant de changer
de sujet.
« Flouée. » Il n’y a aucun moyen d’échapper à son
interrogatoire. Je hoche la tête, me glisse à côté d’elle puis je prends dans
mes bras cette femme magnifique qui a une très grande gueule. Nous sommes à
nouveau lovés en cuillère l’un contre l’autre et j’adore être ainsi tout contre
elle. Je l’embrasse tendrement derrière l’oreille.
« La femme qui m’a mis au monde était une putain accro au
crack, Anastasia. Maintenant dors. » Je ne veux pas en dévoiler
d’avantage.
« Était ? »
« Elle est morte. »
« Il y a longtemps ? » Je soupire.
« Elle est morte quand j’avais quatre ans. Je ne me souviens
pas bien d‘elle. Carrick m’a donné des détails. Je ne me rappelle que certaines
choses. S’il te plait dors maintenant. »
« Bonne nuit Christian. »
« Bonne nuit Ana. »
Puis nous sombrons tous les deux dans un profond sommeil.
Truly, Deeply, Madly by Savage Garden
ahhhh merci encore pour ce chapitre!! J'ai compté les jours toutes la semaine et bien contente d'avoir le chapitre pour le lire durant ma pause cet après-midi!! Un gros gros merci pour votre travail
ReplyDeleteMerci bcp pour ces beau moments de lecture
ReplyDeleteA quand la suite, je suis impatiente :-))
merci claudine, merci anonyme !
ReplyDeletecomme toujours le prochain chapitre sera publié vendredi matin (europe)
EM
Merci bcp pour ces bons moment de lecture
ReplyDeleteVivement vendredi.......dommage que ce ne soit pas tous les jours lollll......ahhhh je suis impatiente lollll
Merci mille fois, ça fesait longtemps que je voulais lire la version Christian.merci .lise du quebec
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