FIN DE LA
PUNITION
Chapitre 20
Traduit par: Elisabeth Mazaltov
Edité par: Hélène B. et Elisabeth Mazaltov
En un
instant je retire mes doigts et me débraguette. Je la pousse sur le canapé et
m’allonge sur elle.
I Set Fire to the Rain - Adele
La
mâchoire tendue je lui ordonne de mettre ses mains au dessus de sa tête.
J’écarte ses jambes et prend une capote dans ma poche sans la quitter du
regard. Mes yeux brillent de la lubricité la plus totale. Je me débarrasse de
ma veste que je laisse tomber sur le sol et je déroule le préservatif.
Elle
me désire, ses yeux sont fixés sur moi et dès que je m’apprête à la prendre
elle soulève ses hanches puis les bascule au devant de mon sexe. Elle anticipe
son plaisir mais elle n’a pas le droit de jouir. D’une seule poussée je la
pénètre jusqu’à la garde elle gémit, elle avait envie de moi. Je pose mes mains
sur les siennes au dessus de sa tête, et j’immobilise ses jambes en les
plaquant avec les miennes. Elle est prisonnière. Je suis partout, je l’écrase,
je la remplis et ça n’est pas assez. Je la veux jusqu’à la souffrance. Je vais
et viens en elle, rapidement et brutalement. Ma respiration est saccadée. Son
corps répond, m’accueille, me veut. Elle vient à ma rencontre en rendant coup
de rein pour coup de rein, la synchronisation est parfaite, l’harmonie est
totale. Je me sens victorieux, j’accélère la cadence puis je m’enfonce une
dernière fois en elle et je jouis. Je me détends un instant, affalé sur elle.
Je la sens qui s’agite sous moi, elle cherche à jouir elle aussi mais je ne la
laisserai pas y parvenir. Je veux qu’elle reste sur sa faim, je veux qu’elle
soit frustrée comme je l’ai été à cause d’elle, parce qu’elle ne m’a pas parlé,
parce qu’elle m’a refusé ce qui est à moi, et parce que j’ai envie d’elle jour
et nuit.
Je me
retire brusquement alors qu’elle me regarde douloureusement insatisfaite.
« Je
t’interdis de te toucher. Je veux que tu sois frustrée. Tu ne m‘as pas parlé de
tes projets, tu m‘as refusé ce qui est à moi. Tu n‘as que ce que tu mérites.
» Je me redresse alors que la colère monte à nouveau en moi. Elle hoche la
tête. J’ôte le préservatif et je le noue. Je la regarde. Elle halète. Elle
serre les cuisses en tentant de se soulager sans succès. Je ferme ma braguette,
passe mes mains dans mes cheveux et me baisse pour ramasser ma veste. Quand je
me retourne, mes yeux se posent sur elle et je me sens beaucoup mieux, mon
regard s’adoucit.
« On
ferait mieux de rentrer à la maison. » dis-je tandis qu’elle s’assied en
tentant de recouvrer ses esprits. Je lui tends sa petite culotte qui était dans
ma poche. Elle s’en saisit fièrement. A cet instant nous entendons Mia qui crie
mon nom depuis le rez-de-chaussée.
Je
hausse les sourcils, exaspéré par ma sœur.
« C’était
moins une. Putain ! Qu’est-ce qu’elle peut être chiante. »
Anastasia
s’active pour remettre sa culotte, réajuster sa robe et remettre ses cheveux en
ordre. Une fois qu’elle est prête je crie :
« Ici
Mia, en haut. »
« Bien
Miss Steele, je me sens mieux mais j’ai toujours envie de vous donner une
fessée. »
« Je
ne crois pas la mériter Monsieur Grey, surtout après avoir enduré votre attaque
sans provocation. » répond-elle.
« Sans
provocation ? Tu m’as embrassé ! » dis-je
en ayant soin d’avoir l’air vexé.
Elle
pince ses lèvres.
« L’attaque
est parfois la meilleure forme de défense. » murmure t’elle avec ferveur,
les yeux écarquillés;
« Défense
contre quoi je vous prie ? »
« Toi
et ta main qui te démange. » répond-elle avec sa grande gueule. Je penche
la tête de côté et lui souris au moment où Mia surgit de l’escalier.
« Mais
c’était tolérable ? » je pose la question avec douceur. Elle rougit et
répond : « Limite. »
« Ah
vous êtes là ! » Mia est tout sourire.
« Je
faisais faire le tour du propriétaire à Anastasia. » dis-je en tendant ma
main à Ana qui s’en empare. Je la presse doucement et le courant familier nous
parcourt à nouveau.
« Kate
et Elliot sont sur le point de partir. C’est insensé, ils n’arrêtent pas de se
peloter. » Mia fait une moue dégoûtée puis nous regarde.
« Qu’est-ce que vous faisiez là ? » demande t’elle sans
gêne, en bonne pipelette qu’elle est. Anastasia rougit de plus belle. Je pense
qu’il manque une partie du cerveau de ma sœur… celle qui sert à réfléchir avant
de parler…
« Je montrais à Anastasia mes trophées d’aviron. »
dis-je d’un air détaché. Puis je me tourne vers Anastasia : «Allez on va dire
au revoir à Kate et à Elliot. »
Je la pousse doucement devant moi et dès que ma sœur a dégagé le
plancher je fiche une grande claque sur les fesses d‘Anastasia.
« Je recommencerai Anastasia, et plus tôt que tu ne
l’imagines. » Puis je l’enlace et embrasse ses cheveux.
Lorsque nous arrivons à la maison, Kate et Elliot sont en train de
faire leurs adieux à mes parents. Kate enlace Anastasia tandis que je serre la
main de mon frère. Elles se chuchotent des trucs à l’oreille.
Une fois que Kate et Elliot sont partis je dis à Anastasia qu’on
devrait y aller nous aussi car elle a des entretiens le lendemain.
Comme je m’y attendais Mia se jette au cou d’Anastasia. Histoire
d’en rajouter une couche elle trouve le moyen de dire « On pensait qu’il
ne trouverait jamais personne. » Je vois que la confiance règne !
. Je lève les yeux au ciel,
Anastasia pique un fard et devient plus écarlate que le drapeau chinois. Pour
une raison que j’ignore elle me regarde en pinçant ses lèvres.
« Prenez bien soin de vous ma petite Ana. » Dit
tendrement ma mère. Je suis touché par cette gentille attention envers ma
femme. C’est incroyable comme elle arrive à séduire les gens sans faire le
moindre effort. Ce n’est pas juste. Elle charme et captive tout le monde.
J’attrape sa main et l’attire contre moi.
Je ronchonne : « Arrêtez de la chouchouter, vous allez
finir par lui faire peur ou lui donner la grosse tête. »
Ma mère me gronde gentiment en me demandant d’arrêter de
plaisanter. Qui est-ce qui plaisante ? Elle ne cesse de me désobéir. Elle ne
connait même pas le mot obéissance et elle n’est pas une bonne soumise. Et
par-dessus le marché elle m’a ensorcelé. Si on lui prêtait encore plus
d’attention ça serait à mon détriment. Il est évident que ma mère m’aime mais je
me sens indigne de son affection. Je suis déglingué, taré et je ne mérite pas
son amour, mais malgré tout elle m’aime. Gauchement, je me penche pour
l’embrasser.
Je salue ma mère respectueusement. C’est la femme qui a sauvé ma
vie. Je la vénère. Mais je me sens indigne de tout ce qu’elle a fait pour moi.
« Monsieur Grey, au revoir et merci. » Anastasia tend la
main vers mon père mais il la prend dans ses bras !
« Je vous en prie appelez-moi Carrick. J’espère que l’on vous
reverra très bientôt. » Mais qu’est-ce qu’elle leur fait à tous ? Et
comment elle fait ?
Une fois que nous avons pris congé, je conduis Anastasia à la
voiture. Taylor nous attend. Il lui ouvre la porte et elle se glisse dans la SUV. Discrètement
je touche deux mots à Taylor. Je lui demande de mettre son ipod afin d’avoir un
peu d’intimité avec Anastasia. Je m’assieds à côté de ma femme et je la
regarde.
« On dirait que ma famille t’aime bien aussi. » Je suis
épaté. Elle me regarde étonnée, puis soudain son visage se décompose. Je ne
sais pas à quoi elle pense ni pourquoi elle est soudain bouleversée. Elle
observe la route puis se tourne vers moi en me fixant du regard.
« Quoi ? » Je veux savoir ce qui la contrarie. Elle
hésite entre parler et se taire. Elle se décide à parler.
« Je pense que tu t’es senti obligé de m’emmener chez tes
parents. » dit-elle d’une voix douce et hésitante. « Si Elliot
n’avait pas invité Kate tu ne me l’aurais jamais proposé. »
Je suis consterné qu’elle pense cela. Qu’ai-je fait qui ait pu lui
faire croire une chose pareille ?
Je suis sous le choc, je penche la tête en la dévisageant.
« Anastasia, je suis ravi que tu aies rencontré mes parents.
Pourquoi doutes-tu toujours autant de toi ? Ca me dépasse. Tu es forte et
indépendante mais tu te vois de façon tellement négative. Si je n’avais pas
voulu que tu les rencontres, je ne t’aurais pas emmenée. C’est cela que tu pensais
tout le temps où nous étions là bas ? »
Elle prend une grande bouffée d’air. Bien sûr que je suis content
qu’elle soit venue. Elle est ma femme. Elle m’appartient dans tous les sens du
terme. Je l’ai présentée comme ma petite amie. Je voulais qu’elle vienne.
Anastasia est nerveuse et regarde Taylor avec inquiétude. Je secoue la tête et
me penche vers elle.
« Ne t’en fais pas pour Taylor. Parles-moi. » Elle
hausse les épaules.
« Oui c’est-ce que je pensais. Et au fait j’ai parlé de la Georgie parce que Kate
parlait de la Barbade. Je
n’ai pas encore décidé. » Immédiatement je me sens mieux. J’étais
tellement inquiet qu’elle veuille me quitter.
« Tu veux aller voir ta mère ? »
« Oui ! » C’est un cri du cœur. Je la regarde. Je l’aime
beaucoup. Mon cœur est transpercé par cette émotion dont j‘ignore le nom. Son
absence même pour quelques jours sera plus que frustrante. Je ne sais pas
comment je vais faire. J’ai envie d’être là où elle est. Je viens d’avoir une
idée !
« Je peux venir avec toi ? »
Baby Please Do not Go - Chicago
« Quoi ?…Euh… je ne crois pas que ça soit une bonne
idée. »
« Pourquoi pas ? » Je suis blessé.
« Je voulais souffler un peu après toute cette … intensité.
Je voulais me poser et réfléchir. »
Je la regarde fixement. Elle a besoin de prendre du recul ? Loin
de moi ?
« Tu me trouves trop intense ? » Ce à quoi elle répond
en éclatant de rire.
« C’est le moins qu’on puisse dire ! » Bizarrement mes
lèvres esquissent un sourire. C’est vrai que je suis intimidant.
« Riez vous de moi Mademoiselle Steele ? » Dis-je en
plaisantant.
« Je n’oserais pas Monsieur Grey. » répond elle en
essayant d’avoir l’air sérieux.
« Je crois que si, et je crois que tu ris souvent de
moi. »
« Tu es assez drôle. »
« Drôle ? » Je veux savoir de quelle manière elle me
trouve drôle.
« Oh oui. »
« Drôle bizarre ou drôle ah ah ? »
« Oh … un peu des deux. »
« L’un plus que l’autre ? » Je cherche à savoir.
« Je te laisse deviner. » Répond-elle à moitié endormie,
un sourire timide imprimé sur son visage.
« Je ne sais pas si je peux deviner quoi que ce soit en ce
qui te concerne Anastasia. » dis-je d’un ton moqueur. Mais en réalité ça
m’inquiète qu’elle veuille mettre des distances entre elle et moi. C’est
préoccupant. Elle essaye de me quitter. Je dois en avoir le cœur net.
« A quoi veux-tu réfléchir en Georgie ? » Je pose la
question avec calme.
« A nous deux. » Donc mes inquiétudes étaient fondées.
Je ne me faisais pas un film. Je la regarde impassible mais l’inquiétude me
dévore.
« Tu as dit que tu essaierais. »
« Je sais. »
« Tu as changé d’avis ? » Je suis anxieux mais je dois
le savoir.
« Peut être. » Elle confirme mes soupçons. Je m’agite
dans mon siège, mal à l’aise. C’est la merde. Est-ce qu’elle pense que je suis
mauvais pour elle ? Est-ce que je la fais fuir à cause de ce désir intense que
j’éprouve pour elle ? Il faut que je sache.
« Pourquoi ? »
Elle scrute la route comme pour se soustraire à mon regard. Nous
approchons du pont. La pénombre dissimule nos visages et nos pensées mais ne
peut cacher la tension entre nous. Je dois savoir parce que j’ai peur de la
perdre. Je crois que je ne le supporterai pas, j’en mourrai.
« Pourquoi Anastasia ? » J’ai besoin d’une réponse.
Elle hausse les épaules l’air de dire « pour rien » mais
« pour rien » ça ne veut rien dire, il y a toujours une raison. Je
veux savoir ce qui la préoccupe, ce qu’elle veut, ce dont elle a envie ainsi je
pourrais arranger les choses. Je sais que je suis cinglé. Je sais qu’elle veut
plus. Il faut que je sache ce qu’elle entend par là. Je prends sa main et la presse
dans la mienne.
« Parle-moi Anastasia. Je ne veux pas te perdre. Cette
semaine … » Je suis incapable de
poursuivre.
Ca a été la plus belle semaine de ma vie… La plus belle. C’est
comme si j’avais dormi toute ma vie, enfermé en moi même et qu’elle avait
surgit pour me réveiller, m’ouvrir au monde et devenir ma bouée de sauvetage.
Elle ne sait pas que désormais je ne peux plus vivre sans elle. Je
suis incapable de le lui dire. Je suis un minable.
Nous arrivons maintenant au bout du pont, les rues sombres sont à
nouveau éclairées par les lampadaires de la ville. En roulant nous sommes
tantôt dans l’obscurité, tantôt en pleine lumière, par intermittence.
Brièvement je distingue de l’inquiétude sur son visage.
« J’en veux plus. » murmure t’elle puis elle emprisonne
sa lèvre entre ses dents.
« Je sais, je vais essayer. »
Elle cligne des yeux en me regardant, je lâche sa main et me
penche pour attraper son menton et libérer sa lèvre.
« Pour toi, Anastasia, je vais essayer. » Je suis
sincère. Je tiens à elle. Je ne peux pas envisager de la perdre, ça serait
comme si on m’arrachait le cœur, comme si, blessé à mort, je me vidais
lentement de mon sang en une interminable et douloureuse agonie.
Dès que j’ai fini de parler, elle défait sa ceinture de sécurité
et grimpe sur mes genoux, ce qui me prend de court. Elle met ses bras autour de
ma tête et m’embrasse longuement et intensément, je lui rends son baiser. Elle
m’a vaincu.
« Reste avec moi ce soir, si tu pars je ne te verrai pas de
la semaine. S’il te plaît » Je la supplie. J’ai besoin d’elle. Absolument.
Surtout ce soir … Je ne peux même pas envisager de passer une semaine entière
sans la voir. N’a-t-elle donc pas idée de ce que c’est difficile de respirer,
de vivre sans elle ?
« D’accord, moi aussi je vais essayer. Je vais signer ton
contrat. » dit-elle spontanément.
Je ne veux pas, pas comme ça sur un coup de tête. Je la regarde.
« Réfléchis d’abord bébé, réfléchis bien. On verra à ton
retour de Georgie. » Je veux lui laisser toutes ses chances.
“D’accord.” Nous restons ainsi durant quelques kilomètres,
silencieux.
« Tu devrais remettre ta ceinture. » dis-je d’un ton
désapprobateur alors qu’en réalité je ne veux pas qu’elle quitte mes bras.
Elle se blottit contre moi et glisse son museau dans mon cou. Je
suis au paradis. En paix. Serein. J’éprouve des sentiments intenses pour cette
femme qui est pelotonnée dans mes bras. J’ignore leurs noms. Ils sont inconnus,
parfois douloureux et envahissants. Ca me tue à petit feu de me dire qu’elle
pourrait tout simplement me glisser entre les doigts. Je ferme les yeux et
savoure ce moment de grâce.
Nous arrivons à l’Escala, bien
trop vite.
Je lui souffle dans l’oreille : « On est à la
maison. » Taylor ouvre la porte et Anastasia le remercie. En sortant je
constate qu’elle ne porte pas de veste. Elle n’en a pas ou quoi ? Ca me
bouleverse de me dire que ma femme ne possède pas tout ce dont elle a besoin.
Je plisse les yeux en la regardant, elle semble surprise. « Pourquoi ne
portes tu pas de veste ? » Je fronce les sourcils. J’ôte la mienne et
la pose sur ses épaules.
« Elle est dans ma nouvelle voiture. » répond-elle en
baillant à moitié endormie.
Je souris, sa réponse me prouve qu’elle a accepté mon cadeau et me
donne l’espoir qu’au fil du temps elle me laissera prendre soin d’elle.
« Vous êtes fatiguée Miss Steele ? »
« Oui, Monsieur Grey. » répond-elle timidement car je me
moque d’elle, puis elle ajoute :
« Aujourd’hui on m’a forcé à faire des choses que je n’aurais
jamais crues possible. » Voilà qui me rend encore plus enjoué.
« Eh bien si vous avez vraiment la poisse je vous en ferai
voir bien d’autres Mademoiselle Steele, et de toutes les couleurs ! »
Je prends sa main et la conduit dans l’immeuble.
Elle me regarde alors que nous entrons dans l’ascenseur. Dans cet
espace restreint la tension est toujours palpable entre nous, l’air se charge
en électricité statique bien qu’Ana soit à moitié endormie.
« Un jour je te baiserai dans cet ascenseur Anastasia, mais
pour le moment tu es trop fatiguée. Je pense qu’on va s’en tenir au lit. »
Tonight by Enrique Iglesias ft Lucadris
Je crève d’envie de la prendre ici et maintenant. Elle emprisonne à nouveau sa
jolie lèvre entre ses dents. Je me penche et libère sa lèvre puis je la
mordille lentement. Ce geste l’excite tant qu’elle en oublie de respirer. Elle
me rend la politesse en titillant ma lèvre supérieure avec ses dents jusqu’à
m‘arracher un gémissement de plaisir. Anastasia Steele, je vais te sauter que
tu le veuilles ou non ! Les portes de l’ascenseur s’ouvrent, je prends sa main
et je l’entraîne dans le vestibule.
wow je viens de découvrir votre blogue et je tiens a vous dire merci. J'ai terminé les trois livres très rapidement et j'en voulais encore "PLUS" et grâce a un chapitre par semaine ca me permet de lire un peu moins vite et de savourez la lecture. ET je dit aussi qu'il faudrait vraiment que tout ceci soit publié. J'espere que vous aller continué jusqu'au dernier livre. continué votre bon et beau travail.
ReplyDeleteBonjour je crois que mon premier commentaire n'a pas fonctionné. Je voulais vous dire Bravo pour votre blogue. Je viens tout juste de terminé les trois livres (que jai lu beaucoup trop vite) et j'en voulais "PLUS" et voilà que je trouve ceci. Et je trouve très bien le fait d'avoir un chapitre par semaine cela me permet de lire un peu plus lentement et de savoir ma lecture.Continuer votre travail et j'espere que vous aller traduire les trois livres car moi mon anglais est très mauvais ;) Merci encore et jespere moi aussi qu'il seront publié en tout cas si jamais ca arrive ici au québec les gens vont les acheter tres rapidement.
ReplyDeletemerci encore
Merci.... Mais l'attente sera beaucoup trop longue jusqu'à vendedi !!
ReplyDeleteCoucou Claudine,
ReplyDeleteEnfin une quebecoise! je n'y croyais plus. Nous avions des commentaires de françaises de france, de belges, de françaises de la Réunion mais que t'chi du Quebec et j'en étais confuse et désespérée.
Je suis ravie que vous soyez ravie. A cette heure ci Eminé dort encore puisque nous fonctionnons avec 9 heures de décalage horaire mais à son réveil elle trouvera un mail avec vos commentaires traduits dans la langue de j'expire. Oui oui je traduis aussi vos commentaires. Je crois pouvoir dire en son nom et au mien que nous sommes enchantées. Vous satisfaire est notre priorité.
Anonymous,
merci de votre commentaire. Je sais les semaines sont longues mais pour bibi qui rame derrière son ordinateur tous les soirs parfois c'est long aussi... Christian et Anastasia presque tous les soirs parfois c'est comment dire... fatiguant surtout pour la traduction des galipettes !!
bizz et bonne semaine à vous toutes (et tous ?)
EM
Ne soyez pas découragé, je suis sure qu'il y a plusieurs québécoises qui vous suivent. Pour ma part, j'ai tout lu la partie en anglais mais c'est sure que j'adore la partie en francais. Continuez votre bon travail.
ReplyDeleteChantal du Québec
J'ai lu les 3 tomes et je suis restée sur ma faim a la fin...hihihi
ReplyDeleteJ'attendais quelque chose avec cette version du point de vue de Christian je suis ravie.
Je me doute que se doit etre un travail colossal que d'interpréter et traduire vous faites du très bon boulot. Merci et bravo a toutes les deux.
Maintenant que j'ai lu les 20 chapitres je vais devoir patienter chaque semaine pourire la suite.
Encore une fois MERCISSSSSSSSS
Miss Zoé
Coucou zoé,
ReplyDeleteCourage le dernier chapitre du tome 1 sera publié en juillet.
Eminé en publie un nouveau chaque vendredi. Nous aimons la rigueur et l'organisation. Ici point de chapitre publié au petit bonheur la chance n'importe quand mais au contraire une discipline de fer que Christian Grey approuverait :-)
Mandieu ce Christian me fait perdre la boule hihihi
En tout cas merci de votre commentaire c'est très apprécié.
Bizz
;-)
ReplyDeleteIl faut de la discipline c'est une des clés de la reussite
Merci et au plaisir de vous lire
Miss Zoé
merci pour tous ce que vous fetes biz
ReplyDeletebonsoir je viens de découvrir tout ceci Merci ! je vois qu'il y'a un moment que vous n'avez plus donner de vos nouvelles... depuis votre atelle . Comment allez vous?
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